(New Chap 71) Fan FIC En Amour Rien n'est Impossible

Chap. 16 :


Dunc : Et comme d’habitude notre grand gagnant est Monsieur Lee RYAN.
Lee : Ah ah ah, très drôle !
Dunc : Bon je te casserais bien la tête mais bon ont est pas trop en avance. Aller Mademoiselle la guide tu nous emmènent ? Et t’as Appeler Marie ?
G : Oui je vous emmènent enfin non tu roule je te guide. Et notre petit Lee se tiendra sage sur la banquette arrière. Et oui j’ai téléphoné à Marie.
Dunc : Elle à dis quoi ?
G : Qu’on devaient faire se qu’on avait à faire et qu’on se donner rendez-vous à 17 heures 30 à la terrasse d’un café.
Dunc : Ok ça marche ne nous reste que une heure alors, bon je te suis emmène moi dans les meilleures boutiques.
G : Quoi comme boutiques ?
Dunc : Ben des boutiques de fringues… des Fringues pour moi et pour Marie.
G : Ah, parce que elle n’a pas assez de fringues tu crois ?
Dunc : Rien a voir.
Lee : Il veut faire un cadeau à Marie, donc c’est pour ça qu’il veut les meilleures boutiques. Attention Monsieur est amoureux.
Dunc : La ferme toi… non en fait tu vas me trouver une idée de cadeau…
Lee : Mais bien sur…

Il firent tout les trois les boutiques, des fringues impossibles. Lee lui ne pu non plus s’empêcher de faire quelques achats, mais que pour lui, néanmoins il trouva un joli petit ours en peluche pour G avec « I LOVE U » sur le ventre. 10 minutes avant l’heure de rendez-vous leurs courses n’étaient toujours pas fini G demanda à Lee de m’attendre à la terrasse pendant qu’elle finissait avec Dunc. Pour lui se n’était pas un soucis puisque lui en avait assez. De mon côté avec Olivier nous étions arrivé en ville et sommes allé en direction du lieu de rendez-vous bras dessus bras dessous comme les meilleurs potes. Nous faisions tellement les gamins que nous n’avions même pas remarquer la présence de Lee. Lee se leva et vint nous rejoindre… Olivier se senti de trop à vite fait de partir afin d’éviter tout accros. Je me suis approcher de Lee et lui déposa un petit bisou sur la joue.

Moi : Alors bien dormi ?
Lee : Oui… c’est qui se type (regardant Olivier Partir)
Moi : Mais c’est un copain pourquoi ?
Lee : Pour rien. T’as l’air proche de lui.
Moi : Ben oui ont est amis. Comme toi et Dunc.
Lee : C’est différent…
Moi : Certes… Il est où Dunc ?
Lee : Avec G ils font les boutiques.
Moi : Et nous ?
Lee : Ben on attend…
Moi : Pas envie… (Je lui pris le bras) vient regarde ont va se balader ont les croisera sûrement.
Lee : Ok, mais t’es toute excitée là ou quoi ?
Moi : Non, non pas plus que d’habitude.

Nous nous baladions à travers la rue piétonne de la ville faisant un peu de lèche vitrine style pour faire passer le temps. Je lui faisais découvrir des endroits que j’adorais à travers la ville, lui avait l’air de trouver ça drôle. Un moment je fis la petite fille fatiguée et Lee me porta sur son dos et sur un ton ironique je lui dis…

Moi : Ben alors tu vois nous aussi ont à l’air proches ! Lol
Lee : Ouais mais moi je suis le meilleur ami, et même petit frère de ton mec pas pareil.
Moi : Ah oui et c’est qui mon mec ? Lol
Lee : Ah très drôle… bon sang t’as trop de l’humour toi.
Moi : Je sais je sais !

Tranquillement nous avons continué, G et Dunc quand à eux ils avaient bientôt fini aussi. Ils avaient acheté une robe de soirée (faut savoir que j’en porte jamais moi de robe), un jean taille basse et un jean normal (Lewis bien entendu), des top pour aller avec, des sous vêtement bien sur fallait passer par là (hum des shorty comme j’aime) et un petit bijou une montre pour que je me souvienne de l’heure maintenant et une paire de boucle d’oreille. Eh oui tout ça pour moi, lui c’était aussi acheter des fringues, un petit costume de chez GUCCI, quelques sweet et une paire de chaussures PUMA. Voilà il devait être prêt à affronter quelques heures dans une ville inconnue avec tout ça. Lol De mon côté j’étais toujours sur le dos de Lee qui me portait sans rien dire, quand nous sommes tombé sur Dunc et G au coin d’une rue. La situation était plutôt comique et Dunc regardait la scène d’un œil amusé. Puis il avança tout ces paquets à la main, et dit à Lee…

Dunc : Euh, ça va vous avez l’air de bien rigoler tout les deux. Tu pourrais pas la reposer j’ai une folle envie de l’embrasser.
Moi : Ah oui ? Ben vient me chercher alors ! Lol
Dunc : Ca c’est facile ! (Il posa ces paquets par terre)
Moi : Lee lâche moi ! (Il me fit descendre du haut de son dos, une fois à terre je commençais à courir dans tout les sens pour échapper à Dunc)
Dunc : Tu peux toujours courir je suis plus fort.
Moi : Mais oui c’est ça…
G : Attention !
Moi : (Me retournant, j’étais face à face avec Dunc) Eh Merde !
Dunc : Tu vois je t’avais dis que j’étais le plus fort !
Moi : Ah oui ! (Je lui marchais sur le pied de toutes mes forces et je suis parti dans l’autre direction en remerciant G, et en Hurlant !) AH, et c’est qui la plus forte là ?
Lee : Ben faut dire qu’elle se laisse pas faire la petite ! Lol Ca va mec ?
Dunc : Ouais, ouais ça va… aide moi plutôt à l’attraper.
Lee : Ok mais depuis quand t’as besoin de mon aide ?
Dunc : Depuis que je te le demande.

Moi je courrais sur la place sur laquelle nous nous trouvions, j’allais et venais devant leurs nez et G était morte de rire. Bon sang qu’est-ce que l’on rigolait ! Puis au bout de quelques minutes mon téléphone sonna, je me suis arrêter et je suis devenu immobile sur cette grande place.

Moi : Allo
… : Marie ?
Moi : Oui, c’est qui ?
… : Je t’aimes ! (Je sentis quelqu’un me prendre par derrière, c’était Dunc qui avait fait exprès de faire sonner mon téléphone. Il me souleva et me porta criant tout fièrement « I’m the best »)
Moi : Moi aussi, mais c’est pas juste t’as triché !
Dunc : Ouais mais toi aussi, tu m’as fais mal aux pieds.
Moi : J’ai pas fais exprès voyons.
Dunc : Même pas vrai ! Aller je te pardonne si tu m’embrasse
Moi : Bon ok, mais faut que tu me pose alors !
Dunc : Oui bien sûr mais je te lâche pas.

Moi : Pas de problèmes tant que je suis dans tes bras… (Regardant les paquets) c’est quoi tout ça ?
Dunc : T’occupes ont verra plus tard… maintenant embrasse moi !

Il se pencha vers moi, et posa ces lèvres sur les miennes émettant une pression certaines sur celle-ci avec ces si douces lèvres. II laissa ces mains se balader le long de mes reins, et entama une danse endiablée avec sa langue. Il embrassait si bien s’en était presque irréel. Comment pouvais-je résister à ces caresses ? Je vous le demande c’était impossible… Lee et G regardèrent amusé la scène, G lança soudain…

G : Mince il à de l’endurance le petit Dunc !
Lee : Se qui veut dire ?
G : Rien du tout…

Lee ne le prit pas de cette manière, et s’approcha de Géraldine pour lui aussi profité de la petite pause et embrasser celle qui lui faisait tant d’effets. Géraldine avait bien entendu sorti cette petite phrase provocatrice dans le but de voir la réaction de Lee, réaction qu’elle approuvé tout de suite.

Moi : (Toujours dans les bras de Dunc j’ouvris les yeux et vis que tout le monde autour nous regardait) Hum, Dunc… Je crois que ça suffit.
Dunc : Pourquoi ? (Je lui montrais alors que nous étions en quelque sorte l’animation pour tout les gens de la place)
Moi : Je crois qu’on dérange…
Dunc : (Me prit la main… se tourna face à tout le monde et dit à tout les passants) Désolé mais j’embrasse ma copine j’ai pas le droit ?
Moi : Chut…
Dunc : Ok (Tapant dans le dos de Lee qui ne s’était pas arrêter d’embrasser G et prit ces paquets, toujours en me tenant la main) Ont y va mec !
Lee : Ok, stress pas !

Nous prirent tout les quatre la route pour l’hôtel. Dans la voiture Géraldine et moi nous étions installé à l’arrière pour laissé les hommes entre eux. G et moi discutions à voie basse pour que personnes ne nous entendent.

G : Alors ? Tu n’es pas heureuse maintenant qu’il est là ?
Moi : Oh, bien sûr que si, j’ai l’impression d’être sur un petit nuage. Je l’aime c’est une certitude maintenant.
G : Ben voilà qui fait plaisir à entendre. Lee aussi est adorable, même si j’ai plus de mal à lui faire confiance. J’ai peur qu’il ne m’es pas encore pardonné de pas lui avoir dis pour BOB.
Moi : Mais non tu te fais des idées. Je suis sur que c’est pas le cas.
G : T’es sur ?
Moi : OUI. Mais dis moi c’est déjà passé quelques choses entre vous ?
G : Non, mais…
Moi : Mais ?
G : Je crois que ça va pas tardé, j’ai trop envie de lui.
Moi : Hum ok, mais parles pas trop fort il risquerais de t’entendre.
G : Ok, et toi et Dunc ?
Moi : Ben rien depuis cette nuit à Londres avant qu’ont partent.
G : Pourquoi ?
Moi : Parce que, ça c’est pas fait. Et se matin il dormait comme un bébé. Il est beau quand il dort.
G : Ok, tu me raconteras
Moi : Promis

Chap. 17 :


Dunc c’est arrêté, nous étions arrivé devant l’hôtel. (Vous vous rendez comptes il à trouvé tout seul le chemin dans une ville qu’il ne connaît pas.) Il se retourna et dit :

Dunc : Eh, les filles ont est arrivé fini les messes basses.
Moi : Oui mon chéri ! (Faisant un clin d’œil à Géraldine)
Dunc : Qu’est-ce que j’aime quand tu m’appelle comme ça !
Lee : (Prenant Géraldine par la main) Aller vient G ont monte ont les laisses tout seuls. Dunc ont se rejoint ici dans deux heures c'est-à-dire vers 20 heures ça te va ?
Dunc : Oui ok pas de soucis, va dormir !
G : T’en sais quoi qu’on va dormir…
Dunc : Je le connais t’inquiète pas…
Lee : Tu connais rien du tout Dunc… Aller ciao.

Lee et G sont montés tout les deux comme deux jeunes amoureux. Lee regardait Géraldine avec des yeux tout pétillants, je trouvais cela trop chou. Nous avons fait de mêmes quelques instants plus tard après avoir un peu discuté et prit les paquets dans le coffre. Nous sommes arrivé dans la chambre j’ai retiré mes chaussures et ma veste Dunc quant à lui à posé les clefs, mit de la musique et fermé la porte à clefs pour ne pas être dérangé. Le voyant immobile dans la hall de la chambre je me suis avancé vers lui je lui ais sauté au coup, puis je lui es dis :

Moi : Bon alors tu me montre se qu’il y à dans ces beaux paquets ?
Dunc : Hum non pas tout de suite, après ont aura tout le temps. Maintenant…
Moi : Maintenant quoi ?
Dunc : J’ai envie d’être avec toi !
Moi : (Le regardant bizarrement) Mais t’es avec qui là ?
Dunc : (Me prenant les mains) Allez viens.

Je fis oui de la tête et le suivi, il m’emmena jusqu’au lit se mit assis et j’en fit de même. Nous nous sommes installé dos callé aux coussins du lit, et avons discuté tout en se caressant les bras et en se faisant des papouilles.

Moi : Tu sais, je suis désolé d’être partie comme ça se matin.
Dunc : Arrête c’est bon c’est pas grave. C’est juste que ça faisait bizarre de se réveiller sans toi. Moi je voudrais encore m’excuser pour tout le mal que j’ai pu te faire.
Moi : Hum… Je ne peux pas te dire que c’est oublié, parce que ce n’est pas le cas. Et je sais que demain quand tu vas repartir cette souffrance sera nouveau là.
Dunc : Je sais pour moi c’est pareil, mais je te promets que cette fois-ci se sera différent.
Moi : Comment ?
Dunc : Pas envie d’en discuter tout de suite mais je te promets qu’on sera plus séparé si longtemps et que je ne te laisserais plus sans nouvelles.
Moi : Dunc…
Dunc : Oui
Moi : En fait je crois que j’en étais pas consciente avant hier soir, mais…
Dunc : Mais ?
Moi : Ben je t’aime !
Dunc : (Un petit sourire en coin vint se dessiner sur ces lèvres.) Moi aussi je t’aime. Je n’ai jamais ressentis ça avant. J’ai l’impression d’être un autre homme avec toi.

Le moment fut d’une grande émotion, il se tourna vers moi et passa ces douces lèvres sur ma joue. Je sentais son souffle sur ma peau j’en avais la chair de poule. Par une pulsion je fis passer ma jambe au dessus de Dunc pour me retrouver face à lui, les mains sur son torse. J’avais les yeux plongés dans les siens. Mes mains se baladaient ainsi sur lui, et lui fit de même avec les siennes explorant mon dos à travers mes vêtements. Je passais mes mains sous sa chemise et commença à l’ouvrir la déboutonnée. Une fois ouverte je l’écarté pour faire apparaître son torse il m’aida à retiré mon top, puis dégrafa mon soutien gorge. Il s’approcha de moi encore plus et vint m’embrasser un doux baiser qui descendit de plus en plus vers mon coup, ma nuque, ma poitrine. La pression montait de plus en plus, l’ambiance était palpable nous n’allions plus tenir longtemps comme cela. J’entrepris de défaire son pantalon laissant apparaître son boxer (bon sang qu’il était craquant comme ça) il fit de même avec mon jean m’embrassa encore et soudain s’arrêta dans son entreprise, me posa délicatement sur le lit se mettant sur moi après avoir complètement retirer son pantalon. Ma respiration s’accéléra j’avais l’impression de ne plus être maître de mon corps c’était une sensation si douce que je n’avais pas envie que cela s’arrête. Il me fit l’amour comme cela un long moment, tantôt lui sur moi tantôt moi sur lui, je n’avais jamais ressentis cela il y avait une tel osmose entre nos deux corps que cela en devenait troublant. Avec lui j’avais enfin l’impression d’être une femme à part entière. Nous avons fini enlacer l’un contre l’autre recouvert d’un simple drap, cet instant était magique. Comment j’avais fais pour vivre toutes ces longues semaines sans lui sans ces bras autour de moi, sans sentir son odeur et son souffle sur moi, je me le demandais bien.
L’heure tournait, Lee et G nous attendaient déjà en bas à la voiture et pour une fois Lee était fière de ne pas être en retard et de plus d’être le premier. Dunc jeta un coup d’œil sur sa montre et se redressa dans le lit me tenant toujours dans ces bras. Il caressa mon bras et dit :

Dunc : Ma chérie je crois qu’il va falloir interrompre se doux moment.
Moi : Oh c’est pas juste… j’étais bien là moi.
Dunc : Moi aussi mais on reprendra tout à l’heure, promis !
Moi : D’accord. (Je sortie du lit en m’enveloppant dans le drap) Bon je vais vite fais à la salle de bain, et je vais bien trouver un truc à me mettre.
Dunc : T’inquiète pas pour ça, va dans la salle de bain moi je vais voir se que tu va porter. Avec mes goûts tu seras une princesse. (En rigolant)
Moi : Merci, Chéri !

Je suis allé dans la salle de bain Dunc de son côté c’est habillé et à préparer des vêtements pour moi comme il l’avait promis. Il vint à la salle de bain pour voir si j’allais bientôt être prête. C’est bon j’étais presque prête rester plus qu’à savoir quoi mettre mon jean ou mon jean… Lol je sortie de la salle de bain, il avait déposé une superbe robe (moi qui déteste les robe j’étais sous le charme) une paire de chaussures et lui était descendu prévenir Lee de notre retard.
Il retrouva Lee et G devant la voiture.

