(New Chap 71) Fan FIC En Amour Rien n'est Impossible

Chap. 48 :


Les jours passaient à une vitesse impressionnante, je ne passais de d’excellentes journées avec Dunc et les autres aussi bien sûr. Le départ approchait, je devais reprendre l’avion avec G dans deux jours, plus que deux jours a passé avec Duncan mais comment c’était possible ? Je commençais à être triste de partir, et pourtant ma famille me manquait. Je faisais tout pour que personne ne remarque mon mal être même si c’était plutôt dur à cacher. Un après-midi je rentrais d’avoir fais quelques courses avec G et nous arrivions tranquillement chez elle et Lee qui était seul dans l’appartement.
G en rentrant se précipita sous la douche, nous laissant seul Lee et moi sur la terrasse. Lee alla me chercher un verre à boire et me retrouva sur la terrasse posée sur une chaise longue les yeux dans le vague, j’étais perdu dans mes pensées et rien autour de moi ne me perturbait.

Lee : (Faisant passer sa main devant mes yeux) Coucou, Marie ! Y’a quelqu’un ?
Moi : (Toujours perdue dans mes pensées) Hum mm
Lee : Marie…
Moi : Hum mm
Lee : Et Marie, mais tu m’écoutes ?
Moi : (Revenant sur terre) Euh… oui pardon !
Lee : Tu penses à quoi ? (Prenant un air sérieux)
Moi : Oh, rien t’inquiète pas.
Lee : Oh, s’il te plait ! Ça fait plusieurs jours que t’es dans la lune. Va y dis moi.
Moi : (Serrant mes genoux près de moi pour faire de la place à Lee sur la chaise longue) En fait je penses au départ…
Lee : A oui j’avais oublier c’est bientôt que c’est prévu.
Moi : (Triste) Oui, on repart bientôt
Lee : Tu n’as pas l’air de vouloir. (Posant sa main sur mes genoux)
Moi : C’est pas ça… C’est juste que j’étais bien maintenant avec Dunc. Et devoir partir sans savoir quand je le reverrais ben ça me donne mal au cœur.
Lee : Oui, je te comprends ! Moi aussi j’ai mal au cœur que je pense que tu vas repartir.
Moi : Et tu réagis comment sachant que G va repartir aussi ?
Lee : (Comprenant alors que G ne m’avais encore rien dit sur le fait qu’elle pensait rester à LONDRES) Euh… ben disons que c’est différent, mais c’est vrai qu’on en parle pas trop.
Moi : Ah…
Lee : Tu ne penses pas que ce serait avec Dunc que tu devrais discuter de tout ça ?
Moi : Ben j’ai pas envie de le rendre triste ! Et à chaque fois qu’on à aborder le sujet, ben je pouvais voir qu’il était triste.
Lee : Et jeune fille j’ai pas dis c’est facile… mais bon voilà. Faudrait pas que ça reparte sur des malentendus comme la fois passée.
Moi : Oh, oui. Parce que cette fois-ci je ne pense pas que je lui pardonnerais de ne pas me donner de nouvelles.
Lee : T’inquiète pas je le laisserais pas faire.
… :
Lee : Mais pourquoi tu m’envisagerais pas de rester ici plus longtemps ?
Moi : (Soupirant) Parce que j’ai ma vie, ma famille, mon boulot là bas.
Lee : Ouais et alors… ta vie ben elle continuera ici, ta famille ben écoute en avion si ta le blues on est vite en France, et le boulot je suis sur qu’ici y’a un job pour toi.
Moi : (Ne comprenant pas trop…) Euh… mais tu me la joue comment là… ? Tu me fais peur.
Lee : Faut pas, réfléchis juste au fait que si t’as vie est compliquer, ben tu y es peu être pour quelque chose. Maintenant c’est à toi de faire tes propres choix.
Moi : T’as décidé de m’achever là ou quoi ?
Lee : Non, je prends juste mon rôle d’ami à cœur. Je te dis les choses comme je les pense, peu être des choses que d’autres voudrait te dire mais ils ont peur de ta réaction.
Moi : D’autres ???
Lee : Oui d’autres… Ecoute une fois bien.
(Et il me prit dans ces bras sans rien ajouter à tout cela)
Lee : Voilà, petite séance remontage de bretelles fini !
Moi : (Un petit sourire sur les lèvres) Merci, Chef.

(Moi) Ce n’est pas un hasard, Fiona m’a dit presque la même chose. Que dois-je faire ? C’est vrai que je n’es pas envie de partir… mais ma vie est là bas. Mais peu être qu’après tout… j’avais besoin de changements dans ma vie, en tout cas celui-ci serait radical.

G revint de la douche, elle se mit aussi assise sur la même chaise longue que Lee et moi, c’était plutôt comique. Lee l’embrassa puis il sortit une petite phrase… genre…

Lee : Oh, ça y’es je suis le plus heureux des hommes
G : Pourquoi ?
Lee : Deux superbes femmes autour de moi ! Et pour moi tout seul !
Moi : Faut pas rêver Ryan !
Lee : Oh, parle pas comme ça on dirais Dunc…
Moi : Normal c’est mon amour…
G : Ben si tu l’aime tant qu’est-ce que tu fais encore ici ? Lol
Moi : Bon je dérange aller … j’y vais !
Lee : Mais non elle dit des bêtises.
G : Ryan, tais toi ! Lol
Moi : Non, mais sérieux j’y vais là (me levant de la chaise longue et prenant mes affaires)
G : Ok
Lee : Oui, mais tu penses à se que je t’es dis ?
Moi : Oui, promis.

Puis je suis partie reprendre la direction de l’appartement que je partageais avec Duncan. Pendant se temps chez Lee…

G : De quoi vous parliez, à quoi elle doit repenser ?
Lee : On parlait de son enfin votre départ. Tu lui à rien dis parce que tu compte repartir avec elle c’est ça ?
G : Non, pas du tout, enfin si. Je vais repartir avec elle expliquer à mes parents et prendre des affaires l’histoire des quelques jours quoi.
Lee : Et tu comptes lui dire quand ?
G : Je sais pas c’est dur tu sais.
Lee : Plus tu va attendre plus ce sera dur…
G : Je sais… tu as raison.

Je suis rentré chez nous, prit une douche et passé une soirée sympa avec mon chéri. Je lendemain j’ai passais une journée tranquille, les garçons étaient en interview et au studio donc j’avais un journée pour moi toute seule. En milieu de journée le téléphone de la maison sonna, moi j’avais décidé de passer une journée pyjama et oui la grosse flemme quoi. Donc je me levais de canapé ou j’étais tranquillement posé à bouquiner et je décrochais le téléphone.

…
Moi : Allo (La voie à moitié endormi)
… : (Prenant un voie bien grave) Allo ! Lol
Moi : (Réfléchissant) DUNC ?
… : Eh oui, alors je te manque ma chérie.
Moi : Plus que tu ne peux pensé ! (Et en plus c’est vrai)
Dunc : Hum, c’est bon à savoir ! Tu porte quoi là ? (Avec une voie qui en disait long)
Moi : Tu veux vraiment savoir ?
Dunc : Ben oui, sinon je te poserais pas la question.
Moi : Je suis en pyjama ! Et oui ça casse tout là hein ? (Surtout quand on voit la tête du pyjama)
Dunc : Euh… non du tout ! Mais c’est vrai j’aurais préféré que tu me dises que tu portes rien, je serais venu tout de suite !
Moi : Rien ne t’empêche de le faire…
Dunc : C’est vrai, mais j’ai autre chose de prévu. Mais faut je te dises pourquoi j’ai appelé ! Je viens dans une heure je me change en vitesse et on part destination une soirée romantique rien que toi et moi.
Moi : Vite fait oui tu parle, deux heures dans la salle de bain. Lol
Dunc : Eh, mais t’es méchante là ! Ca te réussi pas de trop dormir on dirait !
Moi : Lol Bon et on va où, pour que je sache quoi mettre ?
Dunc : Euh ben ça c’est une surprise. (Tout sourire) Mais pour la tenue ben soit tu prends le paquet qui est dans mon placard, soit un de mes chemises l’un ou l’autre tu seras parfaite
Moi : Oh, ben ça c’est du compliment ! Je suis…
Dunc : Tu es ???
Moi : (Ne trouvant pas trop mes mots et bégayant) Je t’aime…
Dunc : Moi aussi je t’aime
Moi : ça, fait du bien d’entendre des trucs comme ça.
Dunc : je sais c’est pour ça que je te le dis. Bon je te laisse ma puce, à dans une heure. Je t’embrasse.
Moi : A dans une heure mon amour…

Et on raccrocha.

LA SUITE!!! c'est trop trop trop bien

woui moi ossi jve la suite !!!!!!!

ca vient ca vient les filles j'y travail

Chap. 49 :

Je pris donc ma douche, me suis sécher les cheveux mis de la crème puis je suis aller commencer à m’habiller. Bon une chemise ou le paquet… bon le paquet. J’ouvris le paquet, retira le papier qui recouvrait et en sorti un magnifique robe rouge (C pas ma couleur préféré mais bon). Elle était magnifique décolleté j’avais jamais vu une robe comme ça. Elle avait l’air super moulante et je dois dire que ça jamais pas trop trop mais bon. Je la déposais la robe sur le lit, puis je choisi des sous-vêtement pour aller avec puis je suis retourner dans la salle de bain comme ça pour me maquiller un peu. L’heure tournait je le vis en regardant ma montre (Oui, oui celle que Dunc m’a offerte) Duc devrait déjà être là. Je suis retourné dans la chambre pour mettre la robe, je l’enfilais elle était vraiment très belle mais j’avais raison elle était super moulante et moi… ben je trouve pas ça top. Je me regardais une dernière fois dans le miroir avant de me diriger vers le salon pour attendre Dunc. Je sortis un tube de gloss. De mon sac et en mit. J’étais en train d’en mettre quand derrière moi j’entendis…

… : Magnifique !
Moi : (Me retournant) T’es en retard ! Lol
Dunc : (Adossé contre le contour de porte de notre chambre) Non, juste à l’heure en plus je suis déjà prêt.
Moi : Parfait parce que moi aussi !
Dunc : (Avec ces yeux tout pleins d’envie et d’étoiles) Oui, vaut mieux qu’on y aille sinon, ben cette jolie robe ne restera pas longtemps sur toi.
Moi : c’est une proposition ?
Dunc : Non une affirmation…
Moi : (Les yeux qui brillaient) Bon ben si tu veux on reste là ?
Dunc : Ah non ! (Pas content) Je me suis donner du mal alors ma surprise je veux que tu la voie. Mais ta robe elle ne fera pas long feu à notre retour.
Moi : hum

Nous sommes donc descendu à la voiture et avons prit la route pendant le trajet Dunc avait du mal à me quitter des yeux se qui me dérangea quelques peu… (Et oui on est pas seul sur la route faudrait qu’il fasse gaffe) Il avait une main sur le volant et l’autre sur ma cuisse.

Dunc : (Les yeux partout sauf sur la route) T’es vraiment trop jolie se soir.
Moi : (Lui prenant la main et la mettant sur le volant) oui, merci ! Mais si ça te dérange pas j’aimerais arrivé en vie à notre soirée « romantique »
Dunc : Tu insinue quoi là ?
Moi : Oh, rien c’est juste que je constate que t’es plus occupé à me regarder qu’à regarder la route.
Dunc : Ce n’est pas ma faute !
Moi : C’est la mienne peu être ?
Dunc : Oui, enfin non ! Mais ça ne devrait pas être permis d’être aussi jolie. (Vraiment il raconte n’importe quoi)
Moi : Bon la prochaine fois… ben je serais laide quand on sortira.
Dunc : Non surtout pas… on se contentera de prendre un taxi c’est tout ! Lol
Moi : (Pas convaincu) Mais bien sûr.

Le trajet continua sur la même ambiance bonne enfant. Nous étions arrivé ou je ne sais pas encore. Nous sommes sortis de la voiture Dunc me prit la main et me guida. Il faisait presque nuit, nous étions sur un port il me fit marcher encore quelques pas, puis nous nous sommes arrêter à son initiative, il mit ces mains sur mes yeux et me fit avancer alors encore un petit peu. Voilà encore un petit pont a traversé et nous y sommes. Il retira ces mains de mes yeux, et je me trouvais devant le plus beau des spectacles. Au bout du pont il y avait une jolie petite péniche, qu’il avait fait aménager. Une table joliment dresser, des bougies, deux musiciens… C’était tout simplement magnifique. Il me reprit la main pour m’aider à monter sur la péniche. J’aurais voulu lui sauter au coup tout de suite tellement je trouvais cela touchant et beau. Une musique de fond s’installa c’était doux et reposant. Il me fit prendre place à la table et s’installa face à moi et me donnant une coupe de champagne et me tenant la main à travers la table. Je crois qu’à se moment là, les mots étaient de trop on se contentait de se regarder dans les yeux jusqu’à s’y perdre. La soirée se passa à merveille c’était magique un dîner français, des mots doux, quelques bons moments passé dans ces bras à danser, le rêve quoi. Puis à un moment Dunc prit un air sérieux me demanda de venir m’asseoir avec lui sur le bord de la péniche car il devait me parler. Je l’es donc suivi jusqu’à l’endroit qu’il m’avait indiqué… Et la il commença à parler et je dois dire que j’étais angoissé par la tournure des événements…

