Duncan James & Blue
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Duncan James & Blue

Ce forum est consacré au chanteur Duncan James et au groupe Blue
 
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 ~*~*~*~*Et Si C'était Vrai... *~*~*~*~

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nani_blue
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MessageSujet: ~*~*~*~*Et Si C'était Vrai... *~*~*~*~   ~*~*~*~*Et Si C'était Vrai... *~*~*~*~ EmptyJeu 29 Sep - 22:19

J'ai appris il n'y a pas si longtemps, qu'une même fic avait été fia,t mais bon, je ne vais pas l'arreter pour autant!!
vu ue je n'ai pas encore mit mes fic ici, je vais commencer... La c'est ma deuxième, j'espère qu'elle vous plaira...



La vie est parfois bizarre. Elle était jeune, belle, intelligente, avec un bon métier. Bref, elle avait tout pour elle, et d’un coup, plus rien. Un banal accident de voiture dans une rue de Londres, et voilà que Mélanie se retrouve dans le coma. Tout le monde attend qu’elle se réveille. Sauf que personne ne sait que, réveillée, elle l’est déjà, mais ailleurs et autrement.

La vie est parfois bizarre. Il est jeune, s’appelle Lee, pas trop mal fait de sa personne, avec un boulot qui lui convient parfaitement. Bref il a tout... Et plus encore quand il découvre une femme dans son placard, une femme qu’il est seul à pouvoir contempler, entendre, toucher, aimer...

Aimer ? C’est justement ce que Lee découvre avec Mélanie. Mais aimer une femme invisible, est-ce possible sans passer pour un fou aux yeux de son entourage ?
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nani_blue
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MessageSujet: Re: ~*~*~*~*Et Si C'était Vrai... *~*~*~*~   ~*~*~*~*Et Si C'était Vrai... *~*~*~*~ EmptyJeu 29 Sep - 22:21

Voila la premier chapitre.

Chapitre 1.

9h, l’heure pour Mélanie de se lever. Après une soirée bien arrosée avec ses amis pour fêter ses premières vacances dans un grand pub dans le centre de la capitale anglaise, le réveil est toujours difficile. Un œil s’ouvre, puis deux, laissant parvenir cette lumière qui jaillissait de la fenêtre depuis que le soleil s’était levé. Voilà, le premier pas vers le réveil est fait. Mais le plus dur reste à faire : se lever. Mélanie n’a jamais vraiment été du matin. Normalement tout comme sa colocataire qui, pour une fois dans sa vie s’était levée tôt, vient de rentrer en trombe dans sa chambre pour l’aider à se lever.

... : Allez, lèves-toi ma ptite nani, tu vas être en retard et je ne pense pas que ta sœur sera très contente ! (en ouvrant les rideaux et les volets)
Méla : Mimi, s’il te plait, laisse-moi encore une ou deux heures, je n’en peux plus, je suis beaucoup trop fatiguée !
Marie : c’est ça de passer tout sa soirée à boire !
Méla : Pas longtemps, s’il te plait...
Marie : Il est 9h30, je crois que tu devrais t’activer oui !!!
Méla : Ok, ok, c’est bon, je suis debout.

Elle essayait-t’en bien que mal de se lever, mais la force n’y était pas. Il faut avouer que la volonté aussi !

Marie : C’est bon, j’ai compris, je vais t’aider à te lever, mais ce matin, douche froide pour toi !
Méla : M’en fout (avec son air de bébé qu’elle fait si bien)