Dunc : Et oui mec, cette fois c’est moi qui suis en retard.
Lee : En retard tu parles, t’as vu 25 minutes de retard. Et ta moitié elle est où ?
Dunc : Elle finit de se préparer !
Lee : Oui c’est encore de ta faute tout ça.
Dunc : Oui penses se que tu veux. Désolé mais je remonte je vais voir si elle à besoin d’un coup de main. Et puis mon petit cadeau a lui donné.
Lee : Ok 10 minutes c’est tout.
Dunc : Ok mec t’es génial.

Il remonta pour me rejoindre, il entra dans la chambre juste au moment ou j’étais en train de me tourner afin de voir comment la robe rendait sur moi. Magnifique il n’y avait rien à dire il avait l’œil. Il me regarda l’air tout fière de lui, s’avança vers moi pour me voir de plus près.

Dunc : Franchement t’es magnifique. J’en étais sûr que cette robe était faite pour toi.
Moi : Oui je suis épater je pensais pas, moi qui déteste les robes celle là est superbe.
Dunc : Non c’est toi qui es superbe.
Moi : Merci (en rougissant)
Dunc : Par contre il manque quelque chose. Va donc regarder dans ta table de nuit je crois doit il y avoir un petit truc.
Moi : Quoi donc qu’est-ce qui manque ? (Je me dirigeais vers la table de chevet, j’ouvris le tiroir pris la boite en regardant Dunc. J’étais bouche baie quand je fus devant cette montre et ces boucles d’oreilles.)
Mais t’es Fou.
Dunc : Oui de toi. Mais va les mettre elles sont faites pour toi, et la montre c’est un petit clin d’œil à se matin histoire que tu ne sois plus en retard.
Moi : Génial, encore faut-il que je penses à la mettre. Lol
Dunc : Les pierres blanches signifient la pureté et la simplicité de la monture te représente bien.
Moi : C’est trop mignon, je t’aime.
Dunc : Moi aussi, et même si je te trouve très belle dans cette robe j’aurais très envie de te l’ôter. Mais je pense qu’il ne vaut mieux pas sinon tu vas aimer un homme mort.
Moi : Ah bon ?
Dunc : Ouais Lee est tout énervé la en bas, imagine pour une fois il était pas en retard.
Moi : Chouette, c’est ma faute.

Chap. 18 :

J’étais prête enfin, il me prit la main et nous avons couru dans l’escalier pour arriver plus vite. Voilà nous étions devant eux, j’étais morte de rire en voyant Lee regarder sur sa montre.
G s’approcha de nous me regarda et me dit :

G : Franchement Marie t’es magnifique
Moi : Merci, c’est gentille. Toi aussi t’es toute belle. Je sais pas où ont va mais si c’est aussi class qu’on ne l’es. Lol
G : On verra bien (tout sourire ont se prient dans les bras l’une de l’autre)
Moi : (A l’oreille de Géraldine) Alors pendant ces deux heures avec Lee ?
G : C’était très bien, la suite tout à l’heure. Mais je ne pense pas aussi bien que toi, en te voyant si belle là.
Moi : Mais non tu te fais des idées ! (Me retournant vers Dunc) Hein mon chéri on a rien fait de spécial tout à l’heure.
Dunc : Non en effet, enfin si… ont à jouer aux cartes. Comme d’habitude j’ai gagné ! (M’adressant un clin d’oeil)
G : Ben faut que tu files le jeu à Lee parce que je crois qu’il ne connaît pas.
Dunc : Ok je lui en toucherais deux mots.
Moi : (M’adressant à Lee) Ben alors Lee tu connaît pas les jeux de cartes il parait. Demandes à Dunc il va t’apprendre, c’est trop une bête. En plus Géraldine à l’air d’avoir envie d’y jouer.
Lee : Des jeux de cartes ? Ah, Oh… c’est bon j’ai compris ! Mais je n’ai pas besoin de Dunc pour ça, je maîtrise. C’est juste que G a fait sa timide.
G : Moi, mais non qu’est-ce que tu raconte ! T’as pas arrêter de parler tout à l’heure.
Lee : (S’approchant d’elle) Ok pas de soucis on jouera tout à l’heure tout les deux.
G : Ok, mais des cartes pour débutant ! Lol

Lee ne dit rien et haussa juste légèrement les sourcils comme s’il ne comprenait pas trop bien. C’est vrai que Géraldine avait déjà eu un copain c’est vrai que sa première expérience avec un garçon ne s’était pas si mal passé que ça, mais elle ne se sentait pas à l’aise d’aborder le sujet avec Lee étant donner que lui, même s’il avaient le même âge ils n’avaient pas la même expérience à se niveau là. C’était bien connu que Lee était un coureur de jupons tout se qui avait de plutôt jolies formes qui n’était pas farouche passé forcément par lui si l‘attirance était réciproque. Tout cela dans la tête de Lee c’était du passé, il ne voulait plus qu’on lui rabâche sans cesses ces exploits du passé, il voulait refaire quelque chose de neuf avec une nouvelle personne et pourquoi pas Géraldine. Car même si tout les séparer ils n’étaient tout deux pas indifférents aux charmes de l’autre.
Nous avons reprit la route destination inconnu, Duncan au volant G et moi à l’arrière à se raconter de petits secrets et Lee qui était pensif à l’avant. Dunc lui roulait ne décrochait pas un mot afin de rester bien concentrer et de ne pas se perdre. Voilà nous étions arrivé ou je ne sais pas mais nous y étions. Enfin si je sais… il avait réussi à trouver un petit resto tranquille loin e tout donc de la foule où l’on pourrait passer une soirée sympa sans être déranger. Un petit resto au bord de l’eau super isolé, mince mais ou est-ce qu’ils avaient bien pu trouver ça, même nous venant de la région nous ne connaissions pas. Ils nous ont guidé vers l’intérieur du restaurant, y’avait pas à dire super class je comprenais mieux la jolie robe que je portais. Nous avons passer une agréable soirée à discuté un peu danser, c’était bien mieux qu’une soirée entre potes (bien que j’adore mes potes) c’était une soirée avec Dunc l’homme qui me donnait le sourire ma raison actuelle de vivre. Milieu de soirée mon téléphone se mit à sonner, 22 heures qui ça pouvait bien être ? En décrochant je le s’aurais bien assez tôt. Je pris donc mon téléphone et je me suis mise sur la terrasse afin de ne pas être déranger par le bruit.

Moi : Allo
… : Marie, c’est maman t’es où ?
Moi : Maman, euh ben en fait je suis… en ville quoi je mange au resto avec des amis pourquoi ?
Maman : Ben je me demandais comme t’as déjà pas passer la nuit là hier, t’étais chez Géraldine c’est ça ?
Moi : Euh… oui maman j’étais chez Géraldine. Pourquoi ?
Maman : Ben tu sais que ta sœur vient manger demain, et j’aimerais bien que tout le monde soit là. Etant donné qu’il est déjà tard que t’es pas à la maison je présume que tu dors de nouveau chez ta copine. Donc je voudrais pouvoir compter sur toi au plus tard pour 11 h 30 demain.
Moi : Euh… ben oui maman pas de soucis. Je ferais en sorte d’être là. (Eh merde ma dernière journée avec Dunc tombé à l’eau.)
Maman : Merci ma chérie et encore bonne soirée.
Moi : Merci maman.

Mince moi qui avait tellement envie de passer du temps avec Dunc, mais comment dire non à ma maman la femme qui ma mise au monde et avec laquelle je m’entend si bien. Se bout de journée avait été si parfait que je n’avais vraiment aucunes envie de lui dire que demain ben je ne serais pas avec lui. Mais que faire d’autres. J’étais en train de réfléchir sur la terrasse quand je sentis deux mains se posés sur mes hanches. C’était Dunc nul doutes, je les aurait reconnus entre milles ces douces mains.

Dunc : Qu’est-ce que tu fais là toute seule sur cette terrasse viens donc nous rejoindre.
Moi : Oui, ben j’étais en train de réfléchir
Dunc : Réfléchir à quoi ? C’était qui au téléphone avant pour que tu sois si bizarre maintenant ?
Moi : Oh, ben c’était maman.
Dunc : Ah, et pourquoi je sens de la tristesse dans ta voie ?
Moi : Parce qu’elle m’appelais pour vérifié que je pensais bien au repas de famille de demain. Et franchement ça m’était complètement sortie de la tête. Et si j’y vais ça voudras dire que je ne passerais pas la journée avec toi demain.
Dunc : Ah, ouais. Ca tombe mal en effet, mais c’est ta famille il faut que tu y aille.
Moi : (Me retournant vers lui) J’ai pas envie de te laisser seul demain.
Dunc : Je serais pas seul Lee sera là aussi. C’est vrai que lui c’est pas toi mais bon en attendant on trouvera bien un truc à faire.
Moi : Oui c’est sur que vu comme ça.
Dunc : Aller le prends pas mal, ont à encore toute la soirée toute la nuit puis demain ça va sans doute pas te prendre toute la journée donc ont se verra encore. Nous ont repart que très tard.
Moi : Promis ?
Dunc : Oui promis.

Nous sommes retourné dans la salle où nous avions mangé pour continuer la soirée avec Lee et Géraldine. Soirée super agréable faut le dire, que veut le monde si se n’est d’être avec des personnes qu’ont aime et qu’on apprécient. Moi personnellement j’étais comblé. Un peu nostalgique c’est vrai mais j’essayer de faire en sorte qu’on ne le voit pas. G et Lee se sont à leur tour mis un peu à l’écart, pour se retrouver seul et discuté. Dans les bras l’un de l’autre sur la terrasse ils discutaient.

G : C’est triste quand même maintenant que vous êtes là Marie ne peut même pas passer le temps qu’elle aurait voulu avec Dunc.
Lee : Oui je sais, y’a toujours un truc qui se met dans leurs chemin c’est comme pour toi et moi e fait.
G : Ce n’est pas le problème et tu le sais.
Lee : Oui je sais, mais tu crois pas qu’il y aurait quelque chose qu’ont pourrait faire pour eux ?
G : Franchement je ne vois pas, c’est une fête de famille, je ne peux pas trop téléphoner à sa mère et demander si je peux venir et vous ramener avec.
Lee : Oui enfin quoi que, c’est quand même son copain. Et même s’ils ne le connaissent pas ben Dunc sait très bien se tenir. Suffit de savoir présenter les choses.
G : Pas convaincu du tout, quoi que c’est vrai que ça peut être jouable. Faut je vois.
Lee : Et vois les choses comme moi comme ça ben ont passent aussi la journée ensemble tout les deux.
G : Oui, mais parce que si Marie n’avait pas été là tu aurais pas passer la journée avec moi ?
Lee : Si bien sur mais avec Dunc aussi, alors que s’il est occupé avec Marie ben… ça nous laisse plus de temps pour tout les deux.
G : Ok je comprends mieux.

Chap. 19 :

Après quelques bisous et papouilles Dunc vit signe à Lee qu’il était temps de s’en aller. Nous nous dirigeâmes vers la sortie et la voiture tendrement main dans la main. C’était si agréable de le sentir si proche de moi ! Une fois arrivé à l’hôtel de garçons, G et moi sommes aller un peu nous isolés dans l’une des deux chambre et Lee et Dunc sont aller boire un verre au bar histoire de discuté eux aussi entre mecs. Ils s’installèrent tout les deux à une table leurs verres posé sur la table des bombes passaient devant eux mais cela ne les dérangeaient pas ils entamèrent tranquillement leurs conversation.


Lee : Alors c’est passé quoi avant au resto ? Pourquoi vous vous êtes éloigné si longtemps ?
Dunc : Oh Elle à eu une mauvaise nouvelle, enfin bref ont peut pas passer la journée ensemble demain, ça l’a rendu un peu triste quoi.
Lee : Ah oui je comprends et toi ça va ?
Dunc : Oui mais je vais pas te dire que la nouvelle m’a fait sauté de joie. Mais bon je le prends comme ça vient. Mais je dois t’avouer que plus demain approche moins j’ai envie de partir.
Lee : Hum… Oui je sais mais tu la revois dans une semaine non ?
Dunc : Euh ben sans doute je lui en ais pas encore parlé en fait, je sais pas pourquoi d’ailleurs. Mais après encore une semaine avec elle comment tu veux que je m’en sépare nouveau ?
Lee : Ouais je comprends, mais bon voilà toi t’as ta vie avec nous en Angleterre, elle à fait sa vie en France. Mais tu sais les détails ça s’arrangent toujours. Je suis sur qu’on va trouver une solution.
Dunc : (faisant une grimace) Si tu le dis…
Lee : Et pour demain G s’arrange pour qu’on passe quand même la journée ensemble. Mais Marie ne le sait pas donc voilà de quoi te redonner à toi déjà le sourire mais tu vends pas la mèche.
Dunc : (Intrigué) C’est quoi se plan ? Aller je veux savoir.
Lee : Laisse je sais pas moi-même alors ne viens pas chez moi demander. Laisses les choses faire je suis sûr demain sera une super journée.

Pendant se temps dans l’une des chambre en l’occurrence nous étions aller dans celle de Lee. G et moi discutions aussi.

G : Dis t’as l’air triste depuis avant. C’est encore à cause de demain ?
Moi : Euh oui c’est à cause de ça.
G : Mais n’y penses plus… tu verras ça passera vite et ont les accompagnera à l’aéroport. Et puis n’oublie pas que lundi ont part toute les deux en vacances.
Moi : Oui comment l’oublier je n’attends que ça. Après me restera une semaine pour récupérer puisque j’ai deux semaines de vacances.
G : Ont dirait je vais t’épuisé en 4 jours. Ça va être trop la fête ma grande. Ont va partir à la conquêtes de beaux spécimens dans d’autres régions.
Moi : Mais j’en veux pas d’autres j’ai se qu’il faut. Même si je ne suis pas sûr de l’avoir encore.
G : Comment ça ?
Moi : Ben trois jours de rêve avec lui et trois mois sans lui chouette non ? J’ai envie de vivre quelque chose avec lui, mais la vie à distance c’est pas pour moi-même si j’essayais de le croire.
G : Aller les choses peuvent changer.

G avait toujours le chic pour en rajouter c’était dingue. Les choses peuvent changer mais dans quel sens ? les garçons nous ont rejoint Dunc avait nouveau le sourire et moi aussi, nous avons laissé G et Lee ensemble car ils avaient sans doute mieux à faire que de passer le reste de la soirée avec nous deux. Nous sommes donc retourné dans la chambre de Dunc, les choses entre Dunc et moi étaient magnifique nous n’avions presque pas besoin de nous parler ont se comprenaient juste à l’aide d’un regard. Nous sommes arrivé dans la chambre j’ai retiré mes chaussures Dunc quant à lui à fermer la porte, éteint les lumières pour créer une ambiance chaude dans la chambre, mit un peu de musique c’est approché de moi pour me faire danser. Nous dansions tout deux serré l’un contre l’autre, les mains de Dunc se baladaient le long de mon dos et de mes hanches cela me faisais frissonnée. Il explorait comme cela chaque centimètres de peau qu’il y avait sur mon corps, comme si c’était la dernière fois qu’il me toucherais comme s’il avait besoin de se souvenir cela me donna une sensation bizarre mais pas désagréable j’avais vraiment l’impression d’être désirée. Il fit glisser ma robe me regarda et retira lui aussi ces vêtements, pour me porter par la suite jusqu’au lit et me refaire l’amour de façon tout aussi intense que quelques heures auparavant. Du côté de G et Lee, les choses avançaient aussi après avoir quelques peut parler ensemble ils étaient en train de vivre leur première nuit ensembles. Lee fut très doux avec Géraldine car il avait cru comprendre que pour elle c’était « la première fois » il lui promis de l’aimer comme personne ne l’avait fait avant lui. Géraldine se laissa complètement aller dans les bras de Lee en lui vouant une confiance absolue. Nous nous sommes ensuite tout les quatre endormi dans les bras de l’être aimé. Le matin fut venu Dunc dormait comme il était beau j’ai décidais de ne pas le réveillé de me préparer chez moi, et je lui ais donc laisser un mot sur l’oreiller lui promettant de revenir le plus tôt possible.