Dunc : Marie, en fait je voulais te demander comment est-ce que tu t’étais sentis pendant ces deux dernières semaines ?
Moi : (Etonnée par la question) Euh, bien pourquoi ?
Dunc : Seulement Bien ?
Moi : Ben, non en fait c’était vraiment génial depuis qu’on s’est retrouvé je suis sur mon petit nuage. Et je ne veux pas atterrir.
Dunc : (Soulager) Ah, ben tu me rassures.
Moi : Pourquoi, je ne te sens pas très à l’aise là Dunc ?
Dunc : Peu être parce que je ne le suis pas.
Moi : Pourquoi ?
Dunc : Parce que j’aimerais te demander quelque chose, mais j’ai l’impression que les mots ne veulent pas sortir de ma bouche.
Moi : Hum… Aller fait un effort !
Dunc : (Prenant mes mains dans les siennes.) Bon, en fait tu pars dans deux jours même pas. Et je vais t’avouer que je n’ai vraiment pas envie de te laisser partir ! (Voyant que je voulais dire quelque chose) S’il te plait laisse moi finir.
Moi : Très bien.
Dunc : Merci. J’aimerais savoir, si cela te dirais de… rester disons encore un peu ?
Moi : Un peu ?? (Baisant les yeux, je ne voulais pas voir ces yeux tout tristes)
Dunc : Oui, disons pour le reste de ta vie, et toute les autres si tu veux aussi.
Moi : (Au bord des larmes) Pardon !
Dunc : Reste je t’en supplie accepte de vivre avec moi. Je suis tellement heureux quand je suis avec toi. (Les larmes lui venaient aussi)
Moi : (Retirant mes mains des siennes et les posant sur son visage) Moi aussi je suis heureuse avec toi. Tu ne peux pas savoir le bonheur que tu m’as apporté pendant ces derniers jours.
Dunc : (Lui souvenir lui revenait) Ben alors pourquoi tu hésite ?
Moi : Ben là-bas… enfin tu comprends j’ai ma vie ma famille là bas. Mais ici je suis heureuse avec toi.
Dunc : Très bien… ta vie on va la construire ensemble ici, ta famille tu la verras aussi souvent que tu voudras. Et histoire que tu ne t’ennuies pas… (Attention Monsieur avait pensé à tout) Tu vas prendre des cours d’anglais trois fois par semaine, pour pouvoir commencer à travailler dans quelques temps.
Moi : T’as pensé à tout dis moi ?
Dunc : Oui, sauf que je ne connais toujours pas encore ta réponse.
Moi : (Baissant nouveau les yeux) Travailler dans quoi ?
Dunc : Se que tu veux, mais j’ai déjà des pistes pour toi. Jo cherche une personne pour l’assister, et y’a une association en ville qui cherche une jeune personne pour accueillir des jeunes en difficultés et les encadrer.
Moi : (Le sourire revenant sur mon visage) C’est vrai ?
Dunc : OUI ! Bon ???
Moi : Bon quoi ? (Je joue les sadiques)
Dunc : Ta réponse est ???
Moi : Franchement … ben je sais pas. (Dunc fut étonné de se que je venais de dire) Comprends moi… (Et la je commence à rigoler)
Dunc : (Tout triste) Pourquoi tu rigoles je vois rien de drôle là ?
Moi : Si ta tête ! (Et la je l’embrasse, et prends ensuite sa tête entre mes mains…) Mais OUI gros bêta je vais rester… J’avais trop envie que tu me le demandes… même si j’étais pas décidé jusqu’à y’a 2 minutes.
Dunc : Mais t’es ignoble de me faire peur comme ça. J’ai cru que t’allais dire non ! (Et la c’est lui qui m’embrasse) Maintenant je ne te laisserais plus jamais me laisser.
Moi : Oh la du calme… Va bien falloir que tu me laisse tu sais. Je rentre quand même dans deux jours. (Dunc, reprit sa tête des mauvais jours) Eh oui, Monsieur James… Je te laisse 5 jours pour me faire de la place dans ton placard.
Dunc : Ben ça y’a pas de soucis, donc tu rentre pour prendre tes affaires et dire à ta famille que tu viens t’installer ici ? (Re petit sourire)
Moi : Oui, mais attention ça va te coûter cher en billets d’avion cette histoire là ! Lol
Dunc : N’importe quoi…
…
Dunc : Au fait j’ai encore quelque chose pour toi !
Moi : Quoi ?
Dunc : (Sortant une petite boite de sa poche) Ca !
Moi : (Surprise) Et ça c’est quoi ?
Moi : (Il ouvrit la boite, et je vis une superbe bague, simple soit mais super belle) Ne me dit pas…
Dunc : Quoi une demande en mariage ? (Voyant que je hochais la tête) NON
Moi : Alors ?
Dunc : C’est un symbole de mon engagement envers toi. La demande en mariage se sera pour plus tard, mais t’inquiète pas… tu y auras aussi droit.
Moi : Ah, Franchement je ne sais pas quoi dire. (Les larmes coulant à nouveau sur mes joues)
Dunc : T’as rien à dire, contente toi juste de porter cette bague et de continuer à m’aimer comme tu le fais si bien.
Moi : Ca je pense que je peux le faire… (Il me passe la bague au doigts et je lui saute au coup pour l’embrasser le remercier)

Franchement c’était la plus belle des soirées que je n’avais jamais passées et pourtant j’en avais passé de bonnes soirées avec Duncan, mais là…
Je suis resté encore un moment dans ces bras à contempler les étoiles dans le ciel et cette jolie bague à mon doigt.

Chap. 50 :

La soirée se termina comme Dunc l’avait présagé, en enlevant ma robe bien sûr ! Lol Nous y sommes donc, jour de notre retour vers notre France natal. Nous revenions dans quelques jours à peine mais G et moi n’en avons pas parlé donc G pensé que je resterais en France et moi qu’elle resterait aussi. Toute les deux nous ne savions pas comment le dire à l’autre. Nous avons dis au revoir chacune de notre côté à nos amours et sommes monté dans l’avion le trajet vu animé par une petite conversation…

Moi et G : (En même temps) Faut que je te dise un truc !
G : Bon va y commence…
Moi : T’es sûr peu être c’est mieux si tu commences toi.
G : Non tout compte fait, t’est plus vieille que moi donc tu commences…
Moi : Bon… comment dire… dans une semaine enfin même pas… je….
G : Tu quoi ?
Moi : (Prenant une grande inspiration pour réussir à le dire) Je retourne à LONDRES
G : (Se tournant vers moi) Pardon !
Moi : Euh, oui t’as bien entendu je retourne dans une semaine je vais vivre chez Dunc. En tout cas je vais essayer.
G : C’est génial je suis contente pour toi !
Moi : Je pensais pas t’allais le prendre comme ça !
G : Ben en fait se que je voulais te dire… C’est que moi aussi je vais retourner vivre à Londres ! J’y pense depuis qu’on est parti mais je ne savais pas comment te le dire.
Moi : Bon ben maintenant, y’a plus de soucis on retourne toute les deux là bas !
G : Au fait c’est quoi cette bague à ton doigt (Montrant la bague que Dunc m’a offerte il y à deux jours.)
Moi : C’est Dunc qui me l’as offerte. Pour me prouver son engagement envers moi…
G : Vous êtes fiancé ?
Moi : Non, comment tu peux pensé ça, t’aurais été au courant tu penses pas ?
G : Oui, ben en tout cas c’est pour bientôt à en croire se que t’as au doigt…
Moi : G faudrait pas mettre la charrue avant les bœufs non ?

Et la on éclate de rire toute les deux ensemble. Ah l’amitié quand tu nous tiens ! Lol
Pendant se temps à LONDRES, Lee et Dunc était en voiture rentrant chez Dunc pour passé un moment ensemble. Arrivé ils se mirent assit et commencèrent à discuté.

Lee : Alors mec ? Ca va sans elle ?
Dunc (Faisant la moue) Ca fait qu’une heure qu’elle n’est pas là. Mais c’est vrai c’est vide ici ! Et toi ?
Lee : Tu la revois quand ? Moi je suis heureux…
Dunc : (Tout heureux) Dans 6 jours 12 heures et (regardant sa montre) 23 minutes.
Lee : Dis donc t’es précis toi… tu va la voir en France ?
Dunc : (Sortant des ces pensées) Euh, ben évidemment que non ! Elle vient vivre ici !
Lee : (Qui à faillit en recracher se qu’il buvait) Pardon ?
Dunc : Eh oui, je suis persuasif quand je veux tu trouve pas ? Ma chérie va venir vivre avec moi ici à LONDRES.
Lee : Ben en voilà une bonne nouvelle, et tu sais quoi ? G aussi elle reste vivre ici.
Dunc : Ben tu vois, les deux meilleurs potes avec les deux meilleures amies. C’est pas beau la vie ?
…

Ca y’es nous sommes arrivé, nos familles sont là heureuse de nous revoir et nous aussi de les revoirs. Après les retrouvailles G et moi on c’est séparé pour rentré avec nos familles et raconté comment ça c’est passé. C’est vrai quoi on avait pleins de choses à raconter. Et puis des petites infos à leurs donnés. La semaine passa trop vite c’était la dernière soirée que l’on passait en France. J’avais décidé de passé une partie de la soirée avec mes meilleurs (es) amis (es) puis le reste de la soirée avec ma famille. G elle avait décidé d’accepter de voir un gars que finalement elle ne connaissait pas tant que ça. Mais bon elle est grande elle doit savoir se qu’elle fait. La soirée pour eux deux c’était fort mal passé…

(Moi) Ca y’es c’est le grand jour dans 3 heures je serais dans les bras de mon homme. Revoir son visage, le toucher, lui dire que je l’aime. Ça fait si longtemps que j’attends se moment. En fait depuis que je l’es quitté.

Nous sommes de nouveau dans l’avion, lourde de plusieurs valises chacune. J’ai hâte de revoir Dunc mon dieu. Le voyage fut étrange, je ne sais pas si c’est dû aux déchirants au revoirs qu’on a eu avec nos familles, mais Géraldine est silencieuse et refuse de parler. Je ne sais pas quoi faire ! Je vois qu’elle souffre mais je ne suis pas dans sa tête et c’est dur de savoir quand elle ne m’adresse même pas la parole. Elle était pensive pendant tout le trajet, trois heures de silence ou presque c’est pesant quand même.

Voilà nous sommes arrivé, Lee et Dunc nous attendent à l’aéroport tout deux avec des fleurs.

Chap. 51 :

Je forçais G à s’arrêter à quelques mètres de la où nous attendaient les garçons, je les voyais bien mais j’avais besoin d’ comprendre pourquoi G avait changé ainsi. Je l’es emmené un peu à l’écart…

Moi : (L’air sérieux et décidé) Bon, G qu’est-ce qui se passe ? Tu ne m’as pas décroché deux mots depuis qu’on a quitté la France. Tu n’es pas heureuse d’être là ?
G : (Sortant un peu de son isolement) Euh… si je suis heureuse. J’ai envie de revoir Lee il m’a manqué… Je sais pas je dois couvé quelque chose.
Moi : T’es sûr ? (Pas convaincu du tout) Si t’avais un soucis tu me le dirais ?
G : (Blasé) Mais oui, qu’est-ce que tu va chercher ?

Nous avons prit ensuite la direction des garçons, j’ai sauté au coup de Duncan j’étais trop heureuse de le revoir. Il me prit dans ces bras et me serra fort, c’était comme si cette semaine d’absence n’avait jamais existé. Lee lui aussi prit G dans ces bras, elle était plutôt froide. On voyait qu’elle était contente mais quelque chose avait changé en elle. Impossible de savoir quoi… Lee s’en montra très déçu, il avait attendu une semaine de la revoir l’embrasser et elle c’était à peine si elle ne le repoussait pas.

Un mois passa, G devenait de plus en plus distante avec tout le monde comme si elle s’enfermait dans une bulle. Lui parlait devenait presque impossible et Lee avait du mal à supporter le fait que dès qu’il voulait la toucher il se heurtait à un refus. Elle ne le faisait sans doutes pas exprès, mais elle ne se sentait pas capable d’offrir quelque chose à Lee, C’était trop dur pour elle. Mais pourquoi ne voulait-elle pas parlé de ce qui la pesait tant ?

Un soir Dunc et moi étions tranquillement installé sur le canapé et nous avons commencé à discuter, car Dunc voyait que j’en avais besoin. Il se redressa, mit ces bras autour de moi et dit…

Dunc : Aller, ma chérie va y dis moi ce qui te tracasse ?
Moi : Oh, je me fais sans doutes des idées ! Mais depuis qu’on est revenus ici… ben J’ai l’impression que G à changer. On ne fait plus rien ensemble et elle ne me parle plus. Ca me fait de la peine de la voir comme ça ! (J’étais alors si triste)
Dunc : Oui, on en as déjà discuté avec Lee, lui aussi la trouve différente.
Moi : Comment ça ?
Dunc : Ben, Lee dit qu’elle refuse tout de lui. Qu’il la touche qu’il la prenne dans ces bras, quand ils s’endorment elle met le drap entre eux pour qu’ils ne se touchent pas.
Moi : A ce point ?
Dunc : (Qui avait l’air navré pour moi et pour Lee aussi) Oui, je crois…

Pendant se temps dans l’appartement de Lee, il perdit patience après une énième tentative de rapprochement entre lui et G, commença à élever le ton avec G…

…
Lee : Ecoutes, dis le moi franchement si tu veux plus de moi…
G : (Qui commençait à pleurer) Non, mais…
Lee : Mais quoi ? Parle moi, je ne veux que t’aider mais je ne le peux pas si tu m’en empêches.
G : C’est pas se que je veux… je te jure.
Lee : J’en doute pas… mais la situation n’a que trop durer… t’es en train de te détruire et de détruire notre couple. Tu ne parles même plus à Marie…
G : (Pleurant alors plus fort encore) Je suis vraiment désolé.
…

Elle partit alors en courant jusqu’à la salle de bain ou elle alluma l’eau chaude très chaude et se mit assise dans la douche en fermant la porte de la douche. Tout habillé G était dans cette douche, l’eau était bouillante mais elle ne le sentait pas… plus rien ne l’attenant. Lee lui couru après et frappa à la porte de la salle de bain, mais G n’ouvrit pas, il frappa encore et encore sans réponse puis il décida de donner un grand coup dans la porte pour que celle-ci s’ouvre. Il trouva G brûlante sous l’eau, il coupa l’arrivée d’eau et prit G dans ces bras pour la sortir de la douche. Il la porta jusqu’à leur chambre et la déposa sur le lit en l’enveloppant dans une serviette. Il passa sa main dans les cheveux de G, en lui disant à quel point il tenait à elle, puis soudain elle reprit ces esprits et se serra fort contre lui.
Lee la réconforta encore un peu jusqu’à se qu’elle retrouve son calme et qu’elle se sente prête à tout lui dire…

Lee : (Soulager que G n’es rien) Alors tu veux toujours pas me dire ma chérie.
G : C’est si dur… Tu ne voudras plus de moi, tu ne voudras plus m’aimer… je suis sale et je le comprendrais…
Lee : mais qu’est-ce que tu raconte… je ne pourrais jamais ne plus t’aimer. Pourquoi tu te sens sale dis moi…
G : J’ai si mal il faut que tu m’aides…
Lee : Je ne demande que ça…
G : La vieille de notre retour à LONDRES… (Puis elle recommença à pleurer) je suis si désolée, je te jure je voulais pas c’est pas ma faute… Je lui ais dis d’arrêter…
Lee : Calme toi je ne comprends pas… Qu’est-ce que tu ne voulais pas ?
G : Ce soir là, Oh lee Pardon… Je me suis fait violer.
Lee : (Serrant les poings, ces yeux sont devenus noir de colère) Désolée, pardon… mais qui ?
G : (Mettant sa tête entre ces genoux) Tu vois je le savais…

Un moment de silence se fit ressentir, puis Lee prit son courage à deux mains et prit Géraldine dans ces bras. Il n’aimait pas la voir comme ça malheureuse impuissante, mais il n’arrivait pas à s’ôter l’image de la fille qu’il aimait tant avec un autre.