Marie l’a leva de son lit. Mélanie se laissait, elle, porter par cette âme bien charitable qu’était sa colocataire. Elles habitaient ensemble dans cet appartement spacieux depuis maintenant 3 ans, mais leur amitié durait depuis beaucoup plus longtemps que ça. Inséparables était le mot pour les qualifiés. Elles se sont connu sur le net et elles se sont tout de suite bien entendu malgré leur différence d’âge. Mais Marie avait toujours été comme une 2° grande sœur pour Mélanie, et Mélanie, une petite sœur pour Marie. 12 ans, plus tard, Mélanie, 26ans et Marie, 33 ans aussi, sont toujours ensemble. Rien ne les avait séparé, bien au contraire, toutes les épreuves qu’elles avaient pu traverser, ne les avaient que rapproché. Maintenant, elles vivent une amitié plus que fusionnelle.
Dans la salle de bain, Marie fit couler l’eau froide à son amie, puis la laissa seule, vaquer à ses occupations. Une fois Marie sortit, Mélanie prit son courage à deux mains, se déshabilla et entra sous cette eau glaciale. Rien de mieux pour vous faire passer une soirée où l’alcool avait coulé à flot. Après de longues minutes, elle sortit de la salle de bain fraîche, réveillée, habillée et maquillée. Elle partit, ensuite tranquillement dans sa chambre, préparer sa valise pour ses vacances qu’elle attendait depuis un bon moment maintenant. Avec le boulot qu’elle pratiquait, par toujours facile de se libérer, mais cette fois-ci l’occasion se présentant, elle ne s’est pas faite prier pour la saisir. En tant que directrice d’un magasin de décoration d’intérieur en plein centre de Londres, elle se devait de toujours être là, au cas où un problème venait à se produire et puis il y avait toujours à un truc à faire, une affaire à régler. Cela faisait maintenant 2 ans, que Mélanie était à la tête de cette entreprise qui marchait très bien, mais elle n’avait jamais vraiment trouvé le temps de se reposer, de prendre du temps bien à elle. Ayant marre de voir toujours les mêmes partir en vacances, elle se décida elle aussi, et puis sa sœur venait de devenir maman donc elle voulait absolument voir ce petit bout de chou qui venait de la faire devenir tatie. Encore une bonne excuse pour partir. Mais bon, finalement elle ne partait que pour un week-end, rien de bien extraordinaire, mais elle en avait besoin.
Une fois les valises finis, elle les déposa dans l’entrée puis alla dans la cuisine pour prendre son dernier petit déjeuner avec son amie avant de partir pour l’aventure mais surtout le repos. En rentrant dans la pièce, une bonne odeur de croissants encore chauds vint lui titiller les papilles. (lol j’adore cette expression)

Méla : Mmmm... Je peux savoir pourquoi je suis gâter comme ça ?
Marie : Ben tu pars, je ne vais pas te voir pendant 2 jours, c’est long tu sais.

Elles ne s’étaient jamais quitté toutes les deux. A chaque fois qu’elles partaient en vacances, c’était ensemble. Les seules fois où elles se séparaient c’était pour aller au travail, mais pas très longtemps, juste pour le trajet, car elles travaillent aussi ensemble mais Marie seulement en tant qu’employée ! Inséparables, je vous l’avais dit !

Méla : Mais non, tu verras. Et puis tu trouveras bien des choses à faire pendant mon absence ! Et puis je ne pars pas loin, si tu t’ennuie vraiment de moi, tu n’as qu’à venir me rejoindre.
Marie : On verra, normalement Kévin est censé arriver tout à l’heure mais bon il m’a dit que ça n’était pas vraiment sur.
Méla : Ok, donc tu me préviens si tes plans changent, comme ça, on fera en conséquence.
Marie : Non, je ne veux pas déranger, tu va voir ta sœur. En plus elle doit être fatiguée avec la petite alors, je pense que je vais rester ici, à essayer des trucs sans ma nani. Une tournée de tous les pubs de Londres ? C’est pas mal ça, non ?lol
Méla : Tu en auras pour plus que le we, je serais déjà revenu, et je ne pense pas que ça va être une bonne idée. Bon ma poule, je vais y aller, je ne veux pas arriver en retard. Mais j’appelle Aude avant de partir.

Elle alla chercher son portable dans son sac à main, composa le numéro de sa sœur. Après plusieurs sonneries, celle-ci décrocha. Mélanie lui dit alors qu’elle était sur le point de partir et serait là dans environ 2h. Sa sœur, comme toujours, lui donna les dernières indications, les routes de Londres ne sont pas très sûres. Les conducteurs se croient plus sur un circuit automobile que sur des routes en plein centre ville. Mélanie lui rit au nez, en lui affirmant qu’elle ferait attention, comme à chaque fois qu’elle vient lui rendre visite, mais bon, jusqu’à maintenant, jamais rien...