LA SUITE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
je suis accro a ta fic

Chap. 20 :


Je suis arrivé chez moi, tout le monde était déjà en ébullition en train de préparer pour le repas de midi, moi j’étais à mille lieux de la maison j’avais encore la tête auprès de Dunc même si physiquement j’étais là. Les événements ont suivi leurs cours ma sœur est arrivé avec la petite famille, m’occuper de mes nièces m’avait fait un peu oublier le reste. Avec mon beau-frère nous avons commencé à chahuter dans l’eau (petite piscine pour enfants) histoire de se mettre en appétit.
Pendant se temps à l’hôtel G Lee et Duncan étaient en train de se préparer. G avait téléphoner à ma maman pour savoir si elle pouvait faire un tour cette après-midi, maman l’a donc inviter pour le repas elle en averti Dunc et Lee qui eux ben étaient assez gêner. Et Duncan se disait que se serait une bonne occasion de me voir dans un autre contexte et de voir ma famille. L’ultime épreuve. Ils se mirent en route vers chez moi, moi je n’étais pas au courant j’étais sur la pelouse installer avec les trois gamines en train de sécher car j’étais mouillée après avoir trop chahuter. J’étais en train de donner à manger à une de lire une histoire à l’autre et d’aider à faire un puzzle à la dernière. G, Dunc et Lee arrivèrent je ne les vit pas, je continuais de m’occuper d’elles trois. Dunc et Lee étaient resté caché derrière la maison et ils avaient une vue sur moi. Pendant se temps G est allé prévenir de leurs arrivée et dire bonjour à tout le monde. Dunc et Lee toujours caché discutaient.

Dunc : Tu vois mec, c’est ça que je veux !
Lee : Quoi donc ?
Dunc : Une femme des enfants, quand je rentre chez moi.
Lee : Oui, je vois. Mais tu as Tiannie.
Dunc : C’est pas pareil, Tiannie c’est ma fille je l’es eu avec Claire. Je ne l’aurais jamais à la maison chez moi sauf pour de très courtes durées. Ça ne remet pas en cause le fait que je l’aime j’aimerais passer du temps avec elle mais ça reste dur. Je suis plus présent financièrement que sentimentalement.
Lee : Oui et je trouve ça bien moche d’avoir un enfant et de pas pouvoir passer du temps avec lui. En plus vois le bon côté des choses, ça fera de beaux enfants avec Marie.
Dunc : Ah bon ? Pourquoi avec Marie ? Ça veut dire que Tiannie n’est pas belle ?
Lee : Mais si tu n’écoutes pas. C’est juste que Marie est une jolie fille, c’est pas un canon mais elle est mignonne, blonde les yeux bleus le rêve de beaucoup de mecs. En plus avec toi comme papa vous aurez de jolies têtes blondes.
Dunc : Oui en effet, (me regardant) de jolies têtes blondes. J’aurais bien envie d’aller la rejoindre.
Lee : Ben va y te fais pas trop remarquer et moi je m’occupe de G quand elle arrive.
Dunc : Ok merci mec.

Dunc se dirigea vers moi et les filles, il nous regarda encore en moment puis s’avança un peu plus, je ne levais toujours pas les yeux. Il se mit derrière moi et continua à regarder…

Moi : Aller les filles, du calme. Chacune sont tour…
Aimée (1er petite fille) : tata Marie, tu peux jouer avec moi ?
Moi : Oui bien sûr Aimée, mais ont peut aussi jouer tout les quatre ensemble.
Thérèse : Non c’est ma tata. Toi tu arrêtes. (Et elle se jeta dans mes bras) M
oi : Thérèse je suis la tata de tout le monde alors fais pas de caprice sinon ont joue plus d’accord. Mais la faut je finisse de donner à manger à Renée. Comprit les filles ?
Thérèse et Aimée : Oui tata…
Moi : Merci les filles.

Une voix se fit entendre derrière moi…

… : Je peux jouer avec vous les filles ?

Les trois petits bouts regardaient derrière mon dos, elles ne disaient rien pendant un moment puis elles se mirent à secouer la tête et à dire…

Aimée et Thérèse : Non c’est notre tata pas la tienne ! Ne veut pas jouer avec toi !
… : Mais moi c’est pas ma tata, mais je l’aime quand même !

Je me suis retourné pour voir à qui elles parlaient Dunc était juste derrière moi. J’étais super surprise mais très contente qu’il soit là. J’ai mis Renée assise en face de moi je me suis reculé pour être plus proche de Dunc, il s’est penché sur moi pour m’embrasser et m’a fait tomber en arrière sur lui. Les filles qui voyaient ça se sont approché et ont grimpés sur moi croyant que c’était un jeu. Dunc et moi étions mort de rire la situation était trop comique ! Elles grimpaient sur moi alors que Dunc lui essayer tant bien que mal de m’embrasser, Thérèse se redressa et tira sur la chemise de Dunc…

Thérèse : Mais dis t’es qui toi ? Pourquoi tu fais des bisous à ma tata ?
Moi : Thérèse, ben c’est le chéri de tata.
Dunc : Hum oui, et en plus je suis fou de ta tata.
Moi : Aller vient ma grande ont fait un câlin (elle s’approcha et se mit dans mes bras, Dunc regardait. Il trouvait la scène trop touchante.)
Dunc : Attention je vais être jaloux si tu donnes des câlins comme ça.
Moi : Thérèse, tu crois qu’il à le droit à un câlin ?
Thérèse : Oui tata, je crois. Parce que il est gentil le monsieur.
Dunc : (Se penchant pour m’embrasser) Franchement tu te débrouilles trop bien avec les enfants.
Moi : Merci, peu être un jour j’en aurais. Qui sait.
Dunc : Oui sans doute mais ce n’est pas toi qui en auras c’est nous.
Moi : Nous ?
Dunc : Oui des bébés avec toi c’est mon rêve. Et comme Lee l’a dit ça donnera de jolies têtes blondes.
Moi : Ah oui. Mais je pense que toi tu en as déjà des têtes blondes.
Dunc : Oui une. Tu le sais. Mais en avoir avec toi serais encore plus me rendre heureux. Et puis j’espère que toi et Tiannie vous pourrez aussi créer quelque chose même si je ne l’es que très rarement. (Voyant Dunc affecté par se qu’il venait de dire)
Moi : (Le prenant dans mes bras) Ca à l’air de te faire souffrir. T’es pas obliger de m’en parler si tu veux pas.
Dunc : Oui c’est un peu dur, mais ça me dérange pas j’ai envie de tout partager avec toi.
Moi : (En lui souriant) Oh comme c’est mignon. (M’adressant cette fois aux filles) Les filles vous pouvez monté chez mamie peu être elle à quelques chose pour vous.
Dunc : Chouette l’idée pour être seul. (Devenant plus insistant dans ces caresses)
Moi : Non, sois sérieux deux minutes j’aimerais qu’on en parle si ça te pèse.
Dunc : Oui ok. C’est gentil. En fait j’ai connu Claire la mère de Tiannie, ont c’est fréquenté pendant quelques semaines et peu de temps avant que l’on ne se quittent elle m’a annoncer qu’elle était enceinte. Je ne l’aimais pas et je penses que je ne l’es jamais aimer mais, mes croyances ont fait que je ne pouvais pas accepter qu’elle avorte. Donc voilà je suis papa, mais plus financièrement que sentimentalement même si je trouve que ma fille est la plus jolie des petites filles.
Moi : Mais tu ne le voit jamais ?
Dunc : Si enfin quand sa mère veut bien que je la voit. C'est-à-dire une à deux fois par mois. En tout cas je veux qu’elle ne manque de rien et je ferais mon possible pour que se soit le cas. Même si je ne suis pas d’accord avec Claire je la soutiendrais financièrement.
Moi : Dunc tu sais l’argent ne fais pas tout, y’a l’amour aussi. Je suis sur que t’a fille serait tout aussi heureuse si elle avait moins de choses et si elle voyait plus souvent son père.
Dunc : Sans doutes mais en attendant c’est comme ça.
Moi : Tu sais que je suis là moi si ça ne va pas. Je suis aussi là pour ça.
Dunc : Merci t’es trop mignonne, bon ont va arrêter sinon finalement ont aura rien fait de la journée. Tu me fais un peu faire le tour ?
Moi : Le tour ?
Dunc : Ben oui de la maison, de ta famille… de se qui fais ta vie.
Moi : Ok ben faudra tu t’accroche bien alors.
Dunc : Ah bon pourquoi ? (En venant m’embrasser)
Moi : Parce que je suis la petite chérie de tout le monde ! Lol
Dunc : La mienne aussi ne t’inquiète pas.

Dunc se leva et me tira par les bras pour me relever aussi debout nous nous sommes encore un peu embrasser puis se tenant la main nous avons montés l’escalier pour arriver sur la terrasse de la maison. Prenant une grande inspiration je me suis dirigé vers tout le monde en tenant toujours la main de Dunc, et j’ai pris alors la parole.

Moi : Bon ben voilà tout le monde je vous présente Duncan. C’est euh… ben l’homme que j’aime. Je sais pas trop si ça se dit mais bon voilà c’est se que je récents.

Tout le monde regarda Dunc de la tête aux pieds, l’inspection avait commencé j’avais hâte que cela s’arrête mais Dunc lui ne disait rien il rester immobile à attendre la suite. Une fois la surprise passée tout le monde reparti vaqué à sa conversation ces activités… ma famille parlait à Dunc comme s’il avait toujours fait parti de celle-ci, se qui je doit dire m’étonna beaucoup. Puis à un moment de l’après midi après le repas un de mes beau frère se leva en suivant Dunc qui s’était aussi juste levé de table. Ils se mirent tout deux un peu à l’écart, Dunc ayant bien comprit que mon beau frère avait envie de lui parler.

Mon Bof : Alors Duncan tu viens d’où, je t’es jamais vu dans les parages. Et non plus jamais entendu parler de toi. Pourtant Marie me dit tout.
Dunc : C’est normal que vous n’ayez jamais entendu parler de moi, Marie et moi ont s’est rencontré à Londres au mois de juillet quand elle est venu avec Géraldine. Et la elle me manquait tellement que j’ai pris l’avion vendredi pour la rejoindre ici quelques jours.
Mon bof : Mais tu fais quoi dans la vie qui te permets de pouvoir partir quand bon te semble. J’imagine que c’est toi alors qui as fait couler toutes ces larmes sur le visage de Marie
Dunc : Je dois avouer que oui, mais ce n’était pas volontaire. J’ai préféré me faire oublier pour qu’elle voit d’autres personnes et qu’elle m’oublie mais rien à faire. Et moi je l’aimes trop pour l’oublier et encore moins pour lui demander de m’oublier.
Mon Bof : Fais attention parce que ici, personne n’aime voir Marie souffrir. Moi le premier c’est un peu comme ma petite sœur. Alors j’ai rien contre toi, tu m’es même plutôt sympathique mais je te mets en garde c’est tout.
Dunc : Oui j’ai bien compris, j’ai pas prévue de la refaire souffrir. J’ai même une question à lui poser depuis vendredi mais je n’arrive pas.
Mon Bof : Laquelle ?
Dunc : Je sais pas si je dois te dire… en fait je voudrais qu’elle vienne passer une semaine à Londres. Histoire de passé du temps ensemble et de…
Mon Bof : De ?
Dunc : Ben si ça se passe bien j’aimerais lui proposer de venir passer plus de temps à Londres.
Mon Bof : Plus de temps ? Tu veux dire qu’elle aille s’installer là bas ?
Dunc : En quelques sortes oui. Je penses que je pourrais lui trouver du boulot dans le secrétariat puisque c’est dans ça qu’elle à étudier, et c’est un bon moyen pour elle d’apprendre l’anglais.
Mon Bof : Mais t’as pensé qu’elle avait toute sa famille ici, ces amies… ces racines.
Dunc : Je sais c’est pour ça que j’hésite à lui poser la question. Mais je boss dans la musique et c’est dur pour moi de venir vivre ici étant donner que le reste du groupe est à Londres et les équipes aussi. Et puis comme ça elle verra du pays, parce que avec mon boulot je suis amener à bouger souvent et je vais tout faire pour qu’elle vienne avec.
Mon bof : Oui sans doutes mais c’est pas gagné, tente d’abord de la faire venir une semaine parle lui en par la suite essaie de voir comment c la vie avec elle.
Dunc : Oui c’est une possibilité… Merci, t’es cool. Je te promets de ne pas la faire souffrir. Je l’aime trop pour ça.
Mon Bof : Ca se voit que t’es un gars bien dans le fond. T’as de la chance de l’avoir notre petite Marie…
Dunc : Oui je sais, mais tu sais elle est loin d’être si innocente que vous voulez bien le croire. Et elle est loin d’être une fille qui se laisse faire.
Mon Bof : Je m’en doute bien ne t’inquiètes pas. Aller ont retournent chez les autres.

Ils sont tout deux retourner vers nous qui étions assis à table en train de discuter. Mon Beau frère se mit derrière moi et commença à me taquiner jusqu’à se que je me lève pour riposter et il m’attrapa et me jeta dans la piscine (piscine pour enfants pas très profonde mais bon), j’étais assise les bras croisés dans cette petite pataugeoire comme une gamine boudeuse. Tout le monde rigolait Dunc y comprit, Lee avança vers moi voulant m’aider à sortir et me lever et moi de mauvaise foie comme d’habitude je pris son bras pour sortir de la piscine et le tira pour que lui aussi tombe dedans. Et PLOUF un deuxième bonhomme à l’eau. Je suis sortie de la petite piscine en souriant à Lee :

Moi : Je sais que c’est pas de ta faute, mais bon chacun son tour…
Lee : Oui, oui trop drôle.
Moi : Désolé Lee ! (M’approchant de Dunc) Dunc s’il te plait Câlin !
Dunc : (Me regardant les yeux tout rond) Hum, jsé pas ça sent le piège !
Moi : Mais non où tu va chercher ça je t’aime moi !
Dunc : Moi aussi ! (Me laçant une serviette) Tu te sèche et ensuite ont fait tout les câlins que tu veux.
Moi : C’est même pas drôle !
Lee : (S’approchant de Dunc et moi) Aller viens si tu veux moi je t’en fais un de câlin !
Moi : Ben ouais écoute pourquoi pas vu que mon sois disant copain il veut pas.
Dunc : Mais non, arrête je vais être jaloux !
Lee : t’as pas de quoi être jaloux, y’a mon chien de garde la bas (En regardant G)
Moi : Oh, d’accord… Bon alors c qui qui me fait mon câlin ?
Dunc : (Me prenant par la taille) Ben moi bien sur t’en vois d’autre des mecs complètement fou de toi ?
Moi : Ben oui tout le monde m’aime ici… (Tendant mes lèvres vers celles de Dunc)

Chap. 21 :

Dunc m’embrassa alors toujours avec autant de passion, j’adorais être dans les bras de Dunc c’était magique. J’étais dans les bras de mon chéri, quand tout à coup un profond mal être vint m’envahir je ne savais pas d’où cela pouvait venir mais ma tête se mit à taper, mon teint à pâlir et ma vue à se faire trouble. Géraldine qui avait vu que je n’allais pas trop bien, vint vers nous et dit à Dunc qu’elle devait me parler me tirant de ces bras en me tirant par le bras. Elle m’emmena jusqu’à ma chambre et me mit assise sur le lit. Elle se mit debout devant moi et commença à me parler :

G : Marie qu’est-ce qui t’arrive ? Ca ne va pas ?
Moi : Euh… ben je sais pas, j’ai l’impression d’avoir un marteau dans la tête, je vois presque plus rien et je me sens bizarre. Tu sais comme…
G : Oui comme l’autre fois dans l’escalier du lycée, j’ai eu la même impression… je vais chercher Stéph.
Moi : Non c’est pas la peine cherche moi de l’aspirine et fermes les volets s’il te plait je vais m’allonger ça ira mieux ensuite.
G : Ok, mais si ça va pas mieux ensuite j’appelle Stéph.
Moi : Oui d’accord mais la laisse moi me reposer une heure. Mais promets moi de ne pas parler aux autres de ça.
G : Pourquoi ? Dunc n’est pas au courant ?
Moi : Au courant de quoi ? Que je fais des malaises à causes des ces putains de crises de céphalées ?
G : Ben oui
Moi : Non et d’ailleurs il n’est pas question qu’il soit au courant. Tu crois qu’il voudrait encore d’une fille comme moi qui peu n’importe quand tomber dans les choux et être paralysé à causes de ces crises.
G : Mais…
Moi : Y’a pas de mais… aller va voir Lee occupe toi de Dunc et moi je serais fraîche dans une heure.
G : Ok bon mais une heure pas plus sinon…
Moi : G dehors.