Lee : (Toujours avec G dans ces bras) Pourquoi tu m’as rien dit, pourquoi avoir attendu tout se temps. Tu n’avais pas confiance en moi ?
G : (levant un peu la tête) J’avais peur… peur que tu ne veuille plus de moi, que tu crois que c’était de ma faute…
Lee : Comment t’as pu penser ça ?
G : Je t’aime et je ne veux pas te perdre, mais je me sens trop sale.
Lee : Tu me perdra pas t’inquiète pas… G ?
G : Oui (Fuyant le regard de Lee)
Lee : Tu sais qui c’était ?
G : (Ne voulant pas le lui dire la vérité, elle préféra ne rien lui dire) NON
Lee : Tu te souviens de rien qui pourrait m’aider à le retrouver ?
G : Je veux pas le retrouver je veux juste oublier. Je voudrais qu’on essai de reprendre nos vies là ou on les avaient laissé y’à quelques semaines. Tu penses que tu pourrais faire ça ?
Lee : (Essayant de cacher sa rage.) Je vais essayer… Je voudrais que tu m’excuses de ne pas avoir su comprendre que ça n’allait pas. Je pensais que tu ne m’aimais plus que tu ne me désires plus…
G : (Avec un petit sourire crispé) Comment tu peux pensé que je ne t’aimes plus… J’avais besoin de temps pour oublier et je pense qu’avec ton aide ça va aller mieux.
Lee : Je t’aime
G : Moi aussi (Essuyant les quelques larmes qui lui coulait encore le long des joues.)

Ils passèrent encore un moment sur le lit dans les bras l’un de l’autre, Lee avait du mal à digéré se qu’il venait d’entendre. Le désir de vengeance était en train de le ronger, mais il se devait de rester fort pour Géraldine.

(Lee) : Bon sang si je le tient celui là… Je lui fais ça fait pour lui faire passer l’envie de retoucher à une fille. Comment peut-on être assez lâche pour faire ça ?

Il passa alors le reste de la soirée à s’occuper de celle qu’il aime, ils avaient même réussi à retrouver un semblant de complicité. Ils savaient tout deux que retrouver le bonheur passé serait dur et long, mais ils ne voulaient pas le laisser filer. Lui tenir la main, un petit bisou, une caresse tout cela était amplement suffisant au bonheur de Lee à ce moment là. Finalement ils s’endormirent au petit matin dans les bras l’un de l’autre, comme apaisé par ces révélations.
Dunc et moi avions décidé de passé à l’appartement de Lee pour voir comment les choses évoluaient entre lui et G le lendemain. Nous aussi nous avions fini par nous endormirent mais sur le divan, épuisé par les conversations que nous avions pu avoir.

Chap. 52 :

Lendemain matin, réveil en douceur pour tout les quatre. Dunc et moi avons prit la route pour aller vers chez Lee et G. De leur côté ils s’étaient également réveillé tout les deux toujours soulager par la soirée de la veille. G avait l’air plus détendu, mais Lee, lui ne pouvait oublier qu’un autre avait oser faire du mal à sa bien aimée. Nous étions arrivé tout les deux, chez ceux que nous considérions comme nos meilleurs amis, nos semblables… Lee trouva que cela pouvait être une bonne idée de me laisser seule avec Géraldine, me disant que maintenant elle était prête à me parler à tout me dire. Lee et Duncan nous on donc laissé et sont aller faire un tour à l’extérieur ou Lee expliqua se que G avait pu vivre et lui fit part de toute la rage qu’il éprouver envers cet être ignoble. Je me mis assise près de G, sur le canapé du salon et nous commencions à discuter, cela faisait bien longtemps que cela n’était pas arrivé. Elle m’expliqua les raisons de son éloignement de ces derniers temps, la souffrance qu’elle avait en elle. Ce qu’elle avait pu ressentir se soir là…

…
Moi : (Dégoûtée) Mais alors, c’est … Ralph ! Non me dis pas que c’est lui qui à oser. Je sais pas se qui me retiens de…
G : (énervé) Moi je te retiens, ne fais rien il faut oublier cette histoire.
Moi : Mais tu rigoles, comment tu veux que j’oublie ça ?
G : Tu fais comme moi, tu essai de pas y penser tu vis ta vie. Lee et moi avons décidé de tourner la page donc tu dois en faire autant.
Moi : (Enragé) oui, mais Lee ne le connaît pas… alors que moi oui…
G : Marie je t’es mise au courant mais il faut que tu restes discrète sur l’identité de cette personne.
Moi : (Ne comprenant pas trop bien se qu’elle me demandait) pardon ?
G : J’ai tout avoué à Lee… sauf l’identité de celui qui m’avait fait ça. Je savais qu’il chercherait à se venger… et moi je veux oublier alors c’est beaucoup plus simple de faire comme si c’était un inconnu.
Moi : Ben je suis désolée mais je ne peux pas lui donner tort…

La nouvelle que G venait de m’annoncer m’avait anéanti, je ne savais pas si j’avais envie de tout casser autour de moi ou de pleurer la peine que j’avais pour mon amie. Je n’avais à cet instant qu’une idée en tête partir en France rentré chez moi et trouver se sal type et lui dire se que je pense de lui. J’ai réussis à me maîtriser et j’ai passer le reste de l’après-midi avec G nous avons beaucoup discuté c’était bon de la retrouver presque intacte. Duncan et Lee de leur côté avaient aussi discuté de la situation, Duncan avait du mal à comprendre comment G avait pu cacher toute cette souffrance pendant un si long moment. Il approuva la décision de Lee de soutenir G aussi longtemps qu’elle en aurait besoin, car cela crever les yeux qu’il était dingue de la femme qui partageait à présent sa vie depuis quelques temps. Moi j’arrivais pas à oublier se que G m’avait dit, bien quelle m’es demander de faire comme si de rien n’était ben je n’y arrivais pas. J’avais décidé de ne pas la laisser comme ça, elle passa vite fait dans la salle de bain et nous nous sommes mit en route. Il fallait qu’elle voit du monde, moi son amie je pouvais pas la laisser se terrer seul chez elle comme une recluse. Ni une ni deux nous étions dans la voiture en route pour une soirée distraction, après un mois à LONDRES je commençais à repérer un peu les endroits et donc les routes qu’il fallait prendre. Aller nous sommes aller faire un tour, dans une fête foraine les sensations forte on aime ça donc c’est cool, une barbe à papa, des confiseries, un bon sandwich… un bon cocktail pour être en forme. G était tout sourire, j’étais en train de retrouvé mon amie c’était déjà un grand bonheur, mais je savais que la route vers la guérison de G serait encore longue, il fallait qu’elle reprenne confiance en elle. Après la fête foraine, un petit tour en ville, à LONDRES les boutiques sont ouvert jusqu’à tard le soir c’est cool ça. On est donc aller faire un peu craquer nos cartes de crédit, histoire de se taper quelques bon délires. Pendant se temps nos deux hommes étaient rentré chez lee, ils trouvèrent un appartement ma foie comment dire… VIDE. Lee chercha un peu dans l’appartement afin de trouver un mot enfin quelque chose qui aurait expliqué notre absence. C’est vrai on est parti un peu vite, on ne les a même pas appelé… moyen le plan quand même. Bref nous de notre côté on s’éclater comme des petites folles.
A l’autre bout de LONDRES Dunc et Lee étaient mort d’inquiétude cela faisait déjà plus d’une heure qu’ils étaient rentré et toujours personnes dans les parages. Les portables ne répondaient pas… messagerie à se qu’ils pouvaient détester ça… Lee prit place sur le sofa essayant de positivé, se disant que si G n’était pas là c’est qu’elle allait déjà mieux donc lui ne s’en trouvait que plus heureux, quant à Dunc lui faisait les 100 pas dans le salon sous les yeux hilare de lee. Environ trois heures plus tard au bas de l’immeuble où réside Lee deux jeunes filles discutent…

Moi : Et voilà, (posant quelques paquets car cela commençait à pesé lourd) on est arrivé…
G : Déjà c’est déjà fini, merci Marie vraiment c’était génial. (Prenant Marie dans ces bras)
Moi : Mais c’est rien ma petite G, j’aurais su ben je serais venu avant pour t’aider à sortir de ta déprime.
G : (Avec un petit sourire) Mais n’y pense plus, et puis je pense qu’il fallait que ça vienne de moi.
Moi : (Sentant son portable dans la poche de son jean) Ah, mince c’est vrai j’avais éteint mon portable avant. Tiens je vais le rallumer…
G : Moi aussi c’est vrai quand on été à la fête foraine je l’es aussi éteint.
Moi : (Rigolant, mais un peu surprise quand même) Eh Merde 7 appels en absence de DUNC, moi j’en connais deux qui doivent être en train de flipper.
G : Moi 2 messages, et 4 appels… oui t’as raison… je sais pas pourquoi mais j’ai plus trop envie de monter du coup là.
Moi : (La tirant par le bras) Aller mademoiselle, on est courageuse on garde la tête haute et on rentrent avec le sourire.
G : Mais oui toujours avec le sourire ! Je suis sur on va s’en prendre des reproches là…

Nous sommes monté toujours dans la bonne humeur, G posa ces paquets devant la porte prit ces clefs et commença à les tourner dans la serrure pour ouvrir la porte. Une grande inspiration et elle poussa la porte afin de pouvoir entré. Un petit coup de hanche dans la porte, pour ne pas reposer une seconde fois ces paquets et la voilà à l’intérieur. Quelques pas dans l’entrée afin de pouvoir me laisser assez de place pour entré et refermer la porte aussi. A peine quelques secondes après notre entrée dans l’appartement on entendit un gros bruit et Dunc et Lee bondit devant nous…

Chap. 53 :

Ils bondirent donc tout deux devant nous avec de gros yeux qui en disaient long, surtout ceux de Dunc. Attention j’ai peur, je n’aime pas quand il fait ça… mais je peux faire pareil et attention deux béliers quand ça se cogne ça cogne fort. Il me lança un regard noir rempli d’inquiétude qu’il avait pu avoir avant en mon absence et de colère. Lee lui se contenta de prendre G dans ces bras et de lui offrir le plus beau des sourires. Dunc se décida soudain à ouvrir la bouche, peu être aurait-il était préférable qu’il se taise pour changer…

Dunc : (Sortant son portable de la poche et me le montrant) Le portable tu connais ???
Moi : (Faisant de gros yeux.) Et, mais c’est quoi cette question ?
Dunc : La bonne question… Attends montre moi (sur un ton ironique) Il est peut-être cassé ton portable.
Moi : (Lui balançant le téléphone) Tiens.
Lee : (Toujours avec G dans les bras essaya de calmer un peu l’ambiance) Oh, mec du calme ! Ne plombe pas l’ambiance.
Dunc : (Sur un ton méchant) Oh ben je me calme si je veux… Mais merde c’est vrai elle à un téléphone et tu tombe toujours sur la messagerie.
Moi : (M’énervant quelques peu) Mais putain, lâche moi avec ça maintenant.
Dunc : Eh, s’il te plait tu baisse le ton quand tu me parle.
Moi : (Le regardant, de haut) Ben commence par le baissé toi… ensuite moi je verrais se que je peux faire. Non, mais attends pour qui tu te prends ?
Lee : (Perdant patience) Merde vous pouvez pas vous engueuler ailleurs ?
Moi : (Prenant mon sac) Oui, c’est vrai t’as raison. C’est bon je me casse moi. (Et j’ouvris alors la porte, dans le but de sortir de l’appartement)
Lee : (Refermant tout de suite la porte) Non, miss tu restes là ?
Moi : (Ne comprenant pas) Et depuis quand tu me donne des ordres ?
Dunc : Il à raison tu restes !
Moi : Oh stop ! Vous arrêtez votre délire là… J’ai d’ordres à recevoir de personnes ! OK ?
G : (Intervenant elle aussi) Si de moi… Et la je dis Marie ferme là !

Dunc et Lee regardèrent Géraldine d’un air étonné.

Moi : Bah bravo si tu t’y mets aussi, je dois resté très bien… Mais Lee l’ambiance sera de toute façon plombé.
G : (Me prenant par le bras et regardant Lee) Bon toi tu viens avec moi !
Moi : Ok, ok !

Et G m’emmena dans une des chambres d’amis de Lee. Elle me prit les épaules et me secoua comme un prunier ! lol J’étais étonnée par se que mon « amie » était en train de me faire, une fois qu’elle es eu fini de me secouer elle prit la parole…

G : Non, mais tu me fais quoi là ?
Moi : Mais rien (faisant la moue) mais t’as vu comment il m’a chercher aussi ?
G : Oui, j’ai entendu ! Mais bon voilà c’est sensé être le mec que tu aime… alors bon tu avale la pilule et tu te la ferme.
Moi : Oh (choquée) mais t’as vu ça où ?
G : Avec ton sal caractère tu vas encore nous gâcher le reste de la soirée. (Et pan dans les dents)…

Pendant se temps là toujours proche de l’entrée de l’appartement debout en train de s’expliquer le ton montait entre Lee et Dunc.