Aude : Mais comme on dit, il ne faut jamais dire jamais.
Mélanie : Ne commence pas à me faire stresser, ça fait 3 ans que j’habite ici, et je n’ai jamais eu d’accidents.
Aude : La chance était avec toi.
Mélanie : Ne commence pas sinon, je ne viens pas !
Aude : Ok, ok.
Mélanie : Merci, bon à tout à l’heure.
Aude : Oui, bizou.
Mélanie : Bizou sœurette !

Elle raccrocha, fit un dernier bizou à sa meilleure amie, l’heure de partir était venu. Elle prit ses bagages, descendit les quelques marches qui la menaient à l’entrée de l’immeuble. Sur la chaussée l’attendait son allemande (non pas une Mercedes, elle n’a pas encore moyens). Un belle New Bettle, toute neuve, qu’elle s’était offerte il y a à peine 2 mois. Elle enfourna ses valises dans le coffre de la berline. Des valises ! Elle en avait prit tellement, pourtant elle ne part que pour 2 jours, mais bon, à cause des incertitudes du temps, elle avait préféré prendre toutes les sortes d’habits se trouvant dans sa garde-robe. Puis elle passa au volant de sa voiture, mit la musique, et démarra le moteur.

Méla : Allez ma puce, que 2h de trajet, et on est arrivé !

Elle s’engagea dans la rue qu’elle connaissait tellement bien vu qu’elle y habitée, puis elle prit la même route que pour aller à son boulot. L’espace d’un instant, elle se demanda si ces vacances étaient finalement qu’un rêve et qu’elle allait une fois de plus à son boulot. Arrivée à un feu rouge, son portable sonna.

Méla : Allô...
... : Nani c’est Kévin.
Méla : Kekew !! Comment vas-tu ?
Kévin : Je vais très bien, c’était pour te prévenir que je venais à Londres pour voir Mimi, vu que tu t’en vas toi.
Méla : Ouais, je suis désolé de ne pas être là, la première fois que tu viens nous voir à la maison.
Kévin : C’est pas très grave, ça sera pour une prochaine fois.
Méla : Oui, j’espère, bon je te laisse, le feu vient de passer au vert, fait un gros bizou à ma poule, et dit lui de ne pas trop s’inquiéter, je reviens bientôt.
Kévin : Ok, profite bien de tes vacances !
Méla : Je vais essayer.

Elle raccrocha, posa son portable dans son sac, puis passa la première. Elle commença à traverser un carrefour célèbre pour les gros cartons qui s’y était produits. Elle n’était jamais vraiment à l’aise en passant par ce carrefour mais bon elle y était obligé. Sans comprendre pourquoi, tout d’un coup, toute sa vie lui passa en tête, son enfance en France, loin de sa sœur, ses délires avec Mimi depuis qu’elles se connaissaient. Elle ne comprenait pas pourquoi elle voyait cela, quand soudain...
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Lady Ryan
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MessageSujet: Re: ~*~*~*~*Et Si C'était Vrai... *~*~*~*~   ~*~*~*~*Et Si C'était Vrai... *~*~*~*~ EmptyVen 30 Sep - 18:51

Ah oui,tro bien,c le livre de Marc Levy!!g trop adoré!jme languis de lire la suite de ta fic...
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nani_blue
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MessageSujet: Re: ~*~*~*~*Et Si C'était Vrai... *~*~*~*~   ~*~*~*~*Et Si C'était Vrai... *~*~*~*~ EmptyDim 2 Oct - 12:12

Voila pour toi Lady Ryan


Chapitre 2.

Elle ne comprenait pas pourquoi elle voyait cela, quand soudain une voiture arrivant à sa droite se précipitait vers elle. Elle n’eut pas le temps d’accélérer ou de freiner, ces deux voitures, ne formait maintenant qu’une. 10 minutes après l’impact, des ambulances se trouvaient sur le lieu de l’accident. Deux ambulanciers sortirent en vitesse de chaque véhicule et se précipitèrent vers les voitures. Dans l’autre véhicule se trouvait un homme âgé, seul. Il avait certainement grillé le feu rouge, roulant à une vitesse folle pour ensuite s’encastrer dans la voiture de Mélanie. Les deux hommes la sortirent du véhicule pendant que deux autres s’occupaient de l’autre personne. Ils se mirent tous deux à genoux près de son corps, qui paraissait sans vie. L’un d’eux prit une paire de ciseaux puit découpa le pull et le pantalon de la jeune femme, laissant apparaître son corps « nu ». L’autre une perfusion, prit mon pouls et ma tension. Sur son visage, l’inquiétude était visible.