G sortit de la chambre et retourna sur la terrasse avec tout le monde. Dunc était en train de s’amuser avec les enfants, et Lee était tranquillement posé en train de discuter. G s’installa à côté de lui et fit mine de s’intéresser à la conversation. Le temps passa G ne faisait que regarder sa montre et ne me voyait toujours pas revenir. Lee la voyait regarder sans cesse sa montre et cela commençait à lui taper sur les nerfs. Il commença à s’énerver et voulu tiré cette situation au clair. Il prit donc la main de Géraldine avec douceur car il n’était quand même pas une brute et l’emmena se poser tranquillement sur les marches de l’escalier à l’entrée de la maison. Il mit son bras autour des épaules de Géraldine voyant bien qu’elle était contrariée, et avec son autre main il prit la main de Géraldine. Après quelques minutes Lee décida de couper le silence et prit la parole :

Lee : Bon alors dis moi se qui se passe t’es bizarre depuis que t’es revenu d’avoir soi-disant discuté avec Marie.
G : Comment ça ma soi-disant conversation. Et ne t’inquiète pas je suis pas bizarre juste un peu inquiète.
Lee : Inquiète à cause de ?
G : Arrête lâche moi, laisse tomber je peux pas t’en parler j’ai promis.
Lee : T’as promis… Hum donc ça a un rapport avec Marie.
G : Lee… Arrête.
Lee : Non je compte pas arrêter, Marie est mon amie toi ma petite amie et j’estime qu’on doit et peut tout se dire. Donc que tu le veuille ou non je serais au courant.
G : Ben tiens j’aimerais bien savoir comment.
Lee : Il me suffit de franchir la porte et d’aller voir Marie… et lui demander des explications.
G : non ça c’est une très mauvaise idée.
Lee : Pourquoi ?
G : Ben parce que.
Lee : Bon c’est fini, tu me dis tout maintenant.
G : Je peux pas, je lui ais promis.
Lee : Dis le moi, je te jure je ne lui dirais pas que tu me l’as dis. C’est pour toi tu verras ça t’aideras.
G : Hum…
Lee : Aller !
G : Marie est dans sa chambre elle va pas très bien…
Lee : Qu’est-ce qui se passe, Qu’est-ce qu’elle à ? Elle déprime parce qu’on part se soir ?
G : Non pas du tout, Marie est disons… euh ben depuis qu’on étaient au lycée elle est malade.
Lee : Qu’est-ce qu’elle as-tu me fais peur !
G : En fait ont sait pas trop d’où ça vient, mais parfois elle devient toute pale sa tête lui fait très mal et puis tout à coup elle tombe dans les pommes. Ces mots de têtes sont si importants que ça lui coupe tout une fois elle à été paralysé d’un côté pendant deux jours, le temps que la crise passe. Les médecins appelles ça crise de céphalées.
Lee : Mais c’est grave ? Pourquoi tu mas rien dis avant t’as l’air inquiète donc j’imagine que c’est grave non ?
G : Non enfin c’est impressionnant, mais selon l’importance de la crise ça la paralyse et c’est ça qui la fait flippé.
Lee : Bon ben d’accord et tu croit que ça va mieux là ?
G : Ben écoute je sais pas, je l’es laisser dans sa chambre, je lui ais fermé les volets pour que ces yeux soit pas dérangé de la lumière en général une fois qu’elle est reposé ça va mieux lui faut du calme. Mais là ça fait plus d’une heure et elle ne revient pas.
Lee : Ben va la voir, moi je vais voir Dunc et lui expliqué.
G : (qui prit Lee par le Bras) Non fais pas ça.
Lee : Mais quoi encore ?
G : Marie ne veut pas que vous soyez au courant, elle à peur que Dunc ne veuille plus d’elle si il est au courant pour son problème de santé, elle croit qu’il ne voudra pas d’une fille qui peut tomber n’importe quand.
Lee : C’est n’importe quoi… bon t’attends quoi va la voir.

Lee se retourna et reprit la direction de la terrasse, quant à G elle alla me rejoindre dans la chambre. Elle entra puis referma aussi tôt la porte pour que personne ne voit rien. Elle se mit assise sur le lit et regarda un peu si ça allait mieux. Je mettais endormis c’était la meilleure solution pour que mon mal de tête parte. Lee était sur la terrasse et essayait de tout faire pour ne pas être en présence de Dunc, car il savait très bien que si Dunc lui posait des questions il ne pourrait pas s’empêcher de lui répéter e que G lui avait confié. Dunc avait bien comprit qu’il se passait quelques choses et il essayer par tout les moyen de découvrir se que c’était. Il commença à pisté Lee à travers la terrasse jusqu’à se qu’il réussisse à lui bloquer le chemin. Il le bloqua avec son corps et commença à parler sur un ton sec et agacé…

Dunc : Bon maintenant ça suffit j’ai bien compris que tu m’évite… maintenant j’aimerais bien savoir pourquoi ?
Lee : Mais non Mec tu te fais des idées.
Dunc : Non je m’en fais pas des idées… d’une ton petit air coupable, de deux l’absence de Marie depuis plus d’une heure, et pour finir tu t’es pris la tête avec Géraldine à cause de Marie. Et il me semble avoir entendu une partie de la conversation que tu as eue avec elle.
Lee : Ah bon ? Et tu aurais entendu quoi ?
Dunc : ben je sais que tu me caches quelque chose et que tu n’étais pas d’accord pour me le cacher mais G t’a fait promettre. Et je sais que se secret est au sujet de Marie.
Lee : C’est vrai. Mais comme t’as dis j’ai promis.
Dunc : Mais ont est amis Lee, même plus que ça donc ais donc confiance. En plus si ça concerne ma copine je crois que j’ai le droit d’être au courant.
Lee : Bon ok, mais s’il te plait tu t’énerve pas et tu reste calme.
Dunc : Ok
Lee : Ok, donc en fait G m’a expliqué que Marie est malade, et avant dans elle était dans tes bras, elle à faillit avoir un malaise c pour ça que G la écarté de toi.
Dunc : Lee, malade de quoi explique toi.
Lee : Euh je ne sais pas bien en fait c’est un souci qui lui provoque de gros maux de têtes et des malaises quand c’est trop intense. Parfois des paralysies.
Dunc : Merde, mais pourquoi je suis le dernier au courant ?
Lee : Marie a Dit à G qu’elle ne veut pas que tu sois au courant, parce qu’elle à peur que tu la quittes si tu apprends qu’elle est malade.
Dunc : N’importe quoi.
Lee : Je sais j’ai dis la même chose. T’es pas se genre de gars.
Dunc : Non tu le sais, mais bon là j’ai juste l’impression qu’on ne me fais pas confiance.
Lee : La n’est pas la question, c’est par amour pour toi et par peur de tes sentiments qu’elle t’a rien dit. Maintenant ça ne nous dit pas comment tu dois agir puisque tu n’es pas censé savoir.
Dunc : Je vais la voir.
Lee : G est avec elle.
Dunc : Raison de plus je vais la remplacer, c’est à moi d’être près d’elle. Aller @+

Chap. 22 :


Duncan prit la direction de ma chambre fit signe à Géraldine de le laisser seul avec moi dans la chambre. J’étais toujours en train de dormir à point fermer, Géraldine qui avait comprit que Lee avait vendu la mèche à Dunc quitta la chambre. Duncan se mit assit sur le lit juste à côté de moi en passant sa main sur mes cheveux et sur mon visage en sueur. Ont pouvait lire l’inquiétude sur son visage.
Encore quelques instants de sommeil et je commençait à m’éveillée, j’avais étais assez agitée quelques instants avant mon réveil comme si je me débattais. Je commençais à m’éveillée, je passais ma main sur mon front afin de l’essuyer sentant bien que celui-ci couler de sueur. Je commençais à ouvrir les yeux et je pouvais distinguée une ombre à côté de moi je ne savais pas cela pouvait bien être, ma vue n’était pas encore très nette. Géraldine cela n’était pas possible d’une je l’avais vu quitter la chambre et de deux elle aurait dû beaucoup changer pendant mon sommeil ! Lol à l’aide d’une de mes mains j’essayer de me redresser sur mon lit quand tout à coup celle-ci prit la parole…

Dunc : Pas la peine de chercher, c’est moi c’est Dunc. Ca fait un moment que je suis là à côté de toi… dis donc t’es le sommeil agité toi !
Moi : Mais euh…
Dunc : Chut pas la peine…
Moi : De quoi ?
Dunc : De chercher des excuses, je suis déjà assez fâché…
Moi : A propos de ?
Dunc : De se que je ne dois pas savoir… (Il me prit la main) Je sais que tu veux pas que je sache que tu souffre d’une maladie bizarre, je sais aussi que c’est parce que tu as peur que je te quitte à cause de ça… mais merde d’où est-ce que tu tire des âneries pareil ?
Moi : (Ne sachant que dire…) C’était pas à elle de te le dire. Et puis je ne veux pas t’imposer ma maladie. Et puis c’est pas une maladie c’est des migraines, certes très puissantes mais bon… je vais pas mourir.
Dunc : Ben justement alors je vois pas d’où est le stress, pourquoi ne pas vouloir me faire partager ça ?
Moi : Parce que je ne veux pas que tu me vois quand ça va pas.
Dunc : Arrête tout de suite, je t’aime et je suis et je serais là dans les bons comme dans les mauvais moments. (Il me prit dans ces bras sentant bien que j’avais besoin d’être rassurer.)

Je suis rester comme cela un moment dans ces bras, je sais pas j’avais l’impression d’être rassurer apaisé dans ces bras, j’étais persuadé que cette crise d’avant n’est venu que parce que j’avais peur de quitter Dunc se soir, parce que j’étais stressé par mon départ en vacances… mais mince c’est la vie tout le monde à des joies des déceptions… c’est comme ça.

Dunc : Ca va mieux mon ange ?
Moi : Euh… oui mais mon ange en quel honneur ?
Dunc : J’avais envie et quand tu dors tu ressembles à un ange.
Moi : Ah seulement quand je dors ? Lol
Dunc : Non enfin si… (M’embrassant)
Moi : Tu m’aimes toujours ?
Dunc : Bien sur que oui quelle question… par contre je me demande si c’est bien prudent ?
Moi : Quoi donc de m’aimer ?
Dunc : Mais non … en fait je me demandais si c’était bien prudent de te laisser partir ces quelques jours avec Géraldine, tu n’es déjà pas trop en forme là donc voilà je me fais du soucis.
Moi : Mais faut pas Dunc je suis pas une poupée de porcelaine. Demain ça ira mieux.
Dunc : Ah oui demain ça ira mieux quand je serais repartis.
Moi : Mais non tu sais très bien que c’est pas se que j’ai voulus dire…
Dunc : Oui je sais, je sais que je suis irrésistible ! Lol
Moi : Faudrait pas que ça te monte à la tête non plus hein.
Dunc : Non Marie, mais sérieux faut que je te dise un truc, enfin plutôt que je te demande quelque chose.
Moi : Je t’écoutes… (Toujours en tenant sa main.)
Dunc : Que tu partes ou non avec Géraldine demain, je sais qu’il te reste encore une semaine de vacances après celle-ci.
Moi : Oui et ? (Dunc me fit signe de me taire.)
Dunc : Euh, ben en fait j’aimerais beaucoup que cette semaine là tu la passes avec moi. Que tu viennes un peu en Angleterre… Et si tu pars pas avec elle finalement tu prends l’avion avec nous se soir.
Moi : Euh… mais et Géraldine ?
Dunc : Ben tiens je m’en doutais que tu allais dire ça. Lee s’en occupe. Tu penses aussi à G quand tu couches avec moi ? (D’un air dégoûté)
Moi : Mais c’est n’importe quoi… t’es jaloux de ma meilleure amie ? Et pour te renseigner… quand je couches avec toi, j’ai pas le temps de pensée à quelqu’un d’autre qu’à TOI gros bêta tu occupe toutes mes pensées.
Dunc : Voilà qui est assez flatteur je dois dire. (Il fit pression avec son corps sur moi pour que je me retrouve allongé sur le lit.) Je t’aime.
Moi : Moi aussi.

Il était allongé sur moi, sa bouche explorant la moindre parcelle de peau sur mon coup. Une main se trouvait sur mon visage à caresser ma joue de son pouce, et l’autre se baladait sur mes hanches mon ventre pour remonter jusqu’à ma poitrine. Ma respiration s’accéléra sous les caresses de Dunc, ces lèvres se promenaient de plus en plus entre mon coup, ma bouche et tantôt sur mon ventre. Il commença à ouvrir mon pantalon et passer sa main sous mon top pour avoir un meilleur accès pour ces caresses… le moment commença à se faire chaud et encore plus quand ont pensait qu’on pouvait se faire surprendre à n’importe qu’el moment. Bon sang ces lèvres… Eh mais Marie reprends toi…

Moi : Dunc arrête ! (Le repoussant)
Dunc : (N’arrêtant pas ces caresses) Non j’ai envie de toi là.
Moi : Euh… mais moi aussi… mais si les filles entrent ?
Dunc : Ben ont leurs expliquera comment ont fait les bébés…
Moi : J’espère que tu te fou de moi là ?
Dunc : Oui juste un tout petit peu.
Moi : Je préfère ça pour une fois. Aller lâche moi ont va voir Lee et G.
Dunc : Non mais…ne me laisses pas comme ça on était bien parti pourtant.
Moi : C’est vrai, mais comme tu l’as dis on était bien parti, maintenant le charmant jeune homme qui se trouve sur mon lit va me faire le plaisir de se levé et de m’accompagner dehors.
Dunc : Et si je veux pas ?
Moi : Ben alors je vais seule dehors et je vais draguer Lee !
Dunc : Minutes toi… tu va pas draguer mon meilleur ami quand même ? Parce que dans se cas c’est tout les deux que je devrais supprimer.
Moi : Ben je vais me gêner, je sais pas je me suis peu être tromper… Je me disais bien que Lee devait être un meilleur coup que toi ! Lol (Lui faisant un clin d’œil)
Dunc : Oh là tu peux pas balancer ça comme ça. (Il me prit le bras et me renversa à nouveau sur le lit) Je vais te le prouver tout de suite ainsi que toutes les fois qui seront nécessaire à se que tu me vénère comme Dunc le dieu du sexe ! (Avec un rire machiavélique)
… : Ca va les chevilles Dunc ?
Dunc : (Se retournant pour voir qui c’était) Oui très bien, mais là s’il te plait tu bouge je suis occuper.
Moi : Non t’es pas occuper tu m’écrases.
Dunc : Pardon mon ange.
Moi : Mais non… je te pardonne pas. (Lui faisant un gros bisous) J’ai rien à te pardonner c’était une ruse. Bon Lee elle est où ma meilleure amie à qui je penses tout le temps selon certains ?
Lee : Dehors elle range les affaires parce qu’on va partir c’est pour ça que je suis venu.
Dunc : Partir où ?
Lee : (Mettant son bras autour du coup de Dunc) Aller viens mec ont à parler. Tu me remercieras ensuite.
Dunc : Je n’ai pas tout suivi là !