Lee : Non, mais oh tu te crois où là ? Tu n’es pas sur un ring de boxe… Ok elle n’a pas répondu au téléphone mais tu m’as entendu faire un foin comme ça à G ?
Dunc : Tu fais se que tu veux moi j’en fais autant.
Lee : (Exaspéré) Oh, non mais écoutez le… Saint Dunc ne fait jamais d’erreur ! Merde elles s’amusaient, elles avaient peu–être autre chose à faire que de te répondre. T’as pas remarquer comme G était heureuse en rentrant ? Crétin…
Dunc : (Commençant à comprendre son erreur) Oui, c’est vrai G a l’air heureuse… elle sourit c’est déjà pas mal ! Et moi je suis le roi des cons.
Lee : Et moi je suis tout à fait d’accord ! (Lui tapant dans le dos) Aller Bro vas la rejoindre.
Dunc : Merci, de m’ouvrir les yeux… (Et il parti en direction de la chambre)

Il était devant la chambre, un peu hésitant il savait très bien qu’il y était allé un peu fort avec moi. De son côté G avait réussi à me faire retrouver mon calme se qui devait être un vrai miracle me connaissant. Apercevant Dunc par l’entrebâillement de la porte qui était resté à demi ouverte G s’éclipsa en me demanda de rester calme. Il entra dans la chambre, referma la porte et me regarda longuement je lui tournais le dos pour ne pas le voir histoire de réussir à mieux me maîtriser. Je bouillonnais de l’intérieur. Il s’avança un peu pour approcher de moi, moi je ne bougeais pas. Il posa sa main sur mon épaule, et un frisson me parcouru. Il commença à parler d’une voix tendre et douce complètement différente de celle qu’il avait pu avoir quelques minutes auparavant…

Dunc : Je suis désolé ma chérie…
Moi : (Toujours fâché) Ben, pas moi… Après un mois de vie commune tu montres ton vrai visage charmant !
Dunc : Je te jure je voulais pas j’étais inquiet de pas vous voir quand on es arrivé et puis après l’heure tournait et vous étiez toujours pas là.
Moi : (Me retournant face à lui) Je sais, bien mais c’est pas une raison ! Non mais t’as vu comment tu m’as parlé avant. Je ne suis pas ton pote…et encore même à Lee tu lui parles mieux que ça ! Je suis ta petite amie et j’estime avoir le droit à un minimum de…
Dunc : (Qui s’avait très bien de quoi je voulais parler) RESPECT !
Moi : Tout à fait !
Dunc : Je m’en veux si tu savais, je te jure à l’avenir je… j’essayerais de plus le faire.
Moi : (Croisant les bras sur ma poitrine) Ben j’espère, parce que sinon ben moi je vais…
Dunc : (Me posant le doigt sur la bouche) Chut, ne dit pas ça…
Moi : Pourtant je le penses.

Il mit alors ces bras autour de moi, et approcha son visage du mien et déposa un long et tendre baiser comme symbole de notre réconciliation. Eh, eh, c’était la première dispute quand même ! lol
Après ce baiser, je me suis dirigé vers la porte pour aller rejoindre Lee et Géraldine dans le salon mais avant même que je ne pus poser ma main sur la poignet de la porte Dunc me saisi le bras et me força à me retourner face à lui avec un geste d’une certaine brutalité. Il posa alors ces mains sur mes hanches, et les laissa se balader à travers tout mon corps se qui n’avait rien pour me déplaire. Il m’embrassa avec fougue pendant que je glissais mes mains à l’intérieur de son jean. Je pouvais sentir le corps de Duncan frémir contre le mien. La température de nos deux corps continuait à monter quand tout à coup Duncan prit d’un geste vif mes fesses à pleines mains et me plaqua avec brutalité contre le mur de la chambre ou il commença à me faire l’amour avec passion, violence, désirs et force. Ce violent plaquage eu pour effet de faire retentir un bruit sourd à travers l’appartement. Dunc me porta ensuite jusqu’au lit qui se trouvait au centre de la chambre et me fit encore une fois l’amour sur celui-ci. Après un long ébat amoureux dans les bras de mon chéri, nous sommes resté encore un moment allongé dans les bras l’un de l’autre, j’avais les yeux fermé je me repassais les images de ce « terrible moment » avec un petit sourire coquin au coin des lèvres.

(Moi) Oh, mon dieu c’était magique ! Je vais penser à me disputer plus souvent avec lui si à chaque fois il se fait pardonner comme ça. Oh je suis méchante là !

Dunc ouvrit les yeux et passa une de ces jambes au dessus de la mienne et commença à me caresser le mollet du bout des orteils. Je frissonnais sous chacune de ces caresses, cet homme avait un don pour me faire du bien.
Pendant se temps dans le salon, Lee et Géraldine étaient tranquillement posé sur le canapé l’un contre l’autre. Lee caressait le bras de sa bien aimée puisque pour le moment c’était tout se qu’il pouvait faire avec elle. Ils avaient eux aussi profité de se gros bruit sourd qui avait retenti dans l’appartement et Lee s’avait très bien se que c’était mais posa tout de même la question à Géraldine histoire de voir s’il y aurait de l’espoir pour que eux aussi ils essaient de tenter de faire la même chose.

Lee : Euh… C’était quoi ça ? (Avec un air surprit, mais pas tant que ça croyez moi)
G : Je crois qu’on appel ça une réconciliation… (Et elle rigola et embrassa Lee au coin des lèvres.)
Lee : Oui, Chouette la réconciliation ! On les à Même pas entendu s’entre tuer c’est même pas drôle…
G : Non, c’est mieux comme ça on n’a pas besoin de changer les meubles à les tapisseries… (Elle se positionna sur les genoux de lee et se mit bien en face de l’homme pour qui elle éprouvait tant de désir.)
Lee : (Mettant les mains sur les hanches de G, et la regardant avec des yeux pleins de désires.) Ca veut dire que… ?
G : Je crois qu’on a déjà trop attendu, j’ai besoin de toi… (Elle se pencha sur lui et l’embrassa d’un baiser qui en disait long sur les sentiments qu’elle éprouvait à cet instant)
Lee : Je t’aime, mais je veux pas que tu crois que…
G : Je crois rien du tout… on va y aller doucement ! Faudra pas m’en vouloir si…
Lee : (l’embrassant à nouveau) Jamais je ne pourrais t’en vouloir.

(Lee) Ca fait si longtemps que j’attends se moment, je pense qu’il y à encore quelques mois j’aurais jamais autant attendu pour une fille. Mais avec elle c’est différent. Je l’aime…eh oui c’est se que j’ai dis je l’aime.

et ben ptin oué ta raison, les réconcilation comme sa ben sa arrive pa souvent, je vé penssé a me disputer ac dunc ds mes fic moi ossi, mdr!!
trop bein ces chapitres, ouf g réussi a tt lire, une boss!!mdr
continu et mé nous encore des suites, please!
kiss la miss

Merci elodie trop cool ton comm ouais je fais lmon possible pour vous mettre la suite
et c clair que des reconciliation comme ca c'est cool pique pas trop mes idées quand même ! lol je rigole là

aaaaaaaaaaaaaaa la suite j'adore!!!
moi ossi je sent que dans mes fics yora plus de dispute et de réconciliation kom ca lol!!!

Chap. 54 :


Les deux tourtereaux commencèrent alors à se caresser à explorer chaque recoin du corps de l’autre, ce corps qu’ils n’avaient ni l’un ni l’autre oser toucher depuis si longtemps. Lee bouillonnait intérieurement de désire, Géraldine le sentait bien et cela la mettait quelques peu mal à l’aise. Elle ne savait pas si elle serait capable en cette nuit d’apporter à Lee se qu’il voulait, la chose qu’il attendait depuis le retour de France de G. Depuis que les choses avaient changés… Il se redécouvrir ainsi pendant la quasi totalité de la nuit et avait enfin réussi à retrouvé en semblant d’intimité, cette intimité qu’il avait perdu. La partie n’était pas gagnée pour autant, il faudrait que Lee soit patient et bien plus encore pour que G retrouve une confiance intégrale en elle et en son couple. Ils n’étaient pas aller jusqu’au bout des choses, mais Lee était déjà très content d’avoir pu passer la nuit à caresser le corps de G, ce corps qui lui avait tellement manqué. Ils s’étaient endormis tout deux à moitié nu sur le canapé du salon. Dunc et moi avions passé le reste de la nuit dans cette chambre à rêver à d’autres nuits comme celle que nous venions de passer. J’étais assise au bord du lit en train d’essayer de me rhabiller sous les yeux émerveillés de Dunc qui lui comme d’habitude préférait encore rester un peu couché. Je prit mon jean en main afin de le mettre et en voulant entré dans celui-ci je m’aperçu qu’il y avait un immense trou sur la poche arrière de mon jean (Eh, ouais juste sur les fesses, aller savoir pourquoi…) amusé par la situation je lançais un regard à Dunc et lui balançait le jean.

Moi : (Me retournant vers Dunc pour voir sa réaction) Eh, non mais t’as vu se que tu as fait ?
Dunc : (Me regardant avec de gros yeux, et se mit ensuite à rigoler) Oui, ben c’était pour que tu lance une nouvelle mode ! lol
Moi : Et après tu veux pas que les autres regardent mes fesses, (avec un air interrogatif…) Je suis pas sur que se soit la meilleure solution non ?
Dunc : Oui en effet pas sur…

Puis un long silence se fit ressentir dans la chambre, on ne se quittait pourtant pas du regard.[/color
]…
Moi : Oh fait chéri, je pense qu’on devrait se disputé plus souvent.
Dunc : [color=red](étonné) Pourquoi ?
Moi : Parce que cette nuit… c’était magique ! J’aime les réconciliations.
Dunc : Oui, ben moi je n’aime pas quand on est fâché…
Moi : Ben si c’est la seule façon pour que tu me fasses l’amour comme cette nuit… (Avec mon petit air coquin qu’il aime tant) Ben je vais peut-être m’énerver plus souvent.
Dunc : Ah… parce que ça t’as plus ? (En rigolant) Ah ben sur le coup on aurait pas cru…
Moi : (Me jetant dans ces bras) Tu raconte n’importe quoi.
Dunc : (Me faisant rouler sur le lit pour se retrouver sur moi) Mais oui, moi aussi je t’aime ma chérie. (Et il m’embrasse avec la même fougue avec laquelle il m’avait fait l’amour la nuit précédente.)
Moi : (Une fois le baiser terminé) Wouahhhhhhhhhhhhhhh
Dunc : MDR
Dunc : T’as l’air sous le choc, ça va pas ?
Moi : Ben y’a de quoi… Un dieu vient de m’embrasser…
Dunc : (Qui rigolait) T’es bête !
Moi : (Boudant) MERCI
Dunc : (Me prenant dans ces bras) Mais tu sais que je rigole.
Moi : Ah oui ???
Dunc : OUI (Il dépose alors un doux baiser sur mes lèvres)

Quelques câlins plus tard…

Moi : Bon je pense qu’il faudrait quand même qu’on se lève…
Dunc : T’es sûr ? (Petit regard coquin)
Moi : (Me levant) OUI, OUI !
Dunc : (Enfilant son boxer) Bon très bien !
Moi : (Jetant un petit coup d’œil sur lui) Euh… petite remarque juste comme ça… je te préfère sans ! (Sourire)
Dunc : Ah, toi alors !
Moi : Ben quoi je dis se que je pense…
Dunc : (S’approchant de moi en fermant son jean) Et c’est très bien de dire se que tu pense… (Et il m’embrasse)…

Pendant se temps Lee et G s’éveillaient aussi tout les deux en même temps. Ils étaient allongé l’un sur l’autre, G avait l’air épanouit et Lee avait gardé son sourire Béat. G s’était senti revivre durant cette nuit dans les bras de Lee, elle avait presque oublié tous ces malheurs de ces dernières semaines. Ils étaient réveillé tout deux, mais ne bougeaient pas comme pour ne pas laisser s’éteindre le beau moment qu’ils avaient passé. Lee caressait le bras de G sans rien dire, cela provoquer chez elle une sensation de bien être extériorisé par de petits frémissements de son corps. Après un moment passé comme ça, Lee se redressa dans le canapé et prit son t-shirt que G lui avait retiré la veille et l’enfila. Puis il resta encore un moment, à demi allongé à regarder sa belle. A son tour elle se redressa, en s’appuyant sur lui et le regarda dans les yeux comme s’ils n’avaient besoin que de cela pour se comprendre. Lee serra G fort dans ces bras pendant qu’elle respirait son odeur qu’elle n’avait nulle envie d’oublier, cette odeur qui la rassurait, cette odeur qui appartenait à celui qui savait la comprendre et l’aimer comme personne ne l’avait fait. Puis G se décida à rompre se moment pour se blottir un peu plus contre Lee et lui dire quelques mots…

G : (Qui avait les yeux pleins d’étoiles) Merci !
Lee : De quoi ?
G : d’être là avec moi, pour cette nuit… d’être toi en fait.
Lee : (Très ému par le moment) Mais c’est normal, je t’aime et jamais je ne supporterais de te voir souffrir.
G : J’aurais compris que tu ne veuille plus attendre tu as assez attendu… et tu mérite mieux que moi.
Lee : (Qui s’énerva en entendant cela) Non, mais tu arrête tout de suite là… on à passé un super moment… alors gâche pas tout. Si je suis avec toi c’est parce que je tiens à toi, et c’est moi qui ne te mérite pas et non le contraire.
G : (Les larmes aux yeux) Je t’aime, et si avant je n’en étais pas sûr maintenant je le sais.
Lee : (Qui en pleurait presque tellement l’émotion du moment l’avait touché) Moi aussi je t’aime, et te voir si mal ces derniers temps m’a anéanti… je pensais que tu voulais plus de moi et j’en étais si malheureux !
G : Je suis désolée de t’avoir fait souffrir !
Lee : Ce n’est rien maintenant nous sommes de nouveau ensemble, unis comme jamais et je t’aiderais à franchir n’importe laquelle des épreuves qui seront sur notre chemin.

Et encore une fois ils se sont collés dans les bras l’un de l’autre, pour que rien autour d’eux ne puisse les séparés. Il venait de vivre un moment unique, c’était la première fois que Lee disait à une personne autre que sa mère qu’il l’aimait avec tant de sincérité. G en était consciente et se disait que si elle avait réussi à faire changer Lee, c’est peut-être que finalement eux deux ce n’est pas une si mauvaise chose.

Ohhh que c mimi entre G et lee, ils sont trop bo tt les deux!
et l'autre couple sans commentaire, non mais o! mdr!
ptdr, c tro bien et j'atten une suite please!!!

la suite!!!!!!!!!!!!!!!!!
LA SUITE!

Chap. 55 :


Avec Dunc nous avons choisi se moment pour sortir de la chambre, nous étions un peu gêner de les déranger dans un moment si particulier. Car même si nous n’avions pas suivi la conversation, nous avions compris que quelque chose de très fort c’était passé. Que faire partir sans rien leur dire, ils n’allaient sans doutes pas s’en rendre compte, les dérangé… c’était assez confus.