Ambulancier 1 : Ca donne quoi ?
Ambulancier 2 : le pouls est irrégulier, et je n’ais pas de tension..
Ambul. 1 : Ok, tu as placé la perfusion, prépare-moi les pastilles s’il te plait.

Il lui passa les pastilles qu’il plaça sur la poitrine de Mélanie, puis les relia à l’électrocardiographe et l’enclencha. Mais le tracé qui pouvait s’y lire, n’indiquait rien de bon. Malgré toutes les opérations qui produirent, le cas n’avançait pas. Mais tout d’un coup, sa tension chuta brutalement.

Ambul. 1 : Elle fibrille, envoie-moi du 300 joules.
Ambul. 2 : C’est bon pour le 300.
Ambul.1 : On s’écarte.

Après avoir frotter les deux poignées entre elles, ils les plaça sur le corps de Mélanie, et envoya le jus, qui fit courbait le corps de la jeune femme. Mais cela n’était apparemment pas suffisant.

Ambul.1 : du 360.
Ambul.2 : C’est bon.
Ambul.1 : On s’écarte.

Il refit l’opération de la même façon que la précédente 3 fois encore, à la dernière fois, cela semblait bon, mais après quelques secondes le bip repris.

Ambul.2 : Arrêt cardiaque !

L’ambulancier entama alors un massage cardiaque avec beaucoup d’acharnement.

Ambul.1 : Allez ma belle, tu ne mérites pas de partir comme ça. Tu as l’air d’être jeune et en bonne santé, tu as encore la vie devant toi, allez reviens, reviens. Paul, recharge encore une fois à 400.
Ambul. 2 : Laisse tomber, ne t’acharne pas comme ça.
Ambul. 1 : 400 je t’ai dit !!!!!

Son coéquipier s’exécuta, mais l’opération ne donna rien, il le savait très bien, mais il voulait essayer. Puis, il commença à taper de son point sur la poitrine de Mélanie.

Ambul. 1 : Allez reviens, reviens.
Ambul. 2 : Arrête, tu es fatigué, ça ne sert plus à rien maintenant, elle est morte. Déclare l’heure du décès comme ça on rentre et tu te reposes.

Malgré sa volonté de continuer d’essayer de sauver la vie de cette jeune femme, il se résigna, déclara l’heure du décès, et ils allèrent chercher la civière. De retour, ils placèrent le corps inerte de la jeune femme dessus, et le mit de camion. Les autres ambulanciers ayant fini eux aussi avec l’autre accidenté, ils partirent ensemble en direction du Royal London Hospital. Sur la route, Paul essayait de comprendre pourquoi son compagnon s’était acharné à ramener à la vie cette jeune femme, qui pourtant, il ne connaissait pas.

Paul : Mais pourquoi tu as fait tout ça ?
Jean : Je ne sais pas, elle est tellement... elle a tout à découvrir de la vie.
Paul : C’est pourtant pas notre premier cas comme ça, on en a connu plusieurs.
Jean : Je ne pourrais pas t’expliquer pourquoi j’ai fait tout cela.

Paul, qui conduisait, malgré la fatigue, freina un peu sèchement après qu’un véhicule sans prévenir lui coupa la route. Cela provoqua la chute du corps de Mélanie hors du véhicule.

Jean : T’as pas fermé la porte arrière.
Paul : Je sais pas.
Jean : Il faut vraiment que tu te repose, tu es beaucoup trop dangereux.

Ils s’arrêtèrent, sortirent du véhicule et prirent le corps pour le remettre dans l’ambulance. Mais quelque chose interpella Jean. La poitrine de la jeune femme bougeait.

Jean : Paul, regarde, elle respire.