LA SUITE J'ADOOOOOOOOOOOOOORE

Chap. 23 :


Je suis partie en sortant de la chambre laissant Lee et Dunc tout les deux à leurs conversation très masculine… je suis aller rejoindre ma moitié ! Lol

Du côté des Garçons :

Lee : Alors c’est quoi cette histoire de dieu du sexe ?
Dunc : Non c’est rien c’est juste que Marie m’a un peu taquiner…
Lee : Oh tu veux dire qu’elle ne résiste plus à mon corps de rêve ?
Dunc : Oh mec non là t’y es pas du tout… elle est à moi
Lee : Je sais, et tu sais que je l’adore elle aussi mais j’ai d’autres projets en vu.
Dunc : Un projet qui s’appel Géraldine ?
Lee : En quelques sortes oui. Et pour ta gouverne se projet pourrait même soyons clair bien t’arranger…
Dunc : Ouh… la tu m’intéresse… aller frangin raconte moi tout.
Lee : J’ai discuté… Je veux dire bien discuté avec G et il se trouve que son rêve serait d’aller bosser… à LONRES !
Dunc : Oui et ?
Lee : Mais t’es con ou tu le fais exprès là ? Si G vient vivre à LONDRES, tu ne penses pas que se sera plus facile pour toi de demander à Marie d’en faire autant ?
Dunc : Oh que si j’y avait pas pensé. Tu lui as aussi parlé de leurs vacances ?
Lee : Parce qu’elles partent en vacances ? Enfin je veux dire malgré les soucis de Marie ?
Dunc : Je sais pas, j’aimerais bien qu’elles partent avec nous se soir pour retourner en Angleterre.
Lee : Moi aussi…
Dunc : Mais au fait tu m’as pas raconter comme ça c’est passé ta première nuit avec G.
Lee : Ben sans me vanter je vais dire très bien… je ne vais pas te dire que c’était l’apothéose mais bon je pense que le crétin avec qui elle sortait ne savait pas trop s’y prendre parce que ça se voyait qu’elle n’était pas à l’aise. Mais je suis fière de moi.
Dunc : Ben c’est cool tout ça dis moi…

Du côté de chez G et moi :

G : ça va mieux toi ?
Moi : mais oui je t’avais dis avec un peu de repos ça passe… Mai bon Dunc à mon chevet au réveil c’était peu être pas nécessaire.
G : J’y suis pour rien c’est Lee qui sait pas tenir sa langue.
Moi : Ma foie c’est pas grave, maintenant il est au courant très bien.
G : Tu vois qu’il ne t’a pas quitté.
Moi : Oui
G : T’es sur de toujours vouloir partir demain ?
Moi : Euh… ben oui mais en fait…
G : Quoi ?
Moi : Ben Dunc… enfin bon voilà Dunc m’a demander de venir passer mes 2 semaines de vacances chez lui à LONDRES.
G : Et moi et nos vacances ?
Moi : Ben toi tu viens avec évidemment… et ont passera nos vacances là bas. Enfin c’est une hypothèse, t’es pas obligé de dire oui sinon ont part et ensuite ont va les rejoindre à LONDRES.
G : Euh… ben écoute t’en qu’à faire ont va directement avec eux… mais je sais pas comment dire ça à maman.
Moi : Euh… moi non plus.
G et Moi : Va falloir trouver une solution…

Les discussions continuaient chacune de leurs côtés. Lee et Dunc sortirent de ma chambre en rigolant à tue tête. Qu’est-ce qui pouvait bien les faire rire comme ça ? Il s’approchèrent de nous deux à nouveaux espérant pouvoir voler quelques baisers… Les voyant approcher, G et moi avons reculer en leurs disant…

G et Moi : Non non, minutes là ! La chambre est libre bon ben très bien c’est à nous y aller.
Lee et Dunc : Mais pourquoi ?
Moi : Ben faut je fasse ma valise pour partir… et j’ai besoin de Géraldine c’est normal non ?
Dunc : Non pas normal, puisque je t’es dis que ce n’est pas raisonnable que tu partes.
Moi : Chéri arrête de jouer les rabat joie. (Et G et moi sommes parti en direction de ma chambre)
Lee : (S’adressant à Dunc) Eh oui mec ça c’est de la nana… t’as encore tiré le gros lot.
Dunc : Oui, mais bon j’ai pas choisi elle m’es tombé dessus. Et c’est à cause de ta copine avec ces paris. N’empêche que je trouve pas ça raisonnable.
Lee : Ben de toute façon je ne pense pas trop qu’elle te laisse le choix mec.
Dunc : L’est bien là le problème. Et maintenant on fais quoi toi et moi ? Elles vont encore mettre une heure à faire les sacs.
Lee : Mais arrête, t’es pire qu’une fille toi de toute façon, avec tes fringues tes produits de soin… il te faut toujours des heures dans la salle de bain alors arrête un peu de râler.
Dunc : Mec… ferme là !

Ils sont partis tout les deux rejoindre les autres qui étaient posé sur l’arrière de la terrasse à boire leurs café et discuté… le temps passa ils se mêlèrent à la conversation pour ne pas faire tapisserie quant à G et moi nous étions en train de faire mon sac et G elle avait décidé de téléphoner à sa mère pour la prévenir de son départ. Elle passerait dans la soirée pour récupérer des affaires. La mère de G n’était pas folle de joie mais bon elle était majeure donc si elle voulait partir que faire…
Pendant se temps à l’extérieur de la maison Dunc et Lee s’occuper. Lee se mit assit par terre avec les enfants autour de lui et commença à leur chanter quelques petites chansons. Nous avions bientôt fini mon sac, je me suis habillé un peu mieux que ça, bien coiffé etc.… j’avais envie d’être super mignonne pour faire honneur à l’homme que j’aime. Nous sommes sortis et avons déposé mon sac dans l’entrée Dunc et Lee pensait bien entendu que le sac était pour partir le lendemain avec g pour nos quelques jours de vacances. Alors que G et moi avions décidé de partir directement se soir avec les garçons direction LONDRES. Mais chut c’est un secret encore…
Nous nous sommes dirigé discrètement vers l’arrière de la maison pour rejoindre tout le monde et nous avons entendu Lee chanter, Franchement j’en avais des frissons sa voix est vraiment super puissante j’avais jamais vu ça. Nous sommes rester figé à l’écouter… je me suis ensuite dirigé vers Dunc et me suis mise sur ces genoux tout en continuant d’écouter Lee chanter, Dunc lui n’avait pas l’air plus surprit que ça puisqu’il connaissait les performances vocal de Lee.
Je me suis penché pour dire quelques mots à l’oreille de Dunc :

Moi : Il a vraiment une voix formidable…
Dunc : (M’étant ces bras autour de moi) Pas plus belle que la mienne j’espère.
Moi : C’est différent…
Dunc : Oui en quoi…
Moi : Lui c’est sa voix que j’aime, mais toi… ben c’est toi tout entier que j’aime.
Dunc : Hum je préfère ça. Dis moi t’es bien jolie là !
Moi : Ah bon parce que d’habitude je ne suis pas jolie ? Ça fait toujours plaisir.
Dunc : Mais non tu dis n’importe quoi… mais tu l’es encore plus…
Moi : Merci
Dunc : (m’embrassant) Mais de rien
Moi : (me levant et le prenant par la main) Aller vient j’ai une surprise pour toi.
Dunc : (qui me suivait le pas vif.) Ah bon quoi j’adore les surprises… seul tout les deux chouette…
Moi : Arrête de faire l’idiot.
Dunc : Ok
Moi : (Je lui montrais le sac dans le couloir) Voilà !
Dunc : Ben quoi voilà je vois rien d’autre que ton sac, tu veux me foutre les nerfs ou quoi ?
Moi : Non du tout, laisse moi finir.
Dunc : Pardon ! Alors j’attends la suite !
Moi : Ben tu le vois se sac non ? Ben tu vas le prendre et le mettre dans la voiture après ?
Dunc : (Faisant de gros yeux il ne comprenait rien à se que je disais.) Moi pas comprendre là !
Moi : Ouais normal je m’exprime super mal là…
Dunc : Je te signal que je n’es rien dis de tel…
Moi : Je sais… en fait se que je voulais dire c’est qu’avec Géraldine on à discuté… et plutôt que de partir 5 jours à gauche et à droite comme c’était prévu ont c’est dit que se serait tout aussi sympa…
Dunc : Oui… continue j’aime bien la tournure que ça prend là.
Moi : Tu m’en diras tant… Ben se serait tout aussi sympa de partir se soir avec vous passer … Hum disons deux semaines à LONDRES. T’en dis quoi ?
Dunc : (Me serrant fort dans ces bras) Sérieux ? Non je rêve pas t’as bien dis que tu partais avec nous ?
Moi : Euh oui il me semble bien mais je peux toujours changer d’avis. Mais je parts pas seule G vient avec aussi.
Dunc : mais oui tu emmène qui tu veux… Bon sang que je t’aime ! Je rêve là, c’est génial.
Moi : (Essayant de le contrôler) Hey mais calme toi.
Dunc : (Il prit mon visage entre ces mains puissantes et le serra fort avant de m’embrasser goulûment) Je t’aime… je t’aime, je t’aime, je t’aime….
Moi : Moi aussi, même si t’es fou…

… Quelques instant plus tard le temps de laisser Dunc réalisé se que je venais de lui dire…

Moi : Bon ben je penses qu’on à pas trop de temps perdre là. Faut je dises au revoir à tout le monde, qu’on passe chez G faire son sac et qu’on prenne vos affaires à l’hôtel… Oh mais j’y penses nous faut des billets d’avion aussi.
Dunc : C’est pas un soucis… y’a le jet pour ça, l’avantage de sortir avec une star… (Attention les chevilles DUNC) Ben faut aussi le dire à Lee.
Moi : Non je crois que Lee est déjà au courant puisque c’est lui qui à suggérer à G, et puis je crois que G est assez grande pour faire ces confessions à Lee.

Chap. 24 :


Voilà nous étions en train de quitter la maison les au revoirs étaient très touchant j’en avais les larmes aux yeux me séparé des miens pendant deux semaines… Snif… c’était court mais long aussi. Ma foie j’y peux rien je l’aime ma petite famille, mais j’étais pas seule Dunc était là pour me tenir la main, et sécher mes larmes. Petit tour du côté de la famille à G à qui elle à présenter Lee qui ne s’attendait pas à être aussi bien accueillit qu’il ne l’as été. Parfois la vie est bizarre G avait enfin trouvé quelqu’un qui savais comment il fallait la prendre même si parfois pour Lee c’était super dur…
20 heures nous sommes à l’aéroport dans l’avion près à décoller au revoir la France… Bonjour L’Angleterre une pointe de nostalgie vient m’envahir. Assise sur mon siège dans l’avion j’étais pas très a l’aise pas très bavarde, je regardais à travers le hublot et j’avais l’impression que c’était la dernière fois que je voyais mon pays. Marie qu’est-ce que tu peux être con parfois… (Petite réflexion perso) G, Lee et Dunc étaient tout les trois debout dans l’avion en train de discuter. Quand tout à coup une main se posa sur mon épaule et une voix me dit…

… : Ca te dérange si je prends place à côté de toi ? J’aurais bien envie de discuté avec mon amie.
Moi : Ben non (retirant mon sac du siège.) Va y assieds toi Lee mais je penses pas être de super compagnie là.
Lee : Ah bon pourquoi ?
Moi : Je sais pas vraiment. J’ai l’impression que mon pays me manque déjà et je ne suis même pas encore partie. (Les larmes aux yeux)
Lee : (Me prenant dans ces bras.) Mais non ça passeras tu verras, et puis tu ne quittes pas ton pays pour toujours… tu va la revoir ta famille.
Moi : Je sais, mais j’ai une impression bizarre là.
Lee : Racontes…
Moi : C’est dur à dire, c’est même bizarre tout court… j’ai l’impression que je ne reviendrais pas avant longtemps…
Lee : Mais non tu te fais des idées… Et puis t’es pas seule tu nous à nous… donc sois contente t’as plus de chances que bon nombres d’autres personnes… Imagine t’as deux famille ta famille biologique et nous…
Moi : Merci Lee… Vraiment t’assure dans le rôle du meilleur ami. Après tout t’as raison et puis le téléphone ça existe.
Lee : Tout a fait… Tu demanderas à monsieur James il est né avec un portable greffer à l’oreille… Lol
… : Bon sang toi t’es trop drôle on croirais t’as bouffer un clown aujourd’hui.
Moi : Oh mon chéri…
Lee : C’est bon j’ai rattraper le coup elle est à toi…
Dunc : T’as rattraper quoi ?
Lee : Encore un peu elle redescendait de l’avion pour retourner chez elle… (Puis Lee parti rejoindre G mais avant je lui dis une phrase tout bas)
Moi : (Tout bas) Merci Lee
Lee : Pas de soucis mademoiselle.

Lee était parti…

Dunc : Alors comme ça t’as des doutes tu veux plus partir avec nous ?
Moi : Mais non, enfin j’ai eu un petit coup de cafard je sais pas pourquoi.
Dunc : Dis moi… tu doutes de moi ou de tes sentiments ?
Moi : Non, pas du tout tu te trompes. C’est juste que j’aie l’impression que je partais pour toujours. Je sais pas j’avais une sensation bizarre quitter mon pays pour aller vers l’inconnue.
Dunc : Se n’est pas l’inconnue c’est la vie avec moi. Et moi je t’aime.
Moi : Ben tu crois quoi… moi aussi ! Et encore plus que ça.

L’avion décolla et voilà nous étions parti en direction de ma nouvelle maison… terre d’accueil LONDRES bien que provisoire il fallait bien que je m’y habitue. Le voyage dans les bras de mon amour oh comme j’étais bien si bien que je me suis endormis dans ces bras… ces bras fort et musclés. Lee et G était à peu de choses près dans la même position sauf que G n’avait pas besoin qu’on lui remonte le moral elle était heureuse de retourner à Londres Ville qu’elle adorait. Tout à coup G eut une illumination… Tapa sur le bras de Lee et commença à parler.

G : Mais oh fait on y à même pas pensé mais Marie et moi on va habiter où ?
Lee : (Le regardant avec de gros yeux) Mais dans la rue bien sur… T’es bête où quoi là ? Tu vas habiter chez moi et Marie chez Dunc.
G : Comme de vrai couple ?
Lee : Ben oui
G : Ah mais euh… je ne sais pas moi !
Lee : Tu sais pas quoi ?
G : Ben si tu réussiras à me supporter toute la journée je suis chiante tu sais.
Lee : T’inquiète pas ma puce, j’ai de quoi me défendre côté mauvais caractère.
G : Ok, ben c’est à tes risques et périls.
Lee : (A son tour s’interrogea) Mais au fait tu as dis à Marie que tu comptais chercher du boulot à LONDRES ?
G : (Faisant une grimace) Euh non ! Je ne sais pas comment lui dire.
Lee : Le plus simplement du monde… faut arrêter de lui cacher des choses.
G : Je crois que t’as raison… ont verra une fois qu’elle se sera acclimatée.
Lee : Comme tu le sens. (Il resserra ces mains sur elle et posa sa tête contre la sienne)

Chap. 25 :


Deux heures de vol plus tard nous étions arrivé sur les terres anglaises. Nous sommes tous ensemble descendu de l’avion main de la main avec nos amours. Journalistes, photographes… minces la foule quoi comment ils pouvaient savoir que Lee et Dunc serait à l’aéroport ? Bon reste calme Marie après tout personne ne te connaît ici. Puis tout à coup ont entendit quelqu’un nous appelés. Nous nous sommes retournés tout les quatre en même temps, pour voir à quelques mètres de nous Simon et Anthony qui étaient venu nous chercher.
Ils se sont tout deux dirigé vers nous et ont commencé par saluer leurs potes…

Si : Salut les gars ça va ? (En les prenant dans ces bras)
Lee : et Dunc : Oh mec content de te voir…
Ant : (S’approchant de G et moi) Salut les filles.
G et Moi : Salut Ant
Ant : Eh regarde voir ça Si, Les mecs nous ont ramener un souvenir.
Si : (Lâchant les garçons et se dirigeant vers nous) Ah ben ça… content de vous revoir comment vont nos deux petites françaises préférés.
Moi : Plutôt bien merci, dis donc touchant vos retrouvailles après deux jours sans vous voir…
Si : Eh oui ont s’aiment nous… Lol
Ant : (Mettant ces bras autours des coups de G et de moi-même) Allez les filles vous aller me raconter se qui c’est passé dans vos vies depuis ces deux mois d’absence. (Ont se dirigeait vers le sortie de l’aéroport.)
Lee : (A Dunc qui était en pleine conversation avec Si) Eh mec, je crois que Ant est en train de nous piquer nos copines.
Dunc (Commençant à courir pour courser Ant) Eh mec, ça c’est ma femme. Donc s’il te plait pas touche.
Ant : Oh y’a eu un mariage sans même m’invité ?
Dunc : Non, mais oui. (Me prenant la main pour me retourner vers lui et m’embrasser avec fougue)
Lee : (A Ant) Ouais il à raison pas touche, (S’adressant maintenant à G) Et toi tu t’es déjà lassé de moi que tu parts avec lui ?
G : Euh…

Il ne lui laissa pas le temps de répondre qu’il était déjà en train de l’embrasser pour lui prouver que lui c’était un vrai mec, son mec à elle.

(Lee) Bon sang je tiens trop à cette fille, pourquoi ça me tombe dessus à moi d’habitude je suis pas comme ça. Mais comment résister à ces yeux bleus et ces cheveux foncé ?

(G) Il est trop touchant quand il joue les jaloux… j’aime bien ça ma foie.