… : Hum, hum
Lee : (Se retournant) Toujours là au mauvais moment toi !
Dunc : (N’osant pas trop regarder) Eh oui !
Moi : (Cachant les yeux de Dunc, histoire qu’il matte pas G en sous vêtements) Euh, ben nous on va peut-être vous laissé.
Lee : Ouais elle à raison, ne la regarde pas.
G : (Enfilant vite fait son pull) C’est bon. Alors dites nous confortable la chambre d’amis ?
Dunc et Moi : IMPEC (Avec un grand sourire)
Lee : Oui, ben j’espère vous avez rien cassé… parce que y’avait de quoi se posé des questions.
Dunc : Ah, parce que monsieur Ryan se pose des questions lui ?
Lee : Ecrase saint Dunc…
G : (Se levant du canapé et se dirigeant vers moi) Euh… ça sens les règlements de comptes.
Moi : (Hochant la tête) Oui, je crois t’as raison.
G : Bon Marie tu viens avec moi ?
Moi : Oui, je te suis ! (Donnant une tape dans le dos de Dunc) Chéri, je crois tu t’es fait cassé là.

Puis G et moi nous sommes éloigné de nos deux amours pour nous retrouver toute les deux dans la cuisine. L’une en face de l’autre nous étions toutes les deux assise sur le plan de travail dans la cuisine. Nous avions beaucoup de choses à nous raconté, entre autre ce qu’il c’était passé cette nuit j’avais hâte de le savoir je l’avoue. Elle me raconta les moindres détails de sa nuit avec Lee et il n’y avait pas de doutes, G était sur la voie de la guérison. Pendant se temps dans le salon, les deux petits mecs étaient toujours en train de se chercher les puces ! lol

…
Lee : En tout cas moi à la place de Marie je ne t’aurais pas pardonné si vite.
Dunc : Mais la différence c’est que t’es pas à sa place… Se qui me donne un avantage.
Lee : (Blasé) Faut que t’arrête de te prendre pour un dieu, un jour ça pourrait te faire du tort.
Dunc : Je ne vois pas de quoi tu parles.
Lee : (Lui faisant signe de venir s’asseoir) Eh, mec t’es avec une fille génial et tout se que tu trouve à faire c’est lui piquer des crises pour deux fois rien. MERDE elle t’aime fais lui un peu confiance.
Dunc : (Installé à côté de Lee) Oui, ben j’admets que hier j’ai un peu poussé, mais je me suis excusé donc maintenant on pourrait parlé d’autre choses s’il te plait.
Lee : (Peu convaincu par se que son ami lui avait dit) Oui, mais fais moi confiance je serais là pour te rappeler tes erreurs.
Dunc : Et moi les tiennes… Oh fait alors cette nuit ?
Lee : Quoi cette nuit ?
Dunc : Les choses se sont arrangées entre toi et G ?
Lee : Je pense pas que ça te regarde, non ?
Dunc : (Donnant une petite tape derrière la tête de Lee) mais bien sur que ça me regarde ! Et puis tu sais que ça peut que me faire plaisir que tu sois heureux.
Lee : C’est gentil mec ! Et bien oui c’est arrangé… va falloir y aller doucement mais bon c’est pas un truc qui s’efface si vite.
Dunc : D’après se que nous on a pu en voir c’est bien parti quand même ! Non ?
Lee : Oui, c’est vrai ! C’était un moment très fort je dois l’avouer. (Il avait les yeux dans le vague et se repassaient les images de la nuit passée.)
…

Pendant se temps dans la cuisine G et moi étions toujours en pleine conversation, je dois dire que celle-ci était vraiment très intéressante. G était magnifique en cette journée, on aurait cru une autre personne que celle qui semblait si déprimé hier. Le temps passa et nous étions toujours dans la cuisine à discuter comme nous le faisions souvent avant. Le reste de la matinée se déroula sans problème, G et moi on ne se quittait pas c’était reparti comme au bon vieux temps. Lee et Dunc avaient les yeux qui brillaient de nous voir ainsi. C’est vrai que tout le temps ou G déprimait, moi j’étais pas très en forme non plus cela me faisait mal au cœur de la voir comme ça.

…
G : Mais au fait Marie, comment ça se passe tes cours d’anglais
Moi : Ecoute pas trop mal, mais bon j’ai trop l’impression de me débrouiller mal. Ce n’est pas facile mais je crois que je ne suis pas douée en fait.
G : Mais t’arrive à communiquer avec Dunc et les garçons donc je vois pas pourquoi tu dis ça ?
Moi : Ben c’est facile avec eux ils font des efforts pour comprendre et pour parler français… mais bon lire écrire et parlé l’anglais ben c’est bien plus complexe…
G : Ca fait un moi que t’as commencer tu peux pas t’attendre à parler et t’exprimer comme une pro.
Moi : Oui, mais bon si ça marche pas… Imagine j’ai quitter ma famille mon boulot pour rien…
G : (S’approchant de moi pour me prendre dans ces bras) Mais non t’inquiètes donc pas faut juste que tu sois patiente. Dis tu serais pas en train de nous faire une petite déprime toi ?
Moi : Mais non qu’est-ce que tu va chercher ? (Elle avait peu être raison.)
G : C’est vrai que t’as l’air heureuse, mais j’ai l’impression qu’il y a quelque chose qui te manque.
Moi : (Hochant la tête et faisant la moue) Ben oui, ben c’est la maison qui me manque je crois.
G : Mais t’en à une de maison ici.
Moi : (Mais elle comprend pas ou quoi ?) C’est pas pareil tu le sais…
G : (Qui m’avait cette fois serrer fort dans ces bras) Je comprends, mais ta famille est aussi en partie ici.
Moi : Oui, je sais ! Une belle famille n’est-ce pas ? (En lui faisant un clin d’œil.)
G : un très bel oui en effet.
Moi : Bon aller, on va garder un peu de dignité et aller voir nos hommes ?
G : Très bonne idée… après vous Mademoiselle.

la suite la miss!!!!!!!!!!!

Chap. 56 :


Et nous sommes sortis de la cuisine en rigolant aux éclats. Nous sommes donc aller en direction du salon où nous avions laissé nos hommes un moment auparavant. Ils étaient tout les deux affalés sur le divan en regardant les chaînes musical charmant spectacle je vous jure. On n’avait pas fait de bruit et G et moi nous sommes donc lancé un regard (voulant dire vite vers la cuisine). Aussi vite pensé aussi vite fait nous y revoilà dans notre cuisine, on prit chacune un verre d’eau et on le rempli bien à ras bord puis nous avons reprit la direction du salon. Doucement, tout doucement je me suis placé sans rien dire derrière Dunc et G en fit autant avec Lee. On commençait toute les deux à lever le bras, nous avons ensuite reculé d’un pas pour préparer la fuite… et tout à coup nous avons en même temps versé deux jolis verres d’eau bien remplie sur la tête de nos deux pachas. Et tout de suite après nous avons couru le plus vite possible à travers l’appartement. Les garçons se sont secouer la tête et se sont lever commençant à nous courser en criant…

Lee et Dunc : Ca, ça va se payer les filles !
G et moi : (On s’étaient caché dans la grande armoire mural dans le hall) Ben oui, mais pour ça faudrait nous trouver.
…
Dunc : (parlant à Lee) Eh mec, mais bouges donc c’est ton appart tu devrais savoir où elles peuvent se cacher non ?
Lee : Oui, je devrais ! Mais là je dois dire que je suis perdu. En plus je suis tout mouillé là ça craint. (Et il retire son t-shirt.)
Dunc : (Faisant pareil que Lee et retirant donc sa chemise) Oui, t’as raison !

Les minutes passèrent G et moi étions toujours enfermé dans se placard, nous les entendions passé et repassé de nombreuses fois devant mais rien. Nous étions obliger de contenir nos fous rire quand ils passaient devant nous. Puis pendant un long moment (à vu de nez 15/20 minutes) on entendaient plus rien dans l’appartement. Ce silence commençaient quand même à nous inquiété c’est vrai que c’était pas habituel de ne pas les entendre ces deux là. J’étais tenter d’ouvrir la porte du placard histoire de voir se qu’il se passait… Quand d’un coup on entendit mais d’assez loin Lee parlé à Dunc mais sur un ton assez fort…

Lee : J’en ais marre j’abandonne…
Dunc : Ouais, c’est vrai on à peu être autre choses à faire que de passer l’après midi à courir dans cet appartement.

Puis plus rien. Visiblement ils ne trouvèrent pas le jeu très drôle ! (Dommage.) Bon ben puisque c’est comme ça, je suis sorti du placard la première et quelle ne fut pas ma surprise que je vis Dunc les bras croisé sur son torse nu devant le placard.

Moi : Eh Merde ! (Puis j’ai jeté un coup d’œil vers le haut du couloir et je vis Lee pareil les bras croisé sur son torse) G, bouge pas reste caché c’était un piège.
Dunc : (S’approchant de moi) Ah, vous vouliez jouer ?
Moi : (Le dos collé au mûr essayant d’esquiver et de m’enfuir) Euh… finalement non ! (Petite moue en prime)
Dunc : (Mettant ces mains sur moi) Et tu comptais aller où comme ça ?
Moi : (Innocente) Euh… ben dans la cuisine me chercher un truc à boire.
Dunc : Oh tu veux boire ! (Regardant Lee) Oh mec elle veut boire.
Lee : Oui, mec j’ai entendu mais y’a tout se qu’il faut chez moi !
Dunc : C’est parti… (Et la il me prit et me porta je pouvais rien faire… enfin si crier)
Moi : Non s’il te plait arrête lâche moi… c’est même pas drôle !
Dunc : Non alors ça y’a pas moyen ! Aller Lee à toi de jouer.
Lee : Ok t’inquiète. (Il entra alors dans la salle de bain et je ne le vis plus)
Moi : S’il te plait mon chéri…
Dunc : Pas de chéri qui tien… (Et il me fit entré dans la salle de bain ou Lee était entré précédemment, il me portait toujours) Attention et maintenant c’est nous qui allons rigoler…

J’étais toujours dans les bras de Dunc et Lee était toujours mort de rire dans la salle de bain adosser contre le mur près de la douche. Dunc retira ces chaussures, et moi je dois dire que je trouvais pas ça très rassurant. La porte de la douche était ouverte, Duncan regarda Lee et ils s’échangèrent un regard que je n’aimais pas plus que ça. Duncan entra dans la douche, toujours en me portant et moi je me débattais je les voyait venir les deux là… rien à faire il était trop fort Dunc. Une fois dedans entièrement la porte de la douche se referma sur nous et presque aussitôt de l’eau glacée coula sur nous. Je n’aime pas l’eau chaude mais là, franchement c’était trop trop froid. Lee sorti de la salle de bain et alla à la recherche de G, enfin quand je dis recherche il se doutait bien de où elle était vu que nous étions ensemble, il entra dans la placard et se mit assit à côté d’elle.

Lee : (Posant sa tête sur l’épaule de G) Ah ben quand même j’ai fini par te retrouvé.
G : (Qui rigolait bien) Ben oui comme quoi tout arrive hein ?
Lee : (Avec un petit regard de sadique) Oui, et la vengeance aussi arrive !
G : t’es sûr de vouloir te venger, on est bien là tout les deux non ?
Lee : oui, on est bien tout les deux… (Il approcha alors son visage de celui de G)
G : (Le repoussant un peu) Mais qu’est-ce qui est arrivé à Marie ?
Lee : Heu… peu t’arriver la même chose si tu ne m’embrasses pas tout de suite…
G : serais-ce du chantage ?
Lee : (S’approchant de nouveau) On dira que oui.

Lee et G firent alors un gros câlin, ben oui Monsieur Ryan à des envies lui ! lol Dunc et moi on étaient sous la douche, j’ai frigorifié l’horreur. Une fois sa vengeance terminer Dunc lui aurait bien voulu quelques câlins aussi, mais moi j’étais fâché et donc pas vraiment d’humeur. J’ai bien dû mettre une bonne heure à lui reparler. Puis le reste de l’après-midi se passa super bien tout les quatre ensemble avec des vêtements sec. Lol

Chap. 57 :


Quelques mois se sont passés les choses se sont arrangés entre Lee et G et Dunc et moi filions toujours le parfait amour. Les cours d’anglais se passaient bien et je commençais à maîtriser un peu mieux cette langue que je trouvais si complexe, G elle était devenu l’assistante de Jo le manager des garçons se qui faisait qu’elle ne quittait presque jamais Lee. G elle trouvait le boulot cool, mais le fait d’être sans cesse avec Lee là pesait un peu. Elle voyait toutes ces fans lui courir autour, et cela la mettait super mal à l’aise et la faisait sortir de ces gonds et se qui avait le don de faire rire Lee. Nous avions tout les quatre prit l’avion pour aller passer les fêtes de noël en France dans nos familles respectives. G redoutait un peu se moment, mais elle s’avait qu’elle serait avec Lee et qu’elle n’avait donc pas de soucis à se faire. J’étais heureuse pour ma part de retrouver ma famille, mes parents, mes nièces et mes sœurs… C’était vraiment un moment très fort. Même si je savais que je n’allais pas rester longtemps parmi eux j’ai profité de chaque instants avec eux de façon très intense. Duncan avait bien vite remarqué que le fait de ne pas avoir revu ma famille pendant plus de trois mois m’avait énormément manqué. Mon père était étonné de me voir si heureuse, lui qui pensait que jamais je ne trouverais quelqu’un parce que je pensais trop à m’amuser et que je ne prenais pas assez la vie au sérieux, ben quelque part j’avais pris une belle revanche sur lui. Et quelque part je dois dire que j’en étais assez fière. Duncan n’avait pas peur de montrer ces sentiments pour moi devant ma famille et mes proches et c’était vraiment super parce que comme ça tout le monde voyait l’homme que j’aimais tel qu’il est vraiment. La veille de notre départ nous avions passé une soirée avec tout mes amis (es) et c’était vraiment une belle fête parce que j’étais avec toute les personnes à qui je tenais. Tout le monde était un peu intrigué par Duncan, mais la soirée ce passa bien et je fut bien triste au moment où il fallut à nouveau les quitter. J’avais tellement envie de rester ça crever les yeux, mais ma vie était ailleurs désormais. Pour notre premier noël ensemble Duncan et moi avions décidé de nous offrir nos cadeaux seulement à notre retour à LONDRES parce que avec les garçons ils avaient comme tradition de passé les fêtes ensembles et donc de s’offrir les cadeaux tous ensemble. Cette année les choses étaient un peu chamboulées par le fait que nous étions partit sur la France, donc l’ouverture des cadeaux de noël se ferait pendant le réveillon de la nouvelle année.
Etant donné que nous n’étions pas là pour noël, nous avions la garde de Tiannie pour la nouvelle année et Duncan était déjà tout fou de savoir sa fille avec lui. Tiannie était déjà une belle petite fille de presque 10 mois elle rampait et amusait toute la galerie. Elle avait le sourire et les yeux de son papa ainsi que son petit nez et une adorable fossette sur le visage. Elle était tout simplement adorable comme son papa. Je n’étais soit pas sa mère mais je l’aimais quelque part comme si c’était ma fille, nous partagions une grande complicité quand elle était avec nous. Nous nous sommes tous réuni chez Sy pour fêter dignement la nouvelle année, chacun est arrivé avec pleins de paquets. Sy avait lui aussi la garde de Allahna sa fille se qui donnait un peu de compagnie à Tiannie et Emilie la fille de Anthony. Nous avons tous but l’apéritif ensemble dans la bonne humeur qui elle était toujours présente quand les 4 terribles étaient réunis. Le repas avait commencé dans la bonne humeur, les trois petits diables s’étaient endormis sur le canapé en regardant des dessins animés. Les trois papas poules, ont donc emmené leurs progénitures dans la chambre que Sy avait préparée à cet effet. Ils sont redescendu après une petite demi heure, pendant laquelle G et Lee en avait profité pour passé un petit moment seul tout les deux, et moi je m’étais installé avec Lucy pour discuté un peu toute les deux histoire d’apprendre un peu mieux à la connaître parce que c’est vrai même si on se voyait souvent je ne la connaissait pas tant que ça. Installé dans la cuisine après avoir fait la vaisselle nous discutions donc…

