Anna avait débuté en octobre, au supermarché. Depuis il lui était parfois arriver de rester plusieurs heures d affilée sans penser à duncan. Mais aujourd’hui, pour quelque raison, elle ne parvenait pas à le chasser de son esprit. Elle sentait la peur, comme un goût aimer dans sa bouche et une boule lui nouait la gorge chaque fois qu elle ravalait sa salive. Il lui fallait toute sa volonté pour demeurer à son poste, derrière la caisse et ne pas prendre ses jambes à son cou pour s’enfuir.
Un frisson lui courut le long de la nuque, comme un sixième sens l’avertissent du danger, et ses mains tremblaient lorsqu’elle s’empara de l’article suivant. Elle balaya le supermarché du regard. La foule était celle du samedi matin. Des femmes pour la plupart, des adolescents et quelques hommes. Elle les examina attentivement mais ils étaient juste comme l’on pouvait s’y attendre.
Elle avait l’estomac tellement noué qu elle redouter de se sentir mal. Elle aperçu l une des chefs qui passait par là et l’appela.
Anna : Jill !tu peux me remplacer stp
Jill : bien sur. Ça va ? tu na pas l air dans ton assiette
Anna : un petit coup de fatigue je suis sur que ça va passer d ici 5min
Jill : va boire un café ça te fera du bien et je me charge du reste
Anna : merci bcp
Anna parvint tout juste à se retenir de courir comme elle traversait les allait en directions de la sortir du personnel. Elle sentait qu il lui fallait absolument quitter le supermarché au plus vite et son instinct l avait rarement tremper au cours de ses 2 derrière années. Elle poussa les lourdes portes de la sortie .
Une ombre s interposa soudain entre elle et le soleil
Duncan : bonjours, Anna je t’attendais.
Ses doigts se paralysèrent d un coup et elle laissa tomber ses lunettes
Anna : Duncan ! (Souffla t elle)
Elle se baissa pour ramasser ses lunettes et se redressa lentement, enfouissant ses mains dans ses poches pour qu il ne remarque pas leur tremblement.
Anna : que veux tu ? (D une voix autrement fausse)
Duncan : que veux tu que je veuille ? (d un ton laconique) je veux mon enfant, bien sur
Elle s’était attendu à sa réponse mais l entendre la prononcer lui fit l effet d un choc et elle pivota sur elle mm, elle s élança en courant mais elle n avait pas parcours 50m que déjà il avait rattrapée et agrippée par un pan de sa veste pour la contraindre a se retourner.
Anna : ne me touche pas
Il l enveloppa d un regard aussi froid qu indifférent
Dunc : allons a ma voiture. On pourra parler sans que tu prenne la fuite chaque fois que je dis quelque chose qui ne te plait pas.
Anna : il n a rien que tu es a dire qui soit susceptible de me plaire et moi je n ai rien a ajouter
Ignorant ses remarque il l entraînât vers une sa voiture garé prés de l entré
Dunc : je suis passé a ton apparentement ce matin avant de venir ici ( en déverrouillant la portière) mais il n y avait personne. Pas mm un voisin pour me renseigner
Anna : tu n a absolument pas a interroger mes voisins ! tu na pas le droit de venir chez moi
Dunc : pas le droit ? (Il eut un sourire amer) tu me dissimule mon enfant depuis 2ans et je n ai pas le droit ? Je suis son père je ne sais mm pas son prénom j ignore mm si il s agit d une fille ou d un garçon. Si tu as un tant soit peu de bon sens Anna, évite de me parlé de mes droit, d’accord ? je risquerais de m’énerver
Anna : tu n’as absolument aucun droit (entre ses dents serrées) pas en ce qui concerne mon enfant
Dunc : dieu merci les lois ne disent pas comme toi. Du fait que mes avocats n’ont pas pu te retrouver je n ai jamais pu te faire notifier ma demande de divorce. Tu es donc toujours ma femme un détail sans importance pour toi et moi peut être mais pas du point de vue juridique.
Anna : je ne t’autoriserai a voir………………………..mon enfant et j appellerai la police si tu tente de y parvenir.
Dunc (changeant d expression) : tu me déteste a ce point ? je ne peux mm pas savoir si il s’agir d une fille ou d un garçon ?
Elle ne répondit pas et il finit par hausser les épaules
Dunc : a ta guise. Apres tout. Je le découvrirai par moi bientôt mm. Monte dans la voiture.
Anna : non
Dunc (sèchement) : je te le suggérais simplement par ce que tu tremble de froid
Anna : tu es trop bon !