Ca y’es ils étaient décollé tout les deux. Si proposa donc de nous ramener chez nous enfin chez les garçons parce que nus ont n’avait pas de chez nous ici. Nous étions dans la voiture Si avait proposé de ramener G et Lee quant à Ant ils nous ramenait nous c'est-à-dire Dunc et moi. Le trajet ne dura que quelques minutes durant lesquels Ant avait mit au courant Duncan des nouveautés au sujet de leur programme de la semaine. Chouette deux jours sans trop de choses de prévu ça les changeras et ensuite une semaine de vacance si j’en crois se que Dunc m’avait dit en France. C’est bon nous étions arrivé devant l’immeuble enfin plutôt la maison parce que je crois que la maison dans laquelle je vis avec mes parents est plus petite que son appartement à lui. Dunc prit les sacs dans le coffre de Ant le mien puis le sien, Ant me fit quelques recommandations puis nous nous sommes tous dit au revoir et à très vite puisque nous allions être amené à nous revoir. Nous sommes alors monté jusqu’à l’appartement… mon dieu même si j’y étais déjà quelques temps auparavant je suis toujours aussi émerveillée par la grandeur et la déco de cet appartement.
Pendant que du Coté de l’appartement de monsieur Ryan… Eux aussi étaient bien arrivés, pas trop de bouchon normal vu l’heure. G n’était venu qu’une fois dans cet appartement, mais elle avait l’impression de se sentir chez elle comme une retour aux sources. Ils se mirent tout deux assit bien calé dans l’immense divan de Lee, ils commencèrent par tout se raconter tout se qui avait pu se passer ou ne pas se passer pendant ces deux mois sans s’être vu. Lee lui avoua être sorti avec l’une ou l’autre fille, mais à la grande surprise de G il lui avoua aussi que bien qu’il ait envie d’elle ben il s’était senti sal d’avoir pu trahir G avec d’autres filles. G quant à elle lui dit qu’elle avait eu du mal à quitté son copain, car à l’époque elle ne savait pas encore bien s’il un avenir était possible entre eux deux. Elle lui confia aussi qu’elle avait du mal à pardonner à Dunc le mal qu’il avait pu me faire… même si aujourd’hui tout semble aller pour le mieux du monde, pour elle s’était loin d’être une affaire classée. Entre G et Lee se n’était pas qu’un couple qui naissait c’était aussi une belle amitié car malgré tout les défauts de Lee, c’était un être d’une grande ouverture d’esprit quelqu’un avec qui il était facile de parler et de se confier.

De retour vers le domicile de Monsieur James…

Nous étions tout deux installé sur un transat de la terrasse dans les bras l‘un de l’autre une couverture posé sur nous pour ne pas avoir froid. J’avais l’impression que tous mes rêves se réalisaient…
Nous ne parlions pas nous sommes justes rester comme ça installé. Jusqu’à se que le silence soit interrompu par la sonnerie du téléphone de Dunc. Une, deux, trois sonneries… je me redresse et me tourne face à Dunc.

Moi : Eh, mais pourquoi tu décroche pas ?
Dunc : parce que je suis bien là.
Moi : mais c’est peu être important…
Dunc : Il est tard je suis censé ne pas être disponible jusqu’à demain donc il n’y à rien d’important. (Se levant en me prenant dans ces bras) Enfin si une chose est importante… TOI.
Moi : (Mettant ma tête sur son épaule) Tu sais que je t’aime toi ?
Dunc : (Faisant mine de réfléchir…) Attends je cherches… (Lui donnant un coup dans le ventre) Euh oui bien sur que je le sais. Et toi tu sais que je t’aime ?
Moi : Moi, ben oui je sais mais ça fait longtemps que tu ne me l’avais pas dit.
Dunc : Attends je vais rattraper ça tout de suite. JE T’AIME………… JE T’AIME
Moi : Merci, t’es trop mignon toi…
Dunc : Je sais je sais…
Moi : Dunc : Ca va les chevilles chéri ?
Dunc : Très bien… bon qu’est-ce que t’en penses si ont allait se couché ?
Moi : J’ai pas envie de dormir. (Faisant une jolie petite moue.)
Dunc : J’ai parlé de dormir ? Non je ne pense pas…
Moi : Ma parole et après ont dit que c’est Lee qui pense qu’au sexe… t’es pas mal non plus dans le genre.
Dunc : J’y peux rien c’est toi qui m’inspire… (Commençant à me faire de tendres et longs bisous dans le coup)

(Moi) Oh, non pas le coup je craque, pas ça… c’est trop bon s’il te plait t’arrête pas ! Mais qu’est-ce qui m’arrive je deviens dépendante des baisers de Dunc… mais c’est trop bon, tant pis.

Je mis mes mains autour du coup de Dunc, et il me porta comme ça jusqu’à sa chambre. Il me déposa délicatement sur le lit tout en gardant ces yeux plongés dans les miens. Il continua ces baisers le long de mon coup, ces mains se baladaient sous mon top puis le long de mes hanches puis il remonta vers mon coup pour encore aller titillé un endroit qu’il savait sensible chez moi. Il retira alors mon top puis sa chemise puis s’allongea sur moi pour me faire l’amour de la plus belles des façons qu’il soit. Nous nous sommes ensuite endormis dans les bras l’un de l’autres recouvert d’un drap et de l’odeur de chacun sur nos corps en sueurs.

G et Lee eux s’endormirent dans les bras l’un de l’autres sur le canapé qu’il avaient occupé tout la soirée et la nuit.

Chap. 26 :


Le jour c’était levé, une nouvelle journée s’offrait à nous, moi qui n’étais pas matinale habituellement cette fois je ne sais pas pourquoi j’étais réveillé pimpante à 6 heures 30 le matin bizarre non ? Les bras de Dunc autour de moi mon dieu que j’étais bien. Après quelques instants de satisfaction à regarder mon homme dormir je me suis penché pour récupéré la chemise de Dunc qui traîner par terre, puis je suis sortie du lit en l’enfilant j’ai déposé un baiser sur les douces lèvres de mon chéri et je suis sortie de la pièce. J’ai fais le tour de l’appartement en faisant bien attention à tout histoire d’en apprendre un peu plus sur cet homme qui me combler tellement, puis je suis aller en direction de la cuisine pour préparer du café, m’en servir un tasse et je me suis redirigé vers la salle vidéo en m’installant sur un fauteuil bien confortable j’ai ensuite allumé la télé zappé plusieurs fois jusqu’à se que ma tête tombe sur le dossier du fauteuil et que je retombe dans les bras de morphée.

10 heures 30 minutes Duncan commence à bouger dans son grand lit vide il me cherche à l’aide de ces mains en gardant toujours les yeux fermer. Puis il ouvre un œil puis deux… il ne voit rien normal je ne suis plus là… il se redresse dans le lit se met assit passe sa main sur son visage puis dans ces cheveux. Il sort à son tour du lit, enfile son boxer et un tee shirt qu’il prend au passage et sort de la pièce. Il sent l’odeur du café, se dirige vers la cuisine mais personne le salon, la salle à manger idem il ne trouve personne. Il commence à se poser des questions… il retraverse l’appartement puis s’arrête devant la salle vidéo…

(Dunc) Mince je pensais avoir fermer la porte ici, comment se fait-il que la porte soit ouverte, le poste allumé. Bizarre… Et puis où est-ce qu’elle est encore passer Marie ???

Il entra donc dans la salle, s’avança un peu… et un large sourire se dessina sur ces lèvres. Il avança encore un peu prit une couverture sur le sofa qui était dans la pièce et prit soin de bien me recouvrir avec il passa ensuite sa main sur mon visage et sur mes cheveux et toucha mes lèvres du bout de ces doigts. Il prit la tasse de café que j’avais laissé sur la table basse de la salle vidéo, y trempa ces lèvres (beurk du café froid) et se mit assit face à moi sur un autre fauteuil en me regardant dormir.

(Dunc) Quand elle dort on dirait un ange, elle est si belle avec ces quelques rayons de soleil qui lui éclaire le visage. C’est le rayon de soleil de ma vie… quand je pense que j’ai faillis laisser filer ma chance avec elle. Et en plus mes fringues lui vont bien… elle est trop sexy avec ma chemise.

L’appartement de Lee s’éveillait aussi, après une nuit passée sur le canapé même si il était super confortable ce n’est pas pareil qua dans un bon lit. Lee se réveilla en premier tâta le terrain pour voir où est-ce qu’il se trouvait avant même d’ouvrir les yeux… (Eh oui le canapé, t’as pas atterri dans ton lit par magie) ça y’es il avait les yeux ouvert, G était toujours dans ces bras aussi mal couché que lui. Le réveil s’annonçait dur… Le commença à caresser le visage est les bras de G pour tenter un réveil en douceur, puis il l’embrassa à plusieurs reprises dans le coup… un petit sourire se dessina sur les lèvres de G qui pour le moment avait toujours encore les yeux fermer. Encore quelques uns… il persévéra et enfin G ouvrit les yeux elle avait la tête poser sur Lee, même si Lee était plutôt un bel oreiller elle senti tout de même quelques douleurs de cette nuit passer sur se canapé tout dur ! Lol Aller un effort et elle se redresse elle se tourne vers lui et le regarde dans les yeux (Eh oui dans les beaux yeux bleus de Lee), elle ne lui dit rien et Lee pour lui dire bonjour se contenta de lui déposer un petit baiser sur le bout des lèvres. Il se leva et alla à la cuisine chercher deux grand verres de jus d’orange et les ramena jusqu’au salon… il lui tendit un verre toujours avec son grand sourire béa sur les lèvres.

G : Merci, comment t’as deviné se que je voulais ?
Lee : Oh ben je sais pas une petite intuition masculine ont va dire…
G : Ah ouais ça existe ça ?
Lee : Ouais tout existe avec moi… attention je suis éblouissant.
G : Je n’en doute pas… (Le regardant) mais ont à pas l’air très frais tout les deux comme ça.
Lee : Ouais c’est vrai… (Il lui prit la main et l’aida à se lever) Aller vient je te propose d’aller faire un tour sous la douche t’en pense quoi ?
G : Hum non … je préfère les bains moi… Ok ?
Lee : Comme tu veux, bon viens on va à la salle de bain

Une fois dans celle-ci, Lee fit couler un bain à G elle se plongea dedans dans une immense baignoire rempli de bulles magnifique… Lee se proposa de l’aida et de lui frotter le dos (Mais bien sur de la part de Monsieur Ryan ça n’a rien ‘innocent) G ne s’en priva pas. Accroupi à l’arrière de la baignoire, les mains de Lee s’occupaient du dos de G quand à sa bouche elle avait tendance à déraper sur son coup et son buste. Il se redressa ensuite un peu pour avoir un meilleur accès sur G, elle passa ces bras autour du coup de Lee et après quelques baiser Lee fit un petit saut imprévu dans l’eau… PLOUF dans l’eau petit Lee… Après une grosse séance de fou rire ils commencèrent une approche différente d’un bain à deux et transformèrent se bain, en jeux aquatique dont lee avait envie d’initier Géraldine.

Chap. 27 :

Retour au logement de Monsieur James…

11 Heures, ah ben on retrouve bien notre petite Marie qui se lève à des heures pas possibles… Lol
On sonna à la porte, Dunc se précipita pour aller ouvrir avant que la sonnette ne me réveille. Il essayer de remettre un peu ces cheveux en place et ouvrit la porte

… Bonjour mon chéri !
Dunc : Ah, Salut maman… Désolée je ne suis pas très habillé là.
Fiona : C’est pas grave mon poussin je suis juste venu te ramener quelques petites bricoles que j’ai cuisiné se week-end.
Dunc : Euh. Ben merci maman c’est gentil tout plein. Tu veux entrer un moment.
Fiona : Merci mon ange… (Elle entra et posa ces paquets dans la cuisine)
Dunc : Fais comme chez toi maman je vais vite prendre une douche à m’habiller.
Fiona : Oui mon chéri… ne t’inquiète pas et prends ton temps.

Il se dirigea vers sa chambre et ensuite dans la salle de bain un peu gêner de la situation, pour une fois il eut fini en un temps record 20 minutes chrono…
Il retourna vers chez sa maman qu’il adore plus que tout au monde…

Dunc : Voilà maman, tu vois j’ai fais vite et maintenant je me sens un peu mieux, parce que j’étais pas très à l’aise de t’ouvrir comme ça avant.
Fiona : Y’a pas de soucis, Duncan. Alors qu’à tu fais de beau ces derniers jours je ne t’es pas vu et je n’arrivais pas à te joindre.
Dunc : Ben c'est-à-dire que je n’étais pas trop en Angleterre.
Fiona : Ah bon ?
Dunc : Ouais j’étais avec Lee en France.
Fiona : Lee courrait encore après une fille ?
Dunc : Ce n’est pas exactement ça maman en fait.
Fiona : Ben explique moi alors mon chéri…
Dunc : Tu te souviens de la fille dont je t’avais parlais il y’a quelques temps ?
Fiona : Euh… La française ? La jolie blonde que tu n’avais pas envie de faire souffrir ?
Dunc : Oui tout juste maman. Ben en fait j’ai décidé de pas la laisser filer cette fille, j’ai mis du temps mais j’ai compris… cette fille est peu être mon avenir.
Fiona : Ah, mais alors racontes moi.
Dunc : Ben j’ai réussi à la retrouver, j’ai mis du temps à la convaincre de mon honnêteté mais j’y suis parvenu. Faudra que je te la présente, Marie est magnifique on dirais un ange… Belle, intelligente, souriante… je l’aime maman.
Fiona : J’ai hâte de la rencontrer… t’as l’air d’être sur un petit nuage mon fils…
Dunc : Plus que ça encore.

Entre temps je m’étais réveillé, après quelques étirements je me suis levé de mon bon fauteuil si confortable. Je suis retourné vers la chambre toujours vêtue de la chemise de mon homme pensant trouver Dunc encore au lit, et non faut croire qu’il n’est pas si marmotte que ça… Lol personne dans le lit… Mince. Tant pis je vais tenter me chance ailleurs je court à travers l’appartement en criant…

Moi : DUNC…………

Entendant crier, Dunc sorti à toute vitesse de la cuisine. Il arriva en même temps que moi dans le salon principal et commença à sourire en me voyant si peu vêtue.
J’ai couru vers lui pour me retrouver dans ces bras, ils les resserra sur moi pour me tenir tout contre lui.

Dunc : Qu’est-ce qui t’arrive ?
Moi : Ben… Euh… j’avais peur d’être toute seule dans cet immense appartement. Et puis c’est la seule solution pour te trouver crier… au moins je suis sur que tu m’entends ! Lol
Dunc : Ok, mais je t’aurais jamais laisser seule. J’ai même passé une heure à te regarder dormir avant.
Moi : C’est vrai ?
Dunc : OUI, mais c’est pas cool de m’avoir laisser seul dans se grand lit avant.
Moi : Désolé j’arrivais plus à dormir… tu me pardonnes ?
Dunc : Bien sur (Il se pencha et m’embrassa avec beaucoup d’entrain et me souleva dans ces bras en oubliant la présence de sa mère et de m’en avertir bien sur.)Fiona : (Qui sortait elle aussi de la cuisine intrigué par l’absence de son fils et les cris qui c’étaient fait entendre quelques instants auparavant.) BONJOUR
Dunc : Ah mince c’est vrai maman… (Me reposant par terre.)
Fiona : (amusée par la situation) Je suppose que vous êtes Marie ?
Moi : Euh… Oui madame. (Timidement je regardais mes pieds, en m’apercevant que je ne portais rien que cette chemise, je relevais les yeux et fis une mine choquée. Je me mis à courir le plus vite possible vers la chambre.)
Dunc : désolé maman.
Fiona : Mais de quoi ?
Dunc : Ben disons que la situation est plutôt gênante.
Fiona : Tu es jeune c’est normal, va plutôt la rejoindre. Je vais préparer un nouveau café et vous attendre.
Dunc : Oui maman t’es aussi un ange toi tu sais.
Fiona : Oui tu ferais mieux de t’en souvenir.

Chap. 28 :

Dunc me rejoignis dans la chambre, j’étais gêné de la situation. La honte sur moi me présenter en simple chemise devant la maman de Dunc. J’étais assise sur le lit les genoux vers moi serrant mes bras dessus quand Dunc entra dans la chambre en rigolant, ma première réaction fut de lui balancer un oreiller à la figure.

Moi : Idiot va. De quoi j’ai l’air moi devant ta maman avec comme tenu une simple chemise.
Dunc : (Rigolant toujours) Je suis désolé ma chérie. Mais personnellement je trouve qu’elle te vont très bien mes chemises.
Moi : Ouais c’est ça fou toi de moi.
Dunc : Non mais je suis sérieux.
Moi : Ouais ben moi je trouve pas ça drôle…
Dunc : Je t’avouerais que sur le moment moi non plus. Et puis voie le bon côté des choses, au moins maintenant vous avez fait connaissance. D’ailleurs si tu voulais bien t’habiller maman nous attend.
Moi : Et si je veux pas ?
Dunc : Ben je te ramène comme ça si tu préfères.
Moi : Non c’est bon je vais y aller, mais d’abord je prends une douche.
Dunc : Et moi ?
Moi : Toi ben tu reste ou tu es… la douche est à moi.
Dunc : Ah les femmes…
Moi : Oh les hommes…

Voilà douche prise cheveux en ordre un petit make up, je crois que j’avais enfin l’air de quelque chose. Mais non j’oublie l’essentiel les fringues… donc je m’habilles. Un petit ensemble de jolis sous vêtements, une robe rose (parce que j’aime bien cette couleur) jusqu’au genoux de fines bretelles et au tissu volant assez léger. Un peu de gloss. Voilà je crois que c’est bon. Je suis sortie de la salle de bain voyant Dunc allonger sur lit, les yeux fermer.