Lucy : Alors Marie, on n’a pas trop eu le temps de discuté même si ça fait un moment que tu vis ici maintenant. Ca te plait la vie ici ?
Moi : (Les yeux dans le vide je réfléchissais) Euh, ben oui c’est une chouette ville. Mais je vais te dire que la France me manque quand même.
Lucy : (Avec un air compatissant) Ben, oui c’est normal je te comprends tu sais. Mais DUNC est là, et tout se passe bien non ?
Moi : Dunc, ben oui avec lui tout se passe bien. Je ne pensais pas que je pouvais être si heureuse avec quelqu’un.
Lucy : ben c’est cool si vous, vous êtes trouvé… Vous aller très bien ensemble. Votre bonheur fait envie.
Moi : Mais pourquoi avec Anthony ça se passe pas bien ?
Lucy : Si, bien au contraire mais c’est plus la même relation qu’on avait au départ et ça me manque un peu.
Moi : C’est dommage… mais bon je sais qu’il t’aime donc rassures toi déjà la dessus.
Lucy : (Avec un petit sourire) Je le sais c’est d’ailleurs une grande chance de l’avoir. Et toi, enfin vous, c’est quand que vous allez donner une petite sœur ou un petit frère à Tiannie.
Moi : Euh… (Gêner) J’en sais rien j’y ais jamais penser. Et on en à jamais vraiment parler en fait… On est heureux comme ça pour le moment.
Lucy : Oui, t’as raison d’en profiter… Mais rien qu’en le voyant avec Tiannie et en te voyant toi avec les enfants…Ben je suis sûr que vous ferez des parents formidable.
Moi : Merci (Encore un peu plus gêner) c’est gentille. Mais c’est vrai j’adore les enfants et Tiannie est une gamine géniale.
…
Finalement Lucy était une fille géniale j’ai beaucoup aimé discuté avec elle. Nous sommes revenus toutes les deux dans le salon ou tout le monde nous attendait pour l’ouverture des cadeaux, et je dois dire que j’ai étais étonné de ne pas voir Dunc débarquer dans la cuisine pour interrompre la conversation que j’avais eu avec Lucy. Nous avons donc reprit nos places à table, et Lucy me fit un clin d’œil avant d’aller embrasser Anthony. Dunc qui avait vu le petit geste de Lucy me regarda avec un regard plein d’interrogation, je n’avais pas envie de rentrer dans les détails ni d’en parler d’ailleurs alors je me suis contenté de lui prendre la main et de poser ma tête sur son épaule. Il mit alors sa tête contre la mienne, et nous avons continuer à discuté tous ensemble jusqu’à se que Monsieur Ryan ouvre sa bouche pour nous débité une petite bêtise (aller c’était pas méchant.)

Lee : (Se frottant les mains) Bon il est 22 heures, je crois qu’il est temps d’ouvrir les cadeaux non ?
Dunc, Simon et Anthony : Oui super idée… Pour une fois Ryan !
Lee : Oh c’est bon… alors vous attendez quoi ?

Et tout le monde se leva et alla chercher les paquets qu’ils avaient préparés. Les garçons s’échangèrent en premier leurs paquets c’était une tradition chacun offrait un cadeau à l’autre. Ils avaient tout reçu, baskets, pull (chemise pour certains) pantalons casquettes… histoire de refaire la garde robe de chacun des Blue. Les enfants avaient aussi étaient gâtés mais ils ouvriraient leurs cadeaux le lendemain car elles dormaient déjà toutes à points fermés. Anthony avait offert un week-end en amoureux à Lucy alors qu’elle lui avait offert une belle montre avec leurs deux prénoms gravés dessus. G avait offert une gourmette à Lee avec son prénom gravé dessus ainsi que « LOVE G » elle avait rajouté dans la boite un petit mot ou elle avait pris soin d’écrire ces quelques mots… « When i think of love,… I think of you ». En lisant cela, une larme coula le long de la joue de Lee qui était émue par l’attention de la fille qu’il aimait tant. Il se jura alors de ne jamais lui faire de mal. (Ca ça reste à voir !) Lee, lui avait décidé de rentré dans ces frais en achetant à G une splendide parure de bijoux sachant qu’elle adorait tout se qui brillait. Il avait choisi quelque chose de simple pas trop tape à l’œil, mais assez pour que G l’apprécie. En ouvrant la boite elle était en admiration devant ces bijoux qu’elle trouvait tout simplement magnifique, Lee s’empressa de lui mettre le collier et le bracelet que la boite contenait pour voir se que cela donnait sur G. elle ne trouva de mot pour le remercier et se contenta de l’embrasser avec tout l’amour qu’elle lui portait alors. C’était au tour de Dunc de recevoir son cadeau, j’étais pas sûr de se que j’avais acheter mais bon voilà fallait bien qu’il s’en contente. Je pris la boite que j’avais préparer pour Dunc et je lui tendis, il la prit la posa sur la table du salon et commença à ouvrir. Dans ma tête je me disais « pourvu que ça lui plaise », il continua à ouvrir avec beaucoup de mal, et tout le monde le regardait. Puis il s’arrêta et regarda plus intensément la boite…

Dunc : (Heureux mais super surprit) Oh, Mais… mais c’est …
Lee : (S’approchant de lui) Oui, c’est … (regardant dans la boite) Une super idée Marie.
Dunc : (Tout excité) Oui, une super idée. Mais comment t’as su que je voulais ça ? (Il s’approcha me serra fort dans ces bras et m’embrassa avec fougue)
Moi : Euh… tu sais qu’on vit ensemble non ? Donc c’est un peu normal que je sache se qui te plait non ?
Dunc : Oui, mais là, c’est un magnifique cadeau, attention tout le monde vous êtes filmé… (En prenant son nouveau jouet en main)
Moi : Comme ça tu pourras te faire des films de tout les bons moments qu’on passe.
Dunc : Franchement c’est génial… je sais pas comment te remercier.
Moi : Te voir comme ça me suffit tu sais… tu m’as déjà offert le plus beau des cadeau là. (Puis il m’embrasse à nouveau)

Puis se fut à mon tour d’ouvrir mon cadeau enfin mes cadeaux puisque monsieur ne s’était pas contenté d’en offrir qu’un seul. Il y avait d’abord une boite assez importante, que j’ouvris en premier bien sûr. Cette boite contenait un ordinateur portable ainsi qu’un dispositif de vidéo conférence, et il avait collé un mot sur l’écran de L’ordinateur, « So that any moment has you could remain in liaison, with people to which you hold. LOVE DUNK » J’avais les larmes aux yeux de cette belle attention qu’il venait de me porter, c’était sans doutes dû au fait qu’il m’avais vu si triste de devoir a nouveau quitter ma famille quelques jours auparavant. Je me suis donc immédiatement levé et je lui ais sauté dans les bras pour le remercier de ce présent. Il me serra fort en refermant ces bras sur moi, il m’embrassa dans le coup et me murmura à l’oreille « je t’aime, tu ne sais pas tout se dont je suis capable pour toi. » je ne répondis pas car effectivement je n’avais aucunes idées de tout ce qu’il pouvait être capable de faire par amour. Puis il vint m’offrir le deuxième paquet, un petit sac d’une boutique Londonienne ou se trouvait un T-shirt blanc un peu moulant avec des inscriptions qui firent rire tout le monde… a l’avant du t-shirt il y avait marqué « DUNK, LOVE ME » et à l’arrière du t-shirt on pouvait lire « AND… I LOVE DUNK » en tout cas une chose est sûr c’est que Dunc à beaucoup d’humour. Puis vint le cadeau un peu plus personnel, il se mit derrière moi un beau petit collier super discret mais trop trop beau (une chaîne en or qui relier deux lettres parsemé de diamants entremêlé l’une à l’autre M et D). C’était magnifique je savais pas quoi dire, je me suis juste contenter de verser ma petite larme, (oh, attention je deviens trop émotive moi) et de me blottir fort contre lui.

…
Moi : (Encore une fois aux bords des larmes) Oh, mais… je… c’est… Magnifique !
Tous : (Mort de rire, il me voyait bégayer)
Dunc : Oh c’est pas la peine de te mettre dans des états pareil… c’est rien…
Moi : Comment ça c’est rien, non mais c’est magnifique… Je t’aime si tu savais !
Dunc : (Me serrant fort contre lui) Mais moi aussi je t’aime… t’es trop mignonne quand t’es ému tu sais ?
Moi : Oui, mais c’est pas sympa… parce que tu abîme à chaque fois mon maquillage.
Dunc : (M’essuyant les yeux des quelques larmes qui avaient coulé) Mais tu sais que je te préfère sans rien au naturel.

La soirée de la nouvelle année continua sur la même voie c’était tout bonnement génial nous passions un agréable moment avec des personnes qui étaient chers à nos cœurs. Après les douze coups de minuits Sy nous avait réservé une petites surprise… il avait fait faire un montage vidéo retraçant notre vie à Londres à G et à moi depuis notre arrivée à LONDRES. Ont avaient bien rigolé en visionnant cette vidéo, le concert auxquels on avaient pu assister la déclaration de Dunc… un espèce de parcours depuis que nous étions tous ensemble c’était marrant. Tout le monde était mort de rire Lee toujours en train de faire des grimaces quelques séances confidences entre G et moi ou Lee et moi… ce n’est pas beau d’espionner Sy ! lol
Nous avons ensuite tous dormis chez Sy pour ne pas réveiller les filles. Puis la vie a suivit son cours, une nouvelle année avait commencé et je l’espérais qu’elle soit aussi bonne que celle qui venait de s’achever même si quelques coups durs nous avaient rendu la vie moins belle.

Chap. 58 :


Nous voilà donc au printemps de cette nouvelle année. Nous sommes au mois de mars quelques jours à peine avant mon anniversaire. J’avais commencé mon emploi en tant que stagiaire dans une association d’aide aux jeunes à LONDRES et je dois dire que je trouvais cela vraiment très enrichissant. Les garçons étaient partis en tournée durant quelques semaines en début d’année et donc G était parti elle aussi avec eux. Je me suis donc retrouvé seule dans cette grande ville pendant un bon moment, j’étais bien heureuse d’avoir alors mon travail. Bien sur il y avait le téléphone que Dunc n’avait aucuns problèmes à utilisé puisqu’il est toujours collé à son téléphone (non mais c’est grave je vous jure), il y avait aussi ce magnifique ordinateur qu’il m’avait offert mais cela ne compensait pas le manque qu’il y avait alors ans ma vie. Ce n’était qu’un cap à passer, ils sont rentré fin février et j’en étais bien heureuse. Ils étaient enfin tous en vacances, sauf G et moi pauvre de nous. Moi je devais travailler dans l’association et G elle devait préparer avec Jo le planning à venir des garçons qui, quoi, où, comment et tout cela en tenant compte des planning qu’ils avaient séparément à cause de leurs carrière solo. Autant dire un vrai casse tête chinois quoi. Lee et Dunc avaient décidé cette après midi là d’emmener Tiannie faire un tour dans un parc d’attraction pour enfants. (Bizarre l’idée quand on tient compte qu’elle à peine un an la miss) G et moi avions décidé de nous voir toutes les deux pour discuter après nos emplois respectifs. Nous nous sommes donc rejoint en ville pour pouvoir aller manger un morceau ensemble dans la soirée. J’arrivais pas à rendre compte que cela faisait déjà 8 mois que nous vivions en Angleterre c’était effrayant comme le temps passait vite et encore d’ici quelques jours j’allais encore prendre une année de plus. Nous, nous sommes installé toutes les deux dans un petit restaurant mexicain idéal pour les repas convivial je vous assure. Tranquillement installé donc nous avons commencer à discuté…

Moi : (Très curieuse comme d’habitude) Alors G c’était comment cette tournée ?
G : Franchement génial ils ont trop assurés.
Moi : (Encore plus curieuse) Et Lee était sage ?
G : Bah attends il avait plutôt intérêt ! Je crois que c’est un record pour lui rester avec une fille si longtemps. Et si la prochaine question c’est est-ce que Dunk à été aussi sage… ben la réponse est oui.
Moi : (Surprise) Euh, mais n’importe quoi je voulais pas dire ça. Eh, c’est vrai ?
G : Oui c’est vrai, il était poli avec les fans, mais rien presque il ne regardait pas les danseuses.
Moi : Ah ?
G : Ben oui presque tu sais… un petit regard parfois sur scène mais rien de plus. Et puis tout de suite après le concert il t’appelait même si c’était juste pour te laisser un message.
Moi : (Le sourire aux lèvres) Oui ça je sais. C’était trop mignon d’ailleurs il passait un temps fou à m’expliquer tout se que vous faisiez.
G : et toi alors… sage ?
Moi : (Haussant les épaules) Ben oui qu’est-ce que tu crois ? Boulot puis je suis allé quelques fois chez Fiona quand elle avait Tiannie. Et j’ai avancer un peu dans mes cours d’anglais bientôt je parlerais comme toi… lol
G : Ouais bon là faut pas rêver non plus ! lol
…
G : Et, dis donc quand t’étais chez Fiona t’as pas un peu abusé des bonnes choses ? (Me regardant de travers)
Moi : PARDON
G : Ben écoute je t’es pas vu pendant presque un mois… et je dois dire que j’ai remarqué qu’il y à quelques rondeurs qui n’étaient pas là avant… disons 3 kilos !
Moi : (Avec de gros yeux) Eh, même pas vrai !
G : Ben prouve le alors !
Moi : Quand tu veux !
G : tout à l’heure on passe chez moi avant que tu rentres. Et on va faire un tour dans la salle de bain.
Moi : (exaspérer) Très bien !
G : Très bien !
…

La soirée continua néanmoins dans la bonne humeur à se raconter tout se que l’on avait pu se dire pendant ces quelques semaines. 22 heures nous sommes rentré ensemble chez Lee et chez G aussi bien sûr. L’appartement était vide Lee devait sans doute encore être avec Duncan et c’était pas plus mal… Nous sommes donc allé toutes les deux dans la salle de bain et G me sorti la balance. (Bon sang c’est pas ma copine celle là) elle me fit signe de monter dessus, se que je fis donc après avoir enlever mes chaussures.