Ils rentrèrent vite le corps et se précipitèrent vers l’hôpital. Elle fut tout de suite prise en charge par des médecins. Marie fut prévenue elle aussi dans les minutes qui suivirent mon entrée à l’hôpital. Elle fut complètement bouleversée par ce qu’elle venait t’entendre. Elle essaya de retirer des informations, mais ils lui disaient que c’était beaucoup trop tôt pour se prononcer, qui fallait attendre. Ils sortaient tout le temps ce genre de baratin les médecins. On dirait qu’ils ne se rendent pas compte de la souffrance et la douleur que les proches peuvent ressentir à attendre et parfois pour arriver à un état négatif. Elle ne voulait pas croire que Mélanie avait abandonner. Qu’elle l’avait quitté sans même lui dire au revoirs ? Elle restait optimiste, et voulait continuer de croire, qu’un jour elles se retrouveront, et feront leurs délires, comme les savaient tellement bien les faire toutes les deux. Après avoir pris connaissance de la situation, elle partit en trombe de l’appartement, et entre temps avait appelé Aude, pour lui annoncer la mauvaise nouvelle. Comme on pouvait s’y attendre, elle aussi fut effondrée.

Marie (en pleure) : Aude c’est Marie.
Aude : Salut toi, mais pourquoi tu pleures.
Marie : C’est... c’est Mélanie...
Aude (affolée) Quoi, Mélanie, qu’est-ce qu’il lui arrive ?
Marie : Elle... Elle...
Aude (commençant à avoir des larmes coulant le long de ces joues) Dit-moi qu’elle va bien, je t’en pris !!!
Marie : Elle a eu un accident, sur la route tout à l’heure en venant chez toi, elle est dans le coma, je suis sur la route pour avoir de plus amples nouvelles.
Aude : Un accident... En venant chez moi... Dans le coma tu me dis... Elle est dans le coma !!!!
Marie : Je suis vraiment désolé !!!
Aude : Dans quel hôpital est-elle ?
Marie : Le Royal London Hospital.
Aude : J’arrive tout de suite, je laisse la petite avec son père et j’arrive, on se rejoint là-bas. J’y serais au grand maximum dans 3h.
Marie : D’accord, je t’attends. Courage.
Aude : Merci de m’avoir prévenu Marie.

Puis elle raccrocha, encore plus triste qu’elle ne l’était auparavant. Pendant tout le trajet, elle se revoyait avec Mélanie : leur première rencontre, après une année à se parler par écran interposer, leurs premiers délires, leurs premières disputes, leurs premières réconciliations... Tous ces événements qui n’avaient fait que renforcer les fondations de leur amitié. Après 30 minutes de rêves, la réalité revint vite, quand elle vu ce grand bâtiment gris qu’était l’hôpital. Elle sortit de sa voiture, et se dirigea en vitesse à la réception.

Marie (arrivant au standard) : Oui, bonjour, je viens pour la jeune femme qui vient d’être amenée, celle qui a eu un accident de la route.
La réceptionniste : Mlle Vérin, c’est ça ?
Marie : Oui, c’est bien elle, je peux la voir, comment va t-elle ?
La recept. : Vous ne pouvez pas la voir pour le moment, on est en train de l’opérer, et nous ne pouvons pas encore nous prononcer. Installez-vous dans la salle d’attente, je vous préviendrais quand vous pourrez la voir.
Marie : Vous en avez pour combien de temps encore ?
La recept. : Il faudra compter à peu près 4 heures.
Marie : Merci, beaucoup.

Elle s’installa donc dans la salle d’attente. Elle se levait toutes les 5 minutes pour savoir si quelque chose avait changer, malgré ce que lui avait dit la réceptionniste. 1 café, puis 2, elle les enchaînait, pour oublier cette peur des hôpitaux. Enfin, ce n’était pas tellement une peur, mais elle n’avait jamais vraiment apprécier ce genre d’endroit, les odeurs qui y régnaient, l’ambiance qui en sortait. 3h plus tard, Aude la rejoignait enfin. Elles essayèrent de prendre des nouvelles, mais rien pour le moment. La seule chose qu’elles savaient, était que l’opération avait fini, et qu’aucun complication n’était survenue. Puis un médecin vint les voir après 1h, il leurs annonça que Mélanie se trouvait dans un profond coma, et que la seule chose qui était à faire était attendre qu’elle se réveille. Aude lui demanda si elle avait des chances de se réveiller un jour. Le toubib lui répondu alors que dans un coma profond, les chances étaient minimes, mais elles existaient.
Attendre, le mot était devenu une fatalité maintenant, et le quotidien de Marie et Aude, qui venaient de temps en temps à l’hôpital pour voir si quelque chose avait bouger. Mais rien. Toujours rien...
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