Moi : Dunc tu dors ?
Dunc : NON, je pense
Moi : Tu pense à quoi ?
Dunc : A toi ! (Il ouvrit les yeux…) WOUAHHHHHHHHHHHHHHH Comme t’es belle ma chérie.
Moi : Merci je sais, je sais…
Dunc : Dis donc t’es modeste aujourd’hui… Lol
Moi : Comme toi beau Gosse.

Un petit sourire un dernier baiser, et nous voilà main dans la main près à aller voir la maman de Dunc qui attend toujours dans la cuisine.

(Moi) Oh mon dieu que c’est gênant que vais-je lui dire ?
(Dunc) Comme d’habitude je suis sûr qu’elle va assurer.

Nous sommes entré dans la cuisine encore main de la main puis j’ai pris mon courage à deux mains et je suis allé vers Fiona.

Moi : Euh… Bonjour ! Désolée vraiment pour tout à l’heure je ne savais pas que vous étiez là.
Fiona : (Me regardant de bas et haut) Se n’est rien du tout voyons. C’est déjà oublié. Donc vous êtes Marie je suppose ?
Moi : Oui c’est ça. Comment le savez-vous ?
Fiona : (Regardant Dunc) Le jeune homme là bas.
Moi : A parce qu’en plus tu parle de moi ? Lol
Dunc : Bien sur que oui a tout le monde au monde entier même. Parce que je veux que tout le monde sache que je t’aime.
Fiona : Il était malheureux après votre départ.
Moi : Moi aussi… mais je pense pour d’autres raisons. (Ne voulant pas entré dans les détails de l’histoire qui nous unissait)
Fiona : Oui, mais l’essentiel c’est que vous vous êtes retrouvé à présent. Mais si je peux me permettre jeune fille, ne vous laissez pas trop envoûté par ces yeux… il vous ferait croire n’importe quoi.
Moi : Oh ben ça je le sais… ne vous en inquiété pas. Le pire c’est qu’il c’est trop bien les utilisé avec ces petits regards.
Dunc : Dites donc ne vous deux c’est pas ma fête aujourd’hui que je sache.
Fiona et moi : Pas encore… mais la journée n’est pas finie.

Chap. 29 :

Nous sommes encore resté environ une heure à discuté puis Fiona devant s’en aller nous à laisser seul Dunc et moi. Finalement je crois avoir eu peur pour rien car la maman de mon chéri est un vrai amour tout comme son fils.

Encore quelques câlins puis Dunc me proposa d’aller faire un tour du Côté de chez Lee et G histoire de passer en moment de l’après-midi avec eux… Nous nous y sommes donc rendu, un immeuble très class très lumineux, des vitres partout. Nous sommes monté au dernier étage, et Dunc sonna.

DING DONG…

Lee : Ouais c’est bon j’arrive (Il ouvrit la porte, et ne fut pas surprit de nous voir devant lui)
Dunc : Alors j’espère qu’on dérange… Lol
Lee : En fait non pas du tout, on vient de finir de manger Au moins je suis sur que tu ne me piquera pas ma part de repas.
Dunc : PF gardes les tes plats surgelé… ma maman elle est venu me ramener de bons petits plats ! Na (Lui tirant la langue)
Lee : Non, ta mère… grrr et tu m’a même pas invité… moi qui adore la cuisine de ta mère.
Dunc : Et ouais… c’est la vie mec.
Moi : Bon salut quand même Lee, (M’avançant de lui pour lui faire une bise) Elle est ou G ?
Lee : Dans la cuisine elle finit la vaisselle
Moi : (Lui donnant une tape dans le dos.) Non mais t’aurais pu le faire c’est pas ta femme de ménage.
Lee : Ce n’est pas moi, c’est elle.
Dunc : Vient mec faut que je te parle…
Lee : Ok, ok on va dans le bureau.
Dunc : Je te suis… Je reviens ma puce
Moi : Oui ben tu sais où me trouver. (Puis je suis aller dans la cuisine donner un coup de main à G)

Dunc et Lee se sont isolé dans le bureau histoire de discuter en peu entre homme. Dunc à prit son air sérieux. Debout tout les deux dans cette immense pièce Dunc commença à parler…

Dunc : Alors mec et comment ça c’est ^passer alors cette première nuit londonienne ?
Lee : Ma foie… Disons courbaturant ! Le canapé n’est pas très confortable.
Dunc : Le canapé ?
Lee : Ben ouais figure toi, qu’on s’est endormi tout les deux sur le canapé hier soir en discutant. Résultat super mal partout en se réveillant.
Dunc : Dis plutôt qu’elle ne voulait pas de toi… Lol
Lee : Mais toi d’où tu sors des trucs pareil personne ne résiste au charme de Monsieur Lee Ryan.
Dunc : Si MOI
Lee : Et puis le câlin de se matin dans la baignoire je dois dire que c’était vraiment pas désagréable !
Dunc : Ben dit donc tu te refuses rien toi…
Lee : Ben non … Et toi alors raconte.
Dunc : Câlin nocturne, réveil seul dans mon lit et maman qui à débarquer vers 11 heures se matin moi en boxer… génial et le mieux c’était Marie qui à debouler et criant mon nom à travers l’appart en ne portant que ma chemise.
Lee : Ce n’est pas vrai…
Dunc : Si je te jure… elle était tellement gêner qu’elle à couru dans la chambre se mettre sous la couette, quand je suis venu la rejoindre elle ma balancer un oreiller à la figure.
Lee : Tu m’étonnes, elle devait trop avoir les nerfs. Premier contact avec sa belle mère pas top.
Dunc : Sa va c’est une histoire arranger, maman en à plus rigoler qu’autre chose.
Lee : Ouais c’est vrai elle est cool ta mère… Alors tu voulais me parler ?
Dunc : Ouais en fait je voulais savoir si tu pouvais assuré avec marie cette après-midi ?
Lee : Comment ça ?
Dunc : Ben je sais pas emmène les filles faire un tour en ville, boire un verre… je sais pas t’as carte blanche.
Lee : Oui, mais et toi ? Dunc ne fais pas de connerie… Tu viens à peine de retrouver Marie tu va quand même pas.
Dunc : Mais non, t’alarme pas. Je vais juste aller faire un tour chez Claire. J’ai discuté hier avec Marie, et je me suis rendu compte que merde le père de Tiannie c’est moi donc j’ai le droit de la voir quand je veux et pas quand madame décide.
Lee : Ah ok, désolé mec. Pas de soucis je m’en charge. Mais pourquoi tu ne veux pas le dire à Marie.
Dunc : j’ai envie de lui éviter les sarcasmes de Claire, et si ça marche pas comme je veux ben au moins elle sera pas triste pour moi.
Lee : Ok prends ton temps mec, je vais les occuper nos deux demoiselles.
Dunc : C’est cool merci t’es le meilleur… Tu lui diras que je l’aimes et que je reviens vite, je t’appel au courant de l’après-midi. Ciao.

Dunc est parti en en faisant pas de bruit G et moi ne l’avons même pas entendu. Lee est donc venu nous rejoindre dans la cuisine prenant G par la taille il nous expliqua que Dunc avait une petite course urgente à faire et qu’il revenait au plus vite. J’étais un peu vexer qu’il ne m’est rien dit même pas au revoir mais bon c’est la vie. Lee proposa alors de nous emmener en ville faire un peu de lèche vitrine, ben vous croyez que l’on aller refuser ça… Ben non.
Donc nous sommes partis tout les trois direction les boutiques… puis nous avons fait une petite pause à la terrasse d’un café en milieu d’après-midi.

ta une new lectrice...
JADORE TA FIC JVE LA SUITE !!!!!!!!!!!!!!!!

Chap. 30 :

Assit sur la terrasse du café nous discutions et chahutions tout les trois comme si nous nous connaissions depuis toujours. Après environs 30 minutes passé sur celle-ci G et moi sommes aller au toilettes avant de reprendre notre route pendant se temps Lee eu un peu de compagnie.

… : Ah salut Lee comment ça va ? T’es tout seul oh comme c’est dommage.
Lee : Ah Anya (Sur un ton pour le moins ironique) Comme ça fait longtemps. Et non je suis pas seul j’attends les deux femmes de ma vie.
Anya : Ah ouais tiens donc le playboys c’est fait des copines.
Lee : Eh ouais quoi tout arrive, qui sait peu être toi aussi un jour.
Anya : Non un jour je serais de nouveau avec Dunc et la tu auras bien les nerfs mon chou… D’ailleurs comment va se bon vieux Dunc.
Lee : (Me voyant arrivé) Ben t’as qu’à demander à sa nouvelle copine. (Me montrant du doigt)
Anya : Pardon cette pouf sa nouvelle copine.
Moi : (Qui était juste derrière Anya) La pouf comme tu dis s’appelle Marie. Et toi à en croire se que Lee m’a dit tu dois être la chieuse de service.
Lee : Bien dit Marie
Anya : Non je suis juste la seule fille qui fasse de l’effet à Dunc. Et pour sortir avec toi il à du bien tomber bas.
Moi : (Fronçant les sourcils) Je te permets pas ! (Et je lui balance le premier verre que je vois sur la table en l’occurrence celui de Lee)
Lee : Et une Anya au Red Bull ! Une !
Moi : Je pensais que t’avais un peu chaud donc je me suis permise de te faire prendre une petite douche.
Anya : Non mais pour qui tu te prends la campagnarde ! Tu crois qu’avec ton joli sourire et tes cheveux blonds tu vas faire rester Dunc plus que chez une autre ?
Moi : En tout cas plus qu’avec toi… Je pense pas que les Bimbos entièrement refaite soit le genre de Dunc.
Anya : C’est de moi que tu parles là ?
Moi : Tout à fait…
Anya : (Elle leva le bras me donna une grosse gifle et commença ensuite à s’attaquer à ma robe) Désolé elle me démangeait !
Moi : (Ma robe) Ca t’aurais mieux fais d’évité PUTAIN Ma plus belle robe… (Je me suis approcher d’elle en lui mettant un gros pain en pleins dans les dents) Bon ben, maintenant tu peux reprendre rendez-vous chez ton ami le chirurgien.
Lee : (Se levant pour nous séparé) C’est bon casse toi Anya… De toute façon personne t’aime et Marie et 1000 fois mieux que toi… Et elle à un gros avantage sur toi… Dunc L’aime.
G : (Poussant fortement Anya) Aller @+ ou non mieux à jamais et tu touche plus à ma copine.

Anya est parti en se tenant la mâchoire, je sais pas trop si je lui avait fait mal mais en tout cas elle avait une bonne droite mince j’ai trop mal à la joue je sens qu’elle est toute rouge. Qu’elle conne celle là. Lee me prit dans ces bras…

Lee : Ca va ma grande ?
Moi : Ouais mais un peu de glace me ferais du bien là, je crois elle m’a un peu démoli la joue. Non mais oh, en plus ma jolie robe rose… Putain je la retient.
G : Au moins maintenant ont est fixé Dunc avait mauvais goût avant de te rencontrer.
Moi : Merci G !

Nous sommes alors tout les trois retourné chez Lee et adieux notre petite suite de lèche vitrine… Juste à cause de cette tâche.

Dunc quant à lui se trouvait devant le logement de Claire et de sa fille Tiannie. Il frappa à la porte, il espérait de tout cœur que Claire soit compréhensible et qu’elle accepte de lui laisser sa fille plus souvent. Claire vint lui ouvrir assez surprise de voir Dunc ici devant elle surtout que se n’était pas son tour de garde pour Tiannie.

Claire : Mais qu’est-ce que tu fais là ?
Dunc : Salut, ben écoute j’aimerais bien qu’on discute un peu tout les deux.
Claire : Et de quoi s’il te plait ?
Dunc : De notre fille…
Claire : Ah…
Dunc : Il faut que tu sache, je suis très malheureux de la situation actuelle. J’en peux plus de voir ma fille quand tu le décides quand ça t’arrange… Des parents séparé y’en as mes ils reste quand même présent dans la vie de leurs enfants, mais moi j’ai même pas se droit.
Claire : Mais… c’est se que nous avions convenu pourtant.
Dunc : Ben cela ne me convient plus, Je suis souvent absent soit… mais quand je suis présent je veux que ma fille soit avec moi.
Claire : En clair que veux tu ?
Dunc : Pouvoir avoir Tiannie 3 jours par semaines quand je suis à Londres, et l’emmener de temps à autre avec moi en voyage.
Claire : ais-je le choix ?
Dunc : Ma foie… non. Car sinon c’est avec mon avocat que tu va en discuté et je suis sur que tu préfère évité cela. Et à l’avenir j’aimerais être tenu au courant de toute décision concernant notre fille.
Claire : Très bien, mais ne croit pas que j’ai dis mon dernier mot.
Dunc : Tu recevras des papiers de mon avocat mettant tout cela noir sur blanc… Autre choses tes stupides tentative pour se rapprocher de moi… tu les Oublies ! Je suis amoureux et ce n’est pas de toi.
Claire : (Choquée) Ben dis donc…t’es en forme aujourd’hui.
Dunc : Oui et je vais encore t’en apprendre une tout de suite. Tiannie vient avec moi, aujourd’hui même.
Claire : Pardon !
Dunc : t’as très bien entendu. Je vais la chercher, c’est bon je connais le chemin.

Dunc s’en alla à l’étage de la maison, en rassemblant quelques affaires pour Tiannie, et en prenant sa fille dans ces bras qui était réveillé dans son petit lit.

(Dunc) Je t’aime mon cœur…

Dunc : Aller ma puce on va dire au revoir à maman.
Claire : A bientôt ma chérie.
Dunc : Je te la ramène Jeudi en début de soirée.
Claire : Très bien.

(Dunc) Je fais cela, mais je ne sais même pas si Marie va approuver ! On le s’aura bien assez vite, si j’ai bien compris le planning demain elle va être amené à passer un long moment avec Tiannie, Nous avons des enregistrements demain en studio.

LA SUITE LA SUITE LA SUITE VITTTTTTE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Chap.31 :

Nous revoilà chez Monsieur Ryan…
G et moi étions dans la salle de bain en train d’essayer de diminuer les dégâts. G commença à crier de la salle de bain…

G : Bon Lee elle vient cette poche de glace, faut pas attendre que Marie ressemble à un Hamster avec sa joue.
Lee : C’est bon j’arrive… t’énerves pas. (En arrivant dans la salle de bain)
Moi : C’est vrai t’énerves pas, il n’a rien fait.
G : Oui excuses moi… mais bon voilà cette fille là cette Anya elle m’a trop chauffé.
Moi : Et qu’est-ce que je devrais dire moi alors ?
Lee : Elle à pas tors c’est elle qui à goûter de son point. Bon ben si ça marche plus dans la chanson moi je me reconverti en garde du corps.
G : Ah bon en quel honneur…
Lee : Ben les rues de Londres sont dangereuse à se que j’ai vu cette après midi.

On sonne à la porte…

Lee : Bougez pas je vais ouvrir… ça doit sans doutes être Dunc !
Moi : Oh non je l’avais oublié lui… s’il te plait lui dis rien je vais essayer de masqué ça.
Lee : Tu n’arriveras pas…
G : La magie du maquillage…
Lee : Bon aller sinon il va me casser la sonnette

Il se dirigea vers la porte d’entrée en ayant prit le soin de bien refermer la porte derrière lui.