…
G : (Contente d’elle) Ah, tu vois j’avais raison !
… : (dans l’encolure de la porte) A quel sujet ?
G et Moi : (Se retournant) LEE !
Lee : Ben oui c’est moi je vous rappel que j’habite ici. (S’approchant pour embrasser G et me faire une bise aussi) G : Oui ça je le sais, mais tu peux s’il te plait nous laissé.
Lee : Oui, mais j’aimerais savoir à quel sujet tu avais raison !

Moi : (Remettant mes chaussures) Rien, laisse c’est rien. Bon j’y vais moi. A très vite les amoureux !
G : Mais Marie…
Moi : Je t’appel G (j’étais alors déjà devant la porte pour sortir)
G : Ok
…
Sortant de l’appartement et me dirigeant vers la voiture qui n’était pas loin de là.

(Moi) Oh, mais c’est qu’elle avait raison, trois kilos en plus. Mais comment c’est possible j’ai rien fais pourtant qui aurait pu me faire prendre du poids… attends non c’est pas possible… mais non Marie enlève toi cette idée de la tête.

Puis je suis rentré à la maison pour rejoindre mon homme et son petit ange qui devait déjà dormir. Pendant se temps chez Lee et G qui étaient sur le point d’aller se coucher la conversation tournait autour de se que Lee avait vu en rentrant à l’appartement.

…
Lee : Bon alors ma chérie (mettant ces bras autour de G) tu veux pas me dire à quel sujet tu avais raison ?
G : Je suis pas sûr que marie soit d’accord que je parle de se genre de choses avec toi.
Lee : (Tête d’enfant) Oh, ben je ne sais pas toi, mais moi je ne vois pas de Marie ici.
G : C’est vrai mais bon…
Lee : Bon quoi ?
G : Je te connais tu va encore t’empresser d’aller tout répété à Dunc.
Lee : parce que ça à un rapport avec Dunc ?
G : NON !
Lee : Bah, alors ! Je ne vois pas où est le problème. (Lui faisant un long baiser dans le coup)
G : Euh, ben rien de grave c’est juste que Marie a prit quelques kilos.
Lee : Ah ?
G : Ben oui, tu vois c’était rien d’exceptionnel… mais je penses pas que cela te regarde.
Lee : Oh vous et vos complexes de filles. (C’est bien Lee t’as encore tout compris ! lol)

J’étais arrivé chez moi, j’ai posé mon sac je suis aller faire un tour dans la cuisine pour prendre un truc à boire et par la même occasion un truc à grignoter parce que mine de rien j’avais un peu faim, et qu’elle ne fut pas ma surprise quand j’ai refermer la porte du frigo j’ai trouver Dunc debout devant moi avec un petit sourire.

Dunc : (m’aidant à tout poser sur la table) Ben dis moi t’as pas encore mangé ?
Moi : (faisant une moue) Euh, si mais figure toi que j’ai encore un peu faim là.
Dunc : (regardant la table) Un peu ?
Moi : Oui, un peu.
Dunc : (Venant tout de même m’embrasser) quelque chose à changer en toi depuis notre retour…
Moi : Ah bon quoi ? Ne me dis pas toi aussi que j’ai pris du poids parce que sinon je sais pas se que je fais.
Dunc : (Qui était étonnée de ma réaction) Mais non, moi je t’aime comme ça. J’aurais juste dis… que j’ai encore plus envie de toi depuis qu’on est rentré…
Moi : (Retrouvant le sourire) C’est vrai ? Ben tu vois je préfère entendre ça…
Dunc : (Me soulevant et me posant sur la table) Oui, ben moi je préférerais qu’on arrête de parler…
Moi : (Mais j’ai faim moi…) Oh, toi alors…

Il m’allongea alors sur la table de la cuisine et me fit l’amour sur celle-ci avec tout le désir qui pouvait régner entre nous deux. Il était doux, amoureux et faire l’amour avec lui était si tendre que j’en oubliais tout l’inconfort de l’endroit ou on se trouvait. Il me porta ensuite jusqu’à notre chambre où nous nous sommes endormi l’un contre l’autre enlacé.

Chap. 59 :

Nous sommes à présent la veille de mon anniversaire, je suis dans la salle de bain en train de me préparer à aller au travail comme tout les jours. Je me disais…

(Moi) Mais c’est pas possible pourquoi j’arrive pas à les descendre ces trois kilos… et puis qu’est-ce qu’ils font là aussi… je leurs ais pas demander de venir que je saches…

Je suis partie au travail après avoir embrasser Dunc qui était encore bien endormi. La journée se passa sans problème, mais le soir je me suis décidé à aller voir un médecin pour voir d’où provenaient ces kilos que je n’arrivais pas à perdre. Je n’aime pas spécialement aller chez le médecin mais cela était en train de me tourner dans la tête depuis quelques jours. Le médecin me fit entré et me posa quelques question avant de m’ausculter, il souri en m’entendant parlé de part mon accent français et d’autre par de se que je lui racontais. Il avait déjà son idée sur le diagnostic mais me fit tout de même faire une prise de sang… résultats le lendemain. Je suis rentré chez nous, Dunc avait préparé un bon petit repas, et avait prévu une soirée vidéo devant un bon DVD pour que nous puissions profité d’un moment seul tout les deux. Nous étions à table quand Dunc commença à parler de mon anniversaire qui c’est vrai approchait…
…
Dunc : Alors ma Chérie, demain c’est un jour important…
Moi : Euh, ben non c’est un jour comme un autre tu sais je vais travailler je vais passer du temps avec l’homme que j’aime… je vois pas se qui change ? Ah si rectification faite, je suis en congé demain c’est vrai.
Dunc : (Touché par se que je venais de dire) C’est mignon se que tu viens de dire… Mais tu as torts c’est la première fois qu’on fêtera ton anniversaire ensemble… et crois moi se sera pas la dernière.
Moi : (Le regardant avec les yeux qui brillaient) Ben j’espère bien… mais s’il te plait c’est possible de le passé rien que toi et moi cet anniversaire ?
Dunc : (Qui avait l’air un peu gêner par se que je venais de dire.) Oui, enfin sauf que avec les gars on à déjà prévu quelque chose… mais je te promets que des soirées tout les deux y’en aura d’autres. S’il te plait c’est une surprise.
Moi : (Tout bas) Tu risque aussi d’en avoir des surprises ! (Plus haut) Oui, c’est bon… mais pas longtemps.
Dunc : (Qui avait entendu une partie de se que j’avais dis à voix basse) Pardon ? Tu parlais de surprises ?
Moi : Non, c’est rien chéri…
Dunc : Hum
Moi : Oui, qu’est-ce qu’il y a ?
Dunc : Rien mais j’ai l’impression que tu me cache quelque chose… et je n’aimes pas trop ça.
Moi : Je sais que t’aimes pas ça… et je te dis que je ne te caches rien ! J’ai quelques soucis au boulot mais je n’ai pas trop envie d’en parler voilà tout. Ça ira mieux demain. (Oh la menteuse…)Dunc : Comme tu voudras, mais je te rappel qu’il y à quelques mois tu m’as promis de tout me dire à l’avenir.
Moi : (Aie j’y avais pas pensé à ça.) Ben oui, mais je ne vois pas où est le problème. Tout va bien et je t’aime.
Dunc : (Se levant de table et se mit accroupi devant moi) Moi aussi je t’aime. C’est pour ça que je m’inquiète pour toi. (Et il dépose un doux baiser sur mes lèvres.)…

Le reste de la soirée se passa sans aucuns problèmes. Nous n’avons plus reparler de se qui aurait pu éventuellement me perturber. Nous sommes aller nous couché bien sagement (pour une fois) je me suis endormis dans les bras de mon chéri et c’était fort agréable.
Nouvelle journée… Nous sommes le 21 mars et voilà j’ai un an de plus… j’ouvre les yeux mais je n’ai pas envie de me lever. Dunc qui était déjà depuis un moment en train de me regarder dormir le sourire aux lèvres. il se pencha et m’embrassa le front, je me suis retourné et je l’es embrasser à mon tour. J’adorais me réveillé comme ça… c’était tout bonnement génial.
…
Dunc : (M’embrassant dans le coup) Bonne anniversaire ma chérie.
Moi : (Avec un large sourire sur le visage) Merci, c’est adorable de se réveillé comme ça.
Dunc : (Se retournant et chercha quelque chose qu’il avait posé près du lit) Tiens c’est pour toi, un avant goût du reste de la journée.
Moi : (Il venait de m’offrir une rose rouge) Oh, comme c’est mignon ! (Je m’aperçu que plus tard qu’il y avait un ruban attaché à la rose, et à se ruban était attaché une bague.) Oh, mais.
Dunc : C’est la bague que je t’avais promis tu te souviens ? (Détachant le ruban de la rose)
Moi : Je sais pas quoi dire… (La gorge serrer)
Dunc : Attends que je te pose la question pour vouloir dire quelque chose. (Avec un petit sourire au coin des lèvres)
Moi : (Les yeux qui brillaient) Oh, Oui pardon…
Dunc : (La bague dans la main) Maire, c’est peut-être pas le bon moment mais voilà j’ai choisi cette journée parce que c’est ton anniversaire et je voyais pas quoi t’offrir d’autre que mon amour… Et plutôt que de te faire ma demande devant tout le monde, je préfère ne partager se moment qu’avec toi… Donc… Marie accepte tu de devenir ma femme ?
Moi : (Bouche bée devant les paroles de Duncan, je clignais des yeux, je me mordillais les lèvres mais aucuns sons ne sortait de ma bouche) Euh… bah… (Je hochais la tête)
Dunc : Je prends ça pour un oui ? (Approchant sa tête de la mienne)
Moi : (Qui essayais tant bien que mal d’articuler) OUI ! (Et la je l’embrasse, du plus doux des baiser qu’il soit)

(Moi) Madame JAMES, non mais je rêve ! Non, non, non je ne rêve pas… Oh c’est le plus beau jour de ma vie… qui c’est peu être que moi aussi j’aurais une belle surprise pour lui d’ici peu.

Duncan et moi avons encore passé un long moment ensemble au lit dans les bras l’un de l’autre à savourer cette nouvelle fasse de notre vie qui allait bientôt commencer. J’étais bien dans ces bras, c’était vraiment le pur bonheur. Inconsciemment il posa sa main sur mon ventre et à ce moment là un frisson me parcouru. Il se redressa un peu dans le lit tout en me gardant dans ces bras. Je posais ma tête sur son torse et il me caressa le visage du bout des doigts. Toujours allongé je ne me laçais pas de contempler la bague que je portais à la main droite. Elle était si belle, si simple et malgré toute la beauté de se bijoux je ne pouvais cesser de me dire que tout les bijoux du monde n’était rien à côté de l’amour que Dunc pouvait me porter. Je me suis alors à mon tour redresser et j’ai commencer à jouer avec la chaîne que Dunc portait autour du coup. Puis je commençais à lui murmurer à l’oreille…

Moi : (Au creux de son oreille) Merci
Dunc : (Continuant de me caresser les cheveux) De quoi ?
Moi : (Approchant alors mes lèvres des siennes) De faire de moi la fille la plus heureuse. Et de m’aimer.
Dunc : C’est moi qui devrais te remercier… en quelques mois tu as su complètement changer ma vie. Et je ne t’en remercierais jamais assez…
Moi : Et toi tu as changer la mienne…
…
Dunc : On passe la journée ensemble t’en penses quoi ?
Moi : (Avec un sourire en coin) Moi je demande pas mieux… J’ai juste un truc à faire en fin de matinée après je suis toute à toi.
Dunc : Et je peux pas t’accompagner faire se truc ?
Moi : (Faisant semblant de réfléchir) Euh… NON !
Dunc : Pourquoi ?
Moi : Parce que je t’aime…
Dunc : Je suis en train de me faire avoir là non ?
Moi : Un peu oui… (Puis je l’embrasse et je sors du lit me dirigeant vers la salle de bain.)