(Lee) Je n’aime pas lui cacher des choses comme ça…

Il ouvrit la porte, et un grand sourire apparu sur ces lèvres…

Lee : Oh, ben voilà la plus belle. (En regardant Tiannie dans les bras de Dunc)
Dunc : Ben salut quand même, aller laisse nous entré. Alors où est ma petite femme ?
Lee : Ah ben, c'est-à-dire que … Aller donne moi Tiannie.
Dunc : Ben si tu y tiens… voilà son sac et sa couche est sal… Merci tonton Lee !
Lee : Ah ben tiens j’aurais du m’en douter que ça cachait quelque chose.
Dunc : Donc où est Marie ?
Lee : Elle discute dans la salle de bain avec G
Dunc : Bon ben si tu me cherche tu me trouveras … dans la salle de bain.
Lee : Non n’y va pas !
Dunc : Et pourquoi ? T’as encore fait des bêtises et Marie doit remonter le moral de G ?
Lee : Non pas exactement… Vient va t’asseoir pendant que je change ma nièce. Je vais t’expliquer.

Lee expliqua donc à Duncan ma petite rencontre avec Anya, la crise qu’elle a fait et notre altercation. Sans oublier la douche au Red Bull et les coups de poings. Il lui avoua aussi que j’étais dans la salle de bain pour essayer de faire disparaître se bleu de mon visage. Dunc devint comme fou, il avait du mal à se contrôler. Il était en train de maudire le jour où il avait pu rencontré cette Anya.

Dunc : Non, mais j’y crois pas comment c’est possible… et toi t’as rien fait.
Lee : Si bien sur tu crois quoi sinon elles y seraient encore. Mais Marie sait très bien se défendre.
Dunc : Ouais, ben crois moi Anya va en entendre parler aussi… non mais c’est vrai pour qui elle se prend ?
Lee : Pour commencer t’énerves pas… ça sert à rien et n’oublie pas que la vengeance est un plat qui se mange froid comme dises les frenchi… (Lui tendant Tiannie) Et puis tiens j’ai fini de changer ta fille.
Dunc : Dis donc tu fais ça comme un pro… et puis ouais t’as raison, je vais me venger… et bien y réfléchir.

G est arrivé, m’ayant laissé seule dans la salle de bain pour me changer. Elle vit Lee et Dunc ensemble dans le grand salon de Lee et s’avança naturellement vers eux. Elle vit alors Tiannie.

G : Eh, mais c’est qui se joli bout de choux ?
Lee : Tiannie Finn JAMES
Dunc : Ma fille…
G : Ah ok, qu’elle est mignonne !
Dunc : merci, Bon elle est où Marie ?
G : Ben dans la salle de bain elle se change !
Dunc : Ou elle est plutôt en séance camouflage ?
G : Lee, t’as encore pas su tenir ta langue ?
Lee : Attends il est pas stupide, il l’aurait remarqué se soir en retirant tout se maquillage… et puis merde c’est en partie de sa faute… c’est son ex.
G : Oui c’est vrai ça c’est ton ex.
Dunc : Je sais et t’inquiète pas pour elle, elle va le regretter. Et tant qu’à faire pour les bonnes nouvelles j’ai aussi mis Claire au courant pour Marie et moi histoire qu’elle arrête un de me faire des avances.
Lee : Ben dis donc c’est ton jour aujourd’hui Dunc…
Dunc : Ouais, bon je vous laisse, je vais aller voir Marie. Et puis tiens tonton Lee… (Et il lui remet Tiannie dans les bras)
Lee : Je préfère ça maintenant qu’elle est propre.
G : (Avec un regard attendrissent) Elle est vraiment trop mignonne…

Dunc alla vers la salle de bain et toqua à la porte…
TOC, TOC, TOC

Moi : C’est qui ?
Dunc : Le prince charmant…
Moi : Désolé le prince charmant va devoir patienter… comme il à fait patienter la princesse toute l’après-midi.
Dunc : Aller, un peu de sérieux. Ouvre moi… Et enlève tout se que tu veux mettre sur se beau visage. Montre moi se vilain bleu.
Moi : Comment tu sais ? (LEEEEEEEEEEEEEE)
Dunc : Ne Pose pas de questions idiotes…
Moi : (Ouvrant la porte) Bon sang je vais le tuer celui là jamais il apprendra à tenir sa langue.
Dunc : Si quand c’est moi qui lui demande. (Il mit la main sur mon visage pour m’obliger à lever la tête)
Moi : Arrête, je veux pas que tu vois ça. (Il frôla l’endroit exact du bleu du bout des doigts se qui ne fut pas très agréable.) AIEEEEE
Dunc : Désolé, j’ai pas fais exprès. (Il m’embrassa pour se faire pardonner) Dis donc elle t’as pas loupé.
Moi : Ben moi non plus je te signale… Je ne savais pas que les Bimbos siliconés étaient ton genre de fille. Comme quoi ont en apprend tous les jours.
Dunc : Ouah c’est bas ça… Mais c’est vrai que à côté de toi… Anya ne ressemble à rien.
Moi : t’essayerais pas de te rattraper là ?
Dunc : Un petit peu !
Moi : C’est bien se que je me disais… moi foie peu être que ça va marcher. Tiens tu ne veux pas m’embrasser comme avant je crois que j’avais moins mal ! (Petite profiteuse ! Lol)
Dunc : mais avec plaisir, a vos ordres chef… (Puis il m’embrasse me caresse et se laisse un peu aller à un commencement de câlin…)
Dunc : Bouges pas je vais fermer la porte.
Moi : Ok

Chap. 32 :

Il s’approche de la porte la ferme quand tout à coup… Tiannie se met à pleurer
OUINNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN
Dunc ré ouvre la porte patiente un peu histoire de voir si Lee arrive à la calmer et se décide à sortir.

Moi : Dunc pourquoi tu pars ?
Dunc : (Se retournant vers moi) Ah oui c’est vrai, viens avec moi j’ai quelqu’un à te présenter
Moi : Très bien

(Moi) Mais qu’est-ce qu’il est encore aller inventer ! Lol

Lee est dans le salon avec Tiannie dans les bras et Géraldine qui ne sait pas quoi faire, (elle est les enfants ça fait pas super bon ménage) il lui fait des grimaces des papouilles mais rien n’y fait elle n’arrête pas de pleurer. Dunc s’approche de Lee et reprend sa fille dans ces bras.

Dunc : Aller viens voir papa, c’est quoi se gros chagrin.


(Moi) PAPA ??? Mais, euh… je ne pense pas que c’était prévu ça non ? Mince il aurait pu me dire que sa fille serait là ! Elle est mignonne quand même on c’est d’où elle à de si beaux yeux en tout cas.

Dunc : Aller viens faut que je te présente Tiannie.
Moi : (Un peu hésitante) Elle est trop mignonne franchement. C’était ça ta course de cette après-midi ?
Dunc : Oui, désolée de pas t’en avoir parler mais je voulais pas te dire avant d’être sur que Claire me la laisse.
Moi : C’est pas grave t’es pardonné. (Tiannie me faisait de grands sourires elle était trop mignonne) elle reste longtemps ?
Dunc : Jusqu’à jeudi soir.
Moi : Ah bon ? Mais je me rappel pas avoir vu des affaires pour bébé à l’appartement.
Dunc : C’est vrai t’as tout à fait raison, va falloir qu’on aille en acheter. Et qu’on se dépêche aussi un peu t’as vu l’heure ?
Moi : Ouais c’est vrai il est tard… mais tu veux faire quoi emmener la petite dans les magasins ? Je ne sais pas, je trouve ça moyen.
Dunc : Lee, tu viens avec on va acheter se qu’il faut pour ma fille on ramène tout à l’appart et pendant se temps les filles nous font un bon petit repas. Ca marche comme ça ?
G : Je ne sais pas faire la cuisine !
Moi : Oui ça marches… mais t’as intérêt à te faire pardonner se soir. (Faisant un clin d’œil à G)
Lee : (S’approchant de G) Moi aussi je pourrais me faire pardonner se soir ?
G : Ah ben oui, pas de soucis. Moi j’aime quand tu demandes pardon. Faut encore je trouve pourquoi ! Lol
Lee : Je te fais confiance ! A plus tard ma chérie !
Dunc : (S’approchant de moi et me donnant Tiannie dans les bras) A tout de suite mes deux amours.
Moi : (Lui volant un baiser) A tout de suite ! Je t’aime.

Lee et Dunc sont donc partis tout les deux dans les boutiques pour acheter des affaires pour Tiannie. Ils avaient laissé la demoiselle avec nous elle n’a pas broncher je lui ais donner son biberon, ensuite nous avons un peut jouer tout en discutant avec G. ensuite j’ai installé Tiannie sur une couverture par terre et elle c’est endormi… Fais dodo petit bébé…

G et moi sommes allé dans la cuisine pour préparer le repas pour Lee et Dunc, voyons, voyons que peut bien avoir un célibataire comme Lee dans son frigo ? Aller ben nous allons faire avec se que l’on as… une salade verte composé, des pâtes méditerranéenne, et des steak. Voilà que demander de plus… bon ok un petit gâteau ! Lol G se chargea de la salade et moi du reste pendant que l’on gardait toujours un œil sur la petite. De leurs côté Dunc et Lee étaient en train de dévalisé les magasins, barboteuses, petit lit, chambre complète même couches, biberons, chauffe bilerons, lait, …. Ils avaient tout acheter sont aller chez Dunc à l’appartement pour monter la chambre tout préparer pour l’arrivée de l’enfant prodigue… attention les bricoleurs du dimanche.
19 heures 30 : les hommes ont fini de monter la chambre de Tiannie, ils se vautre tout les deux sur le canapé chez Dunc une bière à la main histoire de reprendre quelques forces. Pendant se temps j’étais dans la salle de bain avec miss Tiannie pour lui donner son bain… quel luxe dans la grande baignoire de Lee, (Chouette ma chérie n’hésite pas à te lâcher ! Lol) Visiblement Tiannie adore prendre son bain elle gazouilles et rigoles c’est un plaisir de la voir ainsi. Vite ont sort du bain et on va dans la chambre de tonton Lee, histoire de mettre une couche propre et un pyjama pour faire un gros dodo. Les garçons ont reprit le chemin de l’appartement de Lee et dans la voiture tout en conduisant Dunc se confia un peu à Lee.

Dunc : Mec je suis heureux…
Lee : Je te rassure ça se voit.
Dunc : Je pense que Marie est la fille que j’ai toujours attendue !
Lee : C’est vrai qu’elle est géniale avec son petit caractère… et je dois avouer que si je n’avais pas rencontré G ben j’aurais tenté…
Dunc : Pardon…
Lee : Ben oui, mais tu sais très bien que je l’aurais pas fais, mais si ça n’avait pas été ta frenchi ben j’aurais tenté parce que de plus d’être canon, ben elle est intelligente et drôle.
Dunc : Canon ?
Lee : Ouais désolé d’avoir des yeux mec…
Dunc : pas grave, je te fais confiance.
Lee : Oui, je t’es jamais piquer une nana et c’est pas aujourd’hui que ça va commencer.
Dunc: Je Sais thanks man…
Lee : Je te ferais remarquer qu’il te reste maintenant encore une chambre de vide dans ton grand appartement …
Dunc : Oui et ?
Lee : Un petit bébé avec Marie ?
Dunc : C’est une idée qui se tient… mais un peu tôt et je veux une maison pour voir grandir mes enfants.
Lee : Ouais c’est compris… Aller mec ont est arrivé.

Chap. 33 :

Ils sont tout les deux remonté tout en haut vers l’appartement de monsieur Ryan. Juste avant d’entrer Lee fit une petite remarque en se léchant déjà les babines.

Lee : Mince ça sent drôlement bon…
Dunc : T’as raison, allons voir.

Ils sont alors entrés tout les deux le sourire aux lèvres et l’estomac sur les talons… G était sur le canapé en train de regarder quelques magazines, et j’ai j’étais sur la terrasse les cheveux au vent en train de prendre l’air après avoir passé un moment en cuisine. Tiannie elle était allongé dans le salon sur sa couverture elle dormait. L’appartement sembla vide aux garçons aux premiers abords, puis Lee s’aperçut de la présence de G sur le divan, il s’approcha d’elle et déposa un baiser sur son front pour qu’elle lève les yeux de son bouquin.

G : Alors vous avez trouvé votre bonheur ?
Lee : Ouais pas de soucis t’as devant toi les pros des courses et du montage de meubles…
G : Parce que vous avez déjà tout monté ?
Dunc : (Prenant part à la conversation) Eh oui des pros ont te dit tout est déjà monté reste plus qu’à ranger ces affaires mais ça attendra demain ça. Dis donc ça sens drôlement bon ici.
G : Eh oui, je voudrais bien m’en donner le mérite, mais c’est Marie qui y est pour quelques choses là. J’ai juste fais la salade.
Lee : C’est déjà pas mal elle en sera que meilleure.
G : Ta fille est baigné elle à manger et là elle fait un petit somme. Je te dis des pros…. Lol
Dunc : Merci c’est cool…
G : Et ta copine ou je ne sais quoi… ben elle est sur la terrasse.
Dunc : Dis tu lis dans mes pensées ?
G : Non mais c’était facile là.
Lee : (Voyant Dunc s’en aller) Ben donc nous sommes seuls… qu’allons nous faire pour nous mettre en appétit ?
G : Je ne sais pas propose. (Elle mit un bras autour du coup de Lee pendant que lui commençait un jeu diabolique de caresses.)

Dunc ne voulant pas déranger passa à côté de sa fille et lui donna un petit baiser. Puis il vint me rejoindre sur la terrasse.

(Dunc) Mon dieu elle est si belle quand elle dort. Claire à peu être beaucoup de défauts, mais elle m’a fait le plus beau des cadeau en m’offrant se trésor. J’espère qu’un jour avec Marie on connaîtra le même bonheur.

Dunc : Puis-je patienter avec vous mademoiselle ! Lol
Moi : (Me retournant) Dunc… Oh vous avez fait vite ! Tu m’as manqué. (Me collant contre lui) Tes bras m’ont manqué.
Dunc : (Me serrant fort dans ces bras.) Ben dis donc quel accueil si c’est comme ça je vais partir plus souvent.
Moi : T’es méchant !
Dunc : Mais non, je suis pas méchant je t’aime.
Moi : Ben ça fait plaisir de l’entendre.
Dunc : T’en doutais ? Oh fait merci de t’être occupé de Tiannie.
Moi : Ben c'est-à-dire… non j’en doutais pas mais ça fait quand même plaisir. Et c’est rien pour Tiannie, elle est adorable comme toi.
Dunc : Merci…
Moi : (Me souvenant d’un article que j’avais lu…) Au fait ça va t’as pas trop mal au bras ?
Dunc : Au bras ? Non pourquoi ?
Moi : Non pour rien… Au fait cette nuit je reprends ma chambre !
Dunc : (Me prenant par le bras) Ah oui, et en quel honneur s’il te plait ?
Moi : (Le poussant pour qu’il me lâche… et faisant ma boudeuse) Ben écoute j’ai pas envie que t’es le bras douloureux à cause de moi… Dunc a partir de maintenant tu dormiras seul.
Dunc : C’est quoi cette histoire ?
Moi : Ben écoute j’ai lus dans un magazine… que tu préfère dormir seul, parce que quand tu dors avec quelqu’un tu te réveil toujours avec un bras tout ankylosé. Je ne voudrais pas que se soit ma faute.
Dunc : Mdr c’est n’importe quoi là… tu crois à toutes ces conneries ?
Moi : Ma foie…
Dunc : J’avoue c’est vrai je l’es dis… mais c’était avant toi. Tu m’as déjà entendu me levé un matin en râlant que j’ai mal ?
Moi : euh… Non pas encore…
Dunc : Ben ça ne risque pas d’arriver, je te rassure. Ben je peux savoir se que t’as encore lu de beau à mon sujet ?
Moi : Des choses que je savais déjà…
Dunc : Comme ?
Moi : Que tu préfère dormir nu, (Lui faisant un clin d’œil) que tu t’es fais arrêter deux fois par les flics, et que tu n’aimes pas mentir aux filles pour les quitter.
Dunc : C’est bien t’as bien appris ta leçon jeune fille.
Moi : Te moque pas de moi s’il te plait… sinon tu risquerait de bien te retrouver seul cette nuit.
Dunc : Pas plus seul que le matin en me réveillant. Lol
Moi : BRAVO Dunc…
Dunc : Eh oui qu’est-ce que tu crois je suis le plus fort…
Moi : N’importe quoi…

(Moi) Ah qu’est-ce que je l’aime…

Il se mit devant moi, me souleva et me porta jusqu’à la salle à manger de l’appartement de Lee. Avec un large sourire il me reposa à terre et dit…

Dunc : Bon ben c’est pas tout ça mais moi j’ai faim… Lee ont mange.
Moi : Ben si t’as faim tu mets la table s’il te plais.
Dunc : Mais bien sur ma chérie.

LA SUITE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

moi ossi jve la suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!