Dunc resta un moment seul dans la chambre afin de s’habiller lui aussi. J’étais dans la salle de bain en train de me laver les dents quand mon portable se mit à sonner, impossible pour moi de décrocher c’est donc Dunc qui s’en chargea. Il décrocha donc le téléphone et resta à proximité de la salle de bain…

Dunc : Allo
… : Marie, c’est Lucy ! Oh, mais c’est pas Marie !
Dunc : Bah, non loupé c’est Dunc.
Lucy : Salut ça va beau gosse ? La reine de la journée est là ?
Dunc : (Me regardant dans l’encolure de la porte de la salle de bain) Oui, moi ça va très bien et toi ? Et la mademoiselle elle est dans la salle de bain… en plein combat avec la brosse à dents…
Lucy : Oui, la forme. Euh ben c’est pas grave tu lui transmet juste un petit message.
Dunc : ok pas de soucis va y je t’écoute.
Lucy : Alors tu diras à ma petite puce (Hi hi hi le surnom) que je l’attends à 12 heures 30 minutes chez Frankie.
Dunc : Ah bon ?
Lucy : Eh, du calme mec je vais déjeuner avec Marie je vais pas la tuer.
Dunc : (Déçu) Oui, mais je devais passer la journée avec elle.
Lucy : Tu passeras l’après-midi avec elle et la soirée et la nuit enfin après tu fais se que tu veux. C’était prévu depuis un moment donc si elle n’est pas là… ben je saurais qui je devrais venir tuer.
Dunc : C’est bon, t’énerve pas… je transmets. Il fait quoi de beau Anth ?
Lucy : Il va partir faire une balade avec Emily pourquoi ?
Dunc : Dis lui que j’arrive je viens avec lui… au moins je serais pas seul…

Dunc, vint me rejoindre dans la salle de bain où j’étais à présent en train de me maquiller. Il se mit assit sur le bord de la baignoire et commença à parler d’un air triste…

Dunc : Tu m’avais pas dis que tu devais déjeuner avec Lucy !
Moi : (Faisant rouler mes yeux) Oh mince, désolé j’avais complètement oublier. Mais comment tu le sais ?
Dunc : Elle vient d’appeler pour te le rappeler tu vois tout le monde sait que t’es tête en l’air.
Moi : (Vexer) Ben ça c’est un joli compliment…
Dunc : tu dois la rejoindre à 12 heures 30 chez Frankie… il n’est que 10 heures 45 minutes on à encore un peu le temps.
Moi : (Regardant ma montre) Euh… mais c’est pas vrai je suis carrément à la bourre alors.
Dunc : (Faisant les gros yeux) Pardon, tu va pas me dire que tu mets 2 heures à aller là bas ?
Moi : Mais, non ! Mais je t’avais dis tout à l’heure que j’avais un truc à faire. Et la excuse moi mais je dois vraiment y aller.
Dunc : mais euh… Bon ben tu m’appel plus tard quand même.
Moi : (m’approchant pour l’embrasser… ben oui quand même j’allais pas partir comme ça) Oui, pas de soucis quand j’arrive au resto avec Lucy je te passe un coup de fil t’auras qu’a passer me prendre après.
Dunc : Compte sur moi…

Je suis donc parti, en direction du cabinet médical pour connaître les résultats de la prise de sang que le médecin m’avait fait la veille. Dunc quant à lui alla chez Anthony.

un bébé!!!! mdr t enceinte jss sur!!!!
alllez vx la suite moi madame JAMES!!!!!!!!!!!!

Chap. 60 :


Dunc est arrivé chez Anthony, Lucy était déjà parti pour faire quelques courses avant d’aller me rejoindre pour notre déjeuner. Ils sont donc sortis tout les trois en route pour une petite balade. Pendant la balade Anthony et Dunc se sont installés sur un banc dans un parc pour discuté…

…
Ant : Alors mec, quoi de prévu se soir pour l’anniversaire de la miss…
Dunc : Ben écoute, comme on avait prévu… une soirée tous ensemble dans un bon restaurant. Puis ensuite G m’a aider à lui faire une petite surprise… je suis sûr qu’elle va pas en revenir… moi en tout cas je me suis bien amusé.
Ant : (Le regardant avec de gros yeux) Euh… et tu compte rien me dire c’est ça ?
Dunc : (Avec ces yeux pleins de malices) Si tu me dis, se que Lucy et Marie on à faire ensemble.
Ant : Ben ça si je le savais… Elle est restée muette comme une tombe.
Dunc : (Soupçonneux) Je le savais elle cache quelque chose !
Ant : Eh, mec c’est ça les femmes ! (Lui passant alors le bras autour du coup)
…

Pendant se temps j’étais assise dans la salle d’attente du cabinet médical où la veille j’avais fais ma prise de sang. J’y étais aller de bonne humeur, la veille je dois avouer que j’étais plutôt angoissée à l’idée de pouvoir être enceinte… mais cela aujourd’hui ne me faisais plus peur je ne sais pas pourquoi. Quelques minutes plus tard, la secrétaire du médecin vint me chercher afin de m’installer dans le cabinet. Je pris donc place sur l’un des sièges qui se trouvait dans le cabinet et je patientais encore quelques minutes. Le médecin arriva…

Docteur : Bonjour mademoiselle !
Moi : (Lui serrant la main) Bonjour docteur.
Docteur : Alors comment va-t-on aujourd’hui ?
Moi : Plutôt bien merci, un peu tendue je dois avouer.
Docteur : Y’a vraiment pas de quoi… alors voyons donc ces résultats… (Il prit mon dossier, l’ouvrit et commença à lire les résultats de la prise de sang) Moi : (Impatiente) Alors ?
Docteur : C’est bien se que je pensais (Levant les yeux du dossier) A quand remonte vos dernières règles mademoiselle ?
Moi : (Surprise par la question, j’us besoin d’un moment pour y réfléchir) Euh… Autant que je m’en souvienne fin décembre un peu avant noël pourquoi ?
Docteur : Et cela ne vous à pas inquiété de ne pas les avoir pendant trois mois ?
Moi : Je dois avouer que non, cela m’est déjà arriver une fois… pendant une période plus longue qui plus es.
Docteur : Ben cette fois, ben c’est différent…
Moi : (Faisant de gros yeux) Ah bon, pourquoi ? Est-ce que je serais…
Docteur : Oui, vous êtes bien enceinte !
Moi : Mais euh… de… depuis quand ?
Docteur : (Me regardant de bas en haut) ben, on va passer à côté pour faire une échographie et je vous dirais cela avec plus de détails. Mais au vus de vos rondeurs… je dirais 10 semaines.
Moi : (Me levant et me dirigeant vers la salle d’auscultation) tant que ça ?
Docteur : Possible que se soit encore de plus…

(Moi) Enceinte… eh ben que de nouvelles pour une seule journée… je n’en reviens pas une demande en mariage et un bébé ! Ben c’est Dunc, qui là être surprit !

Je suis monté sur la table d’auscultation pendant que le docteur préparait l’appareil pour effectuer l’échographie. Je me suis allongé j’ai remonter quelques peu ma chemise et baissé un peu mon pantalon. Il étala du gel sur mon ventre, bouh c’était froid… Il commença alors l’examen, il me montra alors plusieurs choses sur l’écran et prit des notes pour pouvoir ensuite évalué à quel date environs le bébé avait été conçu. Comme ça sur l’écran c’est vrai que ça ne ressemblait pas à grand-chose… tout petit et moi si le médecin ne m’avais pas dit se que c’était ben j’aurais pas pu dire que c’était un bébé. Puis le médecin s’arrêta soudain et regarda de plus près l’écran… je commençais réellement à avoir peur…

Moi : (Effrayée) Qu’est-ce qu’il se passe docteur, y’a un problème ?
Docteur : Non je ne vais pas appeler ça comme ça… Mais, mademoiselle si vous êtes étonnée d’être enceinte vous allez l’être encore plus…
Moi : Mais alors, je ne suis pas enceinte c’est ça ? (Je ne savais plus quoi penser)
Docteur : Oh, si bien au contraire… et vous attendez même des jumeaux ou des jumelles ça nous le seront que plus tard.
Moi : Comment… pardon… non c’est une blague !
Docteur : non, non, non… je vous assure il y à bien deux petits bout qui grandissent en vous. Et je crois que je ne m’étais pas tromper enfin de très peu en tout cas, j’estime votre grossesse à 9 semaines 10 tout au plus.
Moi : (Sur un ton ironique) D’où mes trois kilos qui veulent pas partir !
Docteur : Oui, et ce n’est que le début.
…

Puis je suis donc aller me rhabiller, pour retourner dans le cabinet du médecin où celui-ci m’attendait. Il m’expliqua quelques petites choses et me tendit une ordonnance afin que je commence dès aujourd’hui à prendre des vitamines afin de ne pas être épuisé après quelques semaines. Je suis sortis du cabinet, j’avais le sourire aux lèvres et les yeux pleins d’étoiles… je m’imaginais déjà annoncer la nouvelle à Duncan. Je posais les mains sur mon ventre et je souriais de nouveau, je pris alors la route en direction du petit resto où devait m’attendre Lucy. Fallait que je le dise à quelqu’un je ne pouvais pas garder ça pour moi pendant tout se temps.

Chap. 61 :

Je suis arriver au resto et j’ai vu Lucy déjà installé avec un verre à une table elle me fit signe pour me dire où elle se trouvait. Je me mis assise face à elle après avoir déposée mes affaires sur le siège à côté. Avant cela j’avais pris soin de faire les bises à Lucy. Je commanda alors aussi un truc à boire puis Lucy et moi avons commencé à discuter…
…
Lucy : Ben, alors t’as l’air toute en forme aujourd’hui ?
Moi : Bah, écoute y’a vraiment aucunes raison pour que je ne le sois pas.
Lucy : (Tout sourire) Ah oui, depuis quand ton homme décroche ton téléphone ?
Moi : Oh, mais depuis que c’est mon homme voyons.
Lucy : Marie je sais pas se que t’as mais ça te rends radieuse.
Moi : Lucy, tu te souviens de notre conversation dans la cuisine à la nouvelle année ?
Lucy : Oui, pourquoi ?
Moi : Je sais pas si je peux te le dire…
Lucy : (Me regardant avec de gros yeux) Oh, ben t’en à dis trop où pas assez.

C’est à se moment là que mon téléphone sonna. Je pris mon sac et le sortit de celui-ci je l’ouvrit et décrocha…

Moi : Allo !
Dunc : Ici, le maître de tes nuits et de ta vie…
Moi : Ah, comment allez vous mon cher monsieur ? lol
Dunc : Mal si tu savais…
Moi : Ah bon pourquoi ? Qu’est-ce qui t’arrive ?
Dunc : Tu me manques, j’ai envie de toi… et tu ne m’as pas appelé.
Moi : Tout ça ? (Il est fou se mec là) Moi aussi tu me manque… en se qui concerne la deuxième chose… moi aussi et t’as pas idée à quel point. Et je viens d’arriver donc se qui explique que je t’es pas encore appelé.
Dunc : A ce point là ? Ben viens me voir alors… je n’attends que ça.
Moi : (Me retournant, je sais pas pourquoi me je sentais qu’il n’étais pas loin) Oh mais c’est qui la charmante jeune fille dans la poussette ?
Dunc : (Qui était maintenant à quelques mètres de moi) oh, mais faut tout te dire viens donc un peu m’embrasser.

J’ai couper la conversation téléphonique et je suis aller lui sauter dans les bras pour l’embrasser. En retournant vers Lucy je lui ais fais un petit clin d’œil. Anthony Duncan et Emily nous on donc tout les trois rejoint pour déjeuner. J’avais pas trop prévu les choses comme ça mais bon, passons c’est pas grave. Nous avons donc tout les quatre enfin cinq avec Emily mangé dans la plus grande convivialité, Duncan n’avait cessé de me regarder et de passer sa main sur ma cuisse pendant tout le repas. C’était assez gênant. Anthony ne manqua pas de faire une petite remarque…

Ant : (Regardant Dunc) Eh, mec je penses qu’il y à des chambres pour ça non ?
Dunc : Je t’en pose des questions COSTA ? Regarde ailleurs si ça te dérange…
Lucy : (étonnée) Ben dis donc… chéri il t’as casser là !
Ant : Oui je crois qu’il à bouffer du lion.
Moi : (A Anthony) Euh… non désolé Ant mais il est presque normal là ! Hein mon chéri ? Lucy tu m’accompagne au toilette s’il te plait ?
Lucy : Oui, pas de soucis ! A tout de suite mon lapin. (Elle embrassa Ant avant de quitter la table)
Moi : (Me levant aussi et Embrassant Dunk) A tout de suite.
Dunc : Oui à tout de suite… bizarre l’idée d’être à deux au toilettes !
Moi : Attends j’aurais pu demander à Anthony si tu veux ?
Dunc : Non Lucy ça ira très bien !

Lucy et moi nous sommes donc dirigés vers les toilettes. Une fois entré je souffla un grand coup et je commençais à parler à Lucy…

Moi : (Peu être pas le bon endroit hein ?) Euh… Ecoute faut je te dise un truc je peux plus le garder pour moi… Mais avec Anthony et Duncan qui on débarqué avant ben j’ai pu te dire…
Lucy : (Intriguée) Oh, oui Marie Dis moi !
Moi : Tu promets de garder le secret, pas longtemps je te jure mais va falloir assuré.
Lucy : Bien sûr que oui ! Alors ?
Moi : Lucy… notre conversation de la nouvelle année tu t’en souviens… ben je t’avais dis que j’étais pas encore sûr de vouloir avoir des enfants ?
Lucy : Oui et ?
Moi : Ben ça y’es je suis prête… (Avec un grand sourire)
Lucy : Et qu’est-ce qui t’as fais changé d’avis ?
Moi : (Levant les yeux au ciel) Je sais pas peut-être le fait… d’avoir eux petits bouts qui grandissent en moi ?
Lucy : (Qui n’en revenait pas de se que j’avais dis) pardon tu veux dire que …
Moi : Oui, Lucy je suis enceinte ! Je l’es appris avant de venir au resto. Bon j’avais quelques doutes mais bon…
Lucy : (Me prenant dans ces bras) Oh, c’est génial, la petite puce va être maman. Et ben on pourra dire que Duc ne fait pas les choses à moitié… Deux !
Moi : Oui deux ! Mais s’il te plait va falloir que tu m’aide… Je dois prendre des vitamines et tout un tas de trucs…
Lucy : oui, mais qu’est-ce que moi je peux faire ?
Moi : Faut que j’arrive à aller chez ces cachets sans qu’il ne voit rien, après j’essayerais de les garder dans mon sac le temps de lui dire.
Lucy : Et tu compte lui dire quand ?
Moi : Euh. J’y ais pas trop réfléchis… Mais j’avais pensé que pour son anniversaire ça pourrait être pas mal ! Non ?
Lucy : Ah, tu comptes réussir à garder le secret pendant plus de deux semaines… Ben bonne chance ! Pourquoi tu ne lui dirais pas se soir ? Quand on est tous ensemble comme ça… ça fait une surprise pour tout le monde… et toi ben tu n’auras pas à garder le secret longtemps.
Moi : Peu être oui… je verrais ! N’empêche ça aurait été un super cadeau ça pour son anniversaire…
Lucy : Ben il aura son cadeau deux semaines avant… et toi tu pourras prendre tes vitamines sans te soucier de lui !
Moi : Bon ok… bah vas pour se soir
…
Moi : Par contre faudra tu m’aide à aller acheter des fringues parce que j’ai comme l’impression que je vais pas pouvoir encore porter longtemps ceux-là.
Lucy : Non en effet, mais y’a pas de soucis… on ira faire les boutiques… On va faire exploser la carte bleu du futur papa.
Moi : MDR

fo ktu me mette la suite la jve voir la réaction de dunk moi!!!

allez la suite miss !!!!!!!!!!!!! ca me remonte le moral !!